Ya no hay salas de lecturas en las bibliotecas, solo hornos crematorios en todos sus pisos, aulas y salas, no emanan calor humano las estanterías repletas de volúmenes transitorios, solo calor de cocinería, refectorio o rancho, calor mucho más amenazante y directa que irradia todavía de la gran hoguera alzada en el palacio de La Moneda el pasado 11, un aniversario más de la muerte de Salvador Allende.
Traduction temporaire :
Il n’y a plus de salles de lecture dans les bibliothèques, juste des fours crématoires, à tous les étages, dans tous les amphithéâtres et dans toutes les salles ; les étagères remplies de volumes transitoires ne dégagent pas de chaleur humaine, mais une chaleur de cuisine, de réfectoire ou de gamelle, chaleur bien plus menaçante et directe, qui continue d'irradier depuis le grand bûcher allumé au palais de La Moneda le 11 septembre dernier, nouvel anniversaire de la mort de Salvador Allende.
Il n’y a plus de salles de lecture dans les bibliothèques, juste des fours crématoires, à tous les étages, dans tous les amphithéâtres et dans toutes les salles ; les étagères remplies de volumes transitoires ne dégagent pas de chaleur humaine, mais une chaleur de cuisine, de réfectoire ou de gamelle, chaleur bien plus menaçante et directe, qui continue d'irradier depuis le grand bûcher allumé au palais de La Moneda le 11 septembre dernier, nouvel anniversaire de la mort de Salvador Allende.
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Il n’y a plus de salles de lecture dans les bibliothèques, seulement des fours crématoires à tous les étages, dans tous les amphithéâtres et dans toutes les salles ; les étagères remplies de volumes transitoires ne dégagent pas de chaleur humaine, mais seulement une chaleur de cuisine, de réfectoire ou de gamelle, chaleur bien plus menaçante et directe, qui irradie encore depuis le grand bûcher dressé au palais de La Moneda le 11 septembre dernier, nouvel anniversaire de la mort de Salvador Allende.
Il n’y a plus de salles de lecture dans les bibliothèques, seulement [« juste » ? Comme tu veux…] des fours crématoires à tous les étages, dans tous les amphithéâtres et dans toutes les salles ; les étagères remplies de volumes transitoires ne dégagent pas de chaleur humaine, mais seulement [supprime ?] une chaleur de cuisine, de réfectoire ou de gamelle, chaleur bien plus menaçante et directe, qui irradie encore [avec « continuer de » ?] depuis le grand bûcher dressé au palais de La Moneda le 11 septembre dernier, nouvel anniversaire de la mort de Salvador Allende.
Il n’y a plus de salles de lecture dans les bibliothèques, juste des fours crématoires à tous les étages, dans tous les amphithéâtres et dans toutes les salles ; les étagères remplies de volumes transitoires ne dégagent pas de chaleur humaine, mais une chaleur de cuisine, de réfectoire ou de gamelle, chaleur bien plus menaçante et directe, qui continue d'irradier depuis le grand bûcher dressé au palais de La Moneda le 11 septembre dernier, nouvel anniversaire de la mort de Salvador Allende.
Il n’y a plus de salles de lecture dans les bibliothèques, juste des fours crématoires, à tous les étages, dans tous les amphithéâtres et dans toutes les salles ; les étagères remplies de volumes transitoires ne dégagent pas de chaleur humaine, mais une chaleur de cuisine, de réfectoire ou de gamelle, chaleur bien plus menaçante et directe, qui continue d'irradier depuis le grand bûcher dressé [« allumé » ?] au palais de La Moneda le 11 septembre dernier, nouvel anniversaire de la mort de Salvador Allende.
Il n’y a plus de salles de lecture dans les bibliothèques, juste des fours crématoires, à tous les étages, dans tous les amphithéâtres et dans toutes les salles ; les étagères remplies de volumes transitoires ne dégagent pas de chaleur humaine, mais une chaleur de cuisine, de réfectoire ou de gamelle, chaleur bien plus menaçante et directe, qui continue d'irradier depuis le grand bûcher allumé au palais de La Moneda le 11 septembre dernier, nouvel anniversaire de la mort de Salvador Allende.
Il n’y a plus de salles de lecture dans les bibliothèques, juste des fours crématoires, à tous les étages, dans tous les amphithéâtres et dans toutes les salles ; les étagères remplies de volumes transitoires ne dégagent pas de chaleur humaine, mais une chaleur de cuisine, de réfectoire ou de gamelle, chaleur bien plus menaçante et directe, qui continue d'irradier depuis le grand bûcher allumé au palais de La Moneda le 11 septembre dernier, nouvel anniversaire de la mort de Salvador Allende.
OK.
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