Se le quebraba la voz.
-¿Sabes? -murmuró-. Es el tipo de piso que uno se imagina cuando lee esas noticias en el periódico, esas viejas que se mueren y nadie se entera y se las encuentran al cabo de tres semanas devoradas por sus gatos...
Traduction temporaire :
Sa voix se brisait.
— Tu sais ? murmura-t-elle. C’est le genre d’appart qu’on imagine quand on lit ces histoires dans le journal, avec des vieilles qui meurent sans que personne s'en rende compte et qu'on retrouve au bout de trois semaines, dévorées par leurs chats…
Sa voix se brisait.
— Tu sais ? murmura-t-elle. C’est le genre d’appart qu’on imagine quand on lit ces histoires dans le journal, avec des vieilles qui meurent sans que personne s'en rende compte et qu'on retrouve au bout de trois semaines, dévorées par leurs chats…
4 commentaires:
Sa voix se brisait.
— Tu sais ? ‒ murmura-t-elle ‒. C’est le genre d’appart qu’on imagine quand on lit ces infos dans le journal, ces vieilles qui meurent sans que personne ne le sache et on les retrouve au bout de trois semaines dévorées par leurs chats…
Sa voix se brisait.
— Tu sais ? ‒ [supprime définitivement ces tirets / on ne les met pas…] murmura-t-elle ‒ [idem]. C’est le genre d’appart qu’on imagine quand on lit ces infos [« histoires »] dans le journal, [« avec »] ces vieilles qui meurent sans que personne ne le sache et on les [« qu'on »] retrouve au bout de trois semaines [virgule] dévorées par leurs chats…
— Tu sais ? murmura-t-elle. C’est le genre d’appart qu’on imagine quand on lit ces histoires dans le journal, avec ces vieilles qui meurent sans que personne ne le sache et qu'on retrouve au bout de trois semaines, dévorées par leurs chats…
Je te propose :
Sa voix se brisait.
— Tu sais ? murmura-t-elle. C’est le genre d’appart qu’on imagine quand on lit ces histoires dans le journal, avec des vieilles qui meurent sans que personne s'en rende compte et qu'on retrouve au bout de trois semaines, dévorées par leurs chats…
OK ?
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