samedi 14 septembre 2013

Projet Elena 6 – phrase 100

No pude dejar de notar que llevaba un traje gris pizarra, que mis ojos no eran simplemente grises sino de dos tonos de gris -más claro en el centro, más oscuro en los bordes- y que mi pelo gris tenía un reflejo plateado pero mate, como el peltre.

Traduction temporaire :
Je ne pus m’empêcher de constater que je portais un costume gris ardoise, que mes yeux n’étaient pas simplement gris, mais de deux tonalités de gris – plus clair au centre, plus foncé autour – et que mes cheveux présentaient un reflet argenté, mais mate, comme l’étain.

4 commentaires:

Elena a dit…

Je ne pus m’empêcher de constater que je portais un costume gris ardoise, que mes yeux n’étaient pas simplement gris, mais de deux tonalités de gris – plus clair au centre, plus foncé autour – et que mes cheveux avaient un reflet argenté, mais mate, comme l’étain.

On a "remarquer".

Tradabordo a dit…

Je ne pus m’empêcher de constater que je portais un costume gris ardoise, que mes yeux n’étaient pas simplement gris, mais de deux tonalités de gris – plus clair au centre, plus foncé autour – et que mes cheveux avaient [« présentaient »] un reflet argenté, mais mate, comme l’étain.

Elena a dit…

Je ne pus m’empêcher de constater que je portais un costume gris ardoise, que mes yeux n’étaient pas simplement gris, mais de deux tonalités de gris – plus clair au centre, plus foncé autour – et que mes cheveux présentaient un reflet argenté, mais mate, comme l’étain.

Tradabordo a dit…

Je ne pus m’empêcher de constater que je portais un costume gris ardoise, que mes yeux n’étaient pas simplement gris, mais de deux tonalités de gris – plus clair au centre, plus foncé autour – et que mes cheveux présentaient un reflet argenté, mais mate, comme l’étain.

OK.