mercredi 6 août 2014

Projet Hélène 2 – phrases 94-100

Sobrevino un momento de silencio incómodo, pero Guiraldes se contuvo y no lloró. Yo terminé por pensar que los ciegos no podían llorar, lo cual me distrajo hasta que un frufrú nos hizo sombra y levanté la vista y ahí estaba ella. Antes de que pudiera verla, parada entre nosotros, Guiraldes saludó a su enfermera:
Daniela –dijo, alzando un poco la voz–: éste es Guilherme...
La mujer, una dama enjuta y aséptica, estiró su mano hasta que tocó mi hombro:
Lo siento mucho, señor Fonseca.
Señor Fonseca…– repetí, midiendo las palabras.

Traduction temporaire :
Pendant un instant, il y eut un silence embarrassant, mais Guiraldes se contint et ne versa pas la moindre larme. Je finis par penser que les aveugles ne pouvaient pas pleurer. Mon attention fut détournée, jusqu’à ce que les froufrous d'une robe projettent sur nous une ombre et que je lève le regard ; elle était là. Avant que je puisse la voir, debout face à nous, Guiraldes salua son infirmière :
— Daniela, dit-il en haussant un peu la voix, je te présente Guilherme… La femme, une dame maigre et froide, tendit la main jusqu’à me toucher l’épaule :
— Je suis vraiment désolée, monsieur Fonseca.
— Monsieur Fonseca…, répétai-je, en pesant mes mots.

11 commentaires:

Hélène a dit…

Un silence embarrassant plana un moment, mais Guiraldes se contint et ne pleura pas. Je finis par penser que les aveugles ne pouvaient pas pleurer, ce qui détourna mon attention, jusqu’à ce qu’un froufrou nous fasse de l’ombre et que je lève le regard ; elle était là. Avant que je puisse la voir, plantée devant nous, Guiraldes salua son infirmière :
— Daniela, dit-il en haussant un peu la voix, je te présente Guilherme…
La femme, une dame amaigrie et froide, étira la main jusqu’à me toucher l’épaule :
— Je suis vraiment désolée, monsieur Fonseca.
— Monsieur Fonseca…, répétai-je, en pesant mes mots.

Tradabordo a dit…

Un silence embarrassant plana [tu changes…] un moment, mais Guiraldes se contint et ne pleura pas. Je finis par penser que les aveugles ne pouvaient pas pleurer [ou avec « verser des larmes » pour l'un des deux ? Je ne sais pas… ou alors on assume la répétition ; je te laisse réfléchir], [point ?] ce qui détourna mon attention, jusqu’à ce qu’un froufrou [?] nous fasse de l’ombre [les deux ensemble, c'est bizarre, non ?] et que je lève le regard ; elle était là. Avant que je puisse la voir, plantée devant nous, Guiraldes salua son infirmière :
— Daniela, dit-il en haussant un peu la voix, je te présente Guilherme…
La femme, une dame amaigrie et froide, étira la main jusqu’à me toucher l’épaule :
— Je suis vraiment désolée, monsieur Fonseca.
— Monsieur Fonseca…, répétai-je, en pesant mes mots.

Hélène a dit…

Un silence embarrassant survint pendant un instant, mais Guiraldes se contint et ne versa aucunes larmes. Je finis par penser que les aveugles ne pouvaient pas pleurer [ou avec « verser des larmes » pour l'un des deux ? Je ne sais pas… ou alors on assume la répétition ; je te laisse réfléchir. D'après moi, la répétition n'apporte pas grand chose ici. Profitons de la richesse lexicale du français, non ? ]. Mon attention fut détournée, jusqu’à ce qu’un froufrou [? Je croyais que l'auteur avait été influencé par le français. En espagnol, la seule déf qui apparaisse pour "frufrú" est celle qui renvoie au bruit. Mais dans ce contexte, il s'agit forcément du vêtement féminin, une acception qui n'existe qu'en français ; du coup, difficile de traduire autrement, non ?] nous apporte de l'ombre et que je lève le regard ; elle était là. Avant que je puisse la voir, plantée devant nous, Guiraldes salua son infirmière :
— Daniela, dit-il en haussant un peu la voix, je te présente Guilherme…
La femme, une dame amaigrie et froide, étira la main jusqu’à me toucher l’épaule :
— Je suis vraiment désolée, monsieur Fonseca.
— Monsieur Fonseca…, répétai-je, en pesant mes mots.

Tradabordo a dit…

Un silence embarrassant survint pendant un instant, mais Guiraldes se contint et ne versa aucunes larmes [grammaire]. Je finis par penser que les aveugles ne pouvaient pas pleurer. Mon attention fut détournée, jusqu’à ce qu’un froufrou [? Je croyais que l'auteur avait été influencé par le français. En espagnol, la seule déf qui apparaisse pour "frufrú" est celle qui renvoie au bruit. Mais dans ce contexte, il s'agit forcément du vêtement féminin, une acception qui n'existe qu'en français ; du coup, difficile de traduire autrement, non ? // en ajoutant des cheville : le froufrou d'une robe ou un truc comme ça ?] nous apporte de l'ombre et que je lève le regard ; elle était là. Avant que je puisse la voir, plantée devant nous, Guiraldes salua son infirmière :
— Daniela, dit-il en haussant un peu la voix, je te présente Guilherme…
La femme, une dame amaigrie et froide, étira la main jusqu’à me toucher l’épaule :
— Je suis vraiment désolée, monsieur Fonseca.
— Monsieur Fonseca…, répétai-je, en pesant mes mots.

Hélène a dit…

Un silence embarrassant survint pendant un instant, mais Guiraldes se contint et ne versa aucune larme. Je finis par penser que les aveugles ne pouvaient pas pleurer. Mon attention fut détournée, jusqu’à ce que les froufrous d'une robe nous apporte de l'ombre et que je lève le regard ; elle était là. Avant que je puisse la voir, plantée devant nous, Guiraldes salua son infirmière :
— Daniela, dit-il en haussant un peu la voix, je te présente Guilherme…
La femme, une dame amaigrie et froide, étira la main jusqu’à me toucher l’épaule :
— Je suis vraiment désolée, monsieur Fonseca.
— Monsieur Fonseca…, répétai-je, en pesant mes mots.

Hélène a dit…

Un silence embarrassant survint pendant un instant, mais Guiraldes se contint et ne versa aucune larme. Je finis par penser que les aveugles ne pouvaient pas pleurer. Mon attention fut détournée, jusqu’à ce que les froufrous d'une robe nous apportent de l'ombre et que je lève le regard ; elle était là. Avant que je puisse la voir, plantée devant nous, Guiraldes salua son infirmière :
— Daniela, dit-il en haussant un peu la voix, je te présente Guilherme…
La femme, une dame amaigrie et froide, étira la main jusqu’à me toucher l’épaule :
— Je suis vraiment désolée, monsieur Fonseca.
— Monsieur Fonseca…, répétai-je, en pesant mes mots.

J'avais oublié l'accord du verbe...

Tradabordo a dit…

Un silence embarrassant survint pendant un instant, mais Guiraldes se contint et ne versa aucune [« pas la moindre »] larme. Je finis par penser que les aveugles ne pouvaient pas pleurer. Mon attention fut détournée, jusqu’à ce que les froufrous d'une robe nous apportent [ou avec « faire » ou « projette sur nous une ombre… »] de l'ombre et que je lève le regard ; elle était là. Avant que je puisse la voir, plantée [pas très positif] devant nous, Guiraldes salua son infirmière :
— Daniela, dit-il en haussant un peu la voix, je te présente Guilherme…
La femme, une dame amaigrie [c'est un résultat, pas un état…] et froide, étira [très mal dit] la main jusqu’à me toucher l’épaule :
— Je suis vraiment désolée, monsieur Fonseca.
— Monsieur Fonseca…, répétai-je, en pesant mes mots.

Hélène a dit…

Un silence embarrassant survint pendant un instant, mais Guiraldes se contint et ne versa pas la moindre larme. Je finis par penser que les aveugles ne pouvaient pas pleurer. Mon attention fut détournée, jusqu’à ce que les froufrous d'une robe nous fassent de l'ombre et que je lève le regard ; elle était là. Avant que je puisse la voir, debout face à nous, Guiraldes salua son infirmière :
— Daniela, dit-il en haussant un peu la voix, je te présente Guilherme…
La femme, une dame maigre et froide, tendit la main jusqu’à me toucher l’épaule :
— Je suis vraiment désolée, monsieur Fonseca.
— Monsieur Fonseca…, répétai-je, en pesant mes mots.

Tradabordo a dit…

Un silence embarrassant survint [je ne suis pas convaincue par le verbe ; là, rien ne me vient, mais il faut chercher / regarde dans le dico des synonymes + sur Google pour l'usage] pendant un instant, mais Guiraldes se contint et ne versa pas la moindre larme. Je finis par penser que les aveugles ne pouvaient pas pleurer. Mon attention fut détournée, jusqu’à ce que les froufrous d'une robe nous fassent de l'ombre [ça m'embête à cause de l'expression / sens figuré] et que je lève le regard ; elle était là. Avant que je puisse la voir, debout face à nous, Guiraldes salua son infirmière :
— Daniela, dit-il en haussant un peu la voix, je te présente Guilherme…
La femme, une dame maigre et froide, tendit la main jusqu’à me toucher l’épaule :
— Je suis vraiment désolée, monsieur Fonseca.
— Monsieur Fonseca…, répétai-je, en pesant mes mots.

Hélène a dit…

Pendant un instant, il y eut un silence embarrassant, mais Guiraldes se contint et ne versa pas la moindre larme. Je finis par penser que les aveugles ne pouvaient pas pleurer. Mon attention fut détournée, jusqu’à ce que les froufrous d'une robe projettent sur nous une ombre et que je lève le regard ; elle était là. Avant que je puisse la voir, debout face à nous, Guiraldes salua son infirmière :
— Daniela, dit-il en haussant un peu la voix, je te présente Guilherme…
La femme, une dame maigre et froide, tendit la main jusqu’à me toucher l’épaule :
— Je suis vraiment désolée, monsieur Fonseca.
— Monsieur Fonseca…, répétai-je, en pesant mes mots.

Tradabordo a dit…

Pendant un instant, il y eut un silence embarrassant, mais Guiraldes se contint et ne versa pas la moindre larme. Je finis par penser que les aveugles ne pouvaient pas pleurer. Mon attention fut détournée, jusqu’à ce que les froufrous d'une robe projettent sur nous une ombre et que je lève le regard ; elle était là. Avant que je puisse la voir, debout face à nous, Guiraldes salua son infirmière :
— Daniela, dit-il en haussant un peu la voix, je te présente Guilherme…
La femme, une dame maigre et froide, tendit la main jusqu’à me toucher l’épaule :
— Je suis vraiment désolée, monsieur Fonseca.
— Monsieur Fonseca…, répétai-je, en pesant mes mots.

OK.