Medio siglo de matrimonio me ha tomado comenzar a olvidar mi artrosis, mis pulmones gastados y esa aridez inconfe- sable (tan injusta, si aún deseo). Camino del terminal, antes de olvidarlo todo, me detengo en el edificio donde vive mi bisnieta. “Cuando sea grande quiero ser como tú”, me ha dicho tantas veces. Dios nunca lo permita. A modo de despedida, mis tijeras de regalo.
Traduction temporaire :
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (tellement injuste, alors que j'ai encore du désir). Vers la fin, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit de nombreuses fois. J'espère que Dieu ne le permettra jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux comme cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (tellement injuste, alors que j'ai encore du désir). Vers la fin, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit de nombreuses fois. J'espère que Dieu ne le permettra jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux comme cadeau.
26 commentaires:
J'ai mis un demi-siècle de mariage à commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, si je le désire encore). Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
J'ai mis [ou : « Il ma fallu » ? Je vous laisse regarder et trancher…] un demi-siècle de mariage à commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, si [CS] je le désire encore).
Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage à commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, oui je le désire encore). Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage à [? Relisez-vous quand vous changez quelque chose…] commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, oui je le désire encore). Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, oui je le désire encore). Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, oui [CS] je le désire encore). Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, parce que je le désire encore). Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, parce que [CS] je le désire encore). Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
l m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, même si je le désire encore). Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, même si [c'est mieux, mais pas encore ça…] je le désire encore). Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, bien que je le désire encore). Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, bien que [presque] je le désire encore). Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, quoique je le désire encore). Chemin du terminal, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, quoique [ALORS QUE] je le désire encore). Chemin du terminal [?????????], avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si injuste, alors que je le désire encore). Sur le chemin de la mort, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de fois. Que Dieu ne le permette jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (si [il y a mieux ici, du couo] injuste, alors que je le désire [idem] encore). Sur le chemin de la mort [sûre ? Pourquoi est-ce formulé ainsi en espagnol ? Avez-vous trouvé l'expression ?], avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit tant de [mal dit ici] fois. Que Dieu ne le permette jamais [naturel ?]. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (tant injuste, alors que je le veux encore). À la fin du chemin [J'ai cherché sur internet et dans plusieurs dictionnaires unilingues mais je ne trouve pas le sens de l'expression. J'ai trouvé des phrases où celle-ci est employée, mais c'est plus dans le sens de « terminus »], avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit de nombreuses fois. J'espère que Dieu ne le permettra jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (tant [mal dit] injuste, alors que je le veux encore [il y a mieux que vouloir s'agissant de cela]). À la fin du chemin [J'ai cherché sur internet et dans plusieurs dictionnaires unilingues mais je ne trouve pas le sens de l'expression. J'ai trouvé des phrases où celle-ci est employée, mais c'est plus dans le sens de « terminus » //OK], avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit de nombreuses fois. J'espère que Dieu ne le permettra jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux en [ça m'embête les deux constructions avec « en »] cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (tellement injuste, alors que je le souhaite encore). À la fin du chemin, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit de nombreuses fois. J'espère que Dieu ne le permettra jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux comme cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (tellement injuste, alors que je le souhaite [avec « avoir envie »] encore). À la fin du chemin [ça m'ennuie, parce que « camino de »… ça ne veut pas vraiment dire ça], avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit de nombreuses fois. J'espère que Dieu ne le permettra jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux comme cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (tellement injuste, alors que j'ai encore envie). Vers la fin, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit de nombreuses fois. J'espère que Dieu ne le permettra jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux comme cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (tellement injuste, alors que j'ai encore envie). Vers la fin, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit de nombreuses fois. J'espère que Dieu ne le permettra jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux comme cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (tellement injuste, alors que j'[« en »]ai encore envie [ou pour être plus explicite : « alors que j'ai encore du désir » ? Je vous laisse réfléchir]). Vers la fin, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit de nombreuses fois. J'espère que Dieu ne le permettra jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux comme cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (tellement injuste, alors que j'ai encore du désir). Vers la fin, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit de nombreuses fois. J'espère que Dieu ne le permettra jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux comme cadeau.
Il m'a fallu un demi-siècle de mariage pour commencer à oublier mon arthrose, mes poumons usés et cette aridité inavouable (tellement injuste, alors que j'ai encore du désir). Vers la fin, avant de tout oublier, je m'arrête dans l'immeuble où vit mon arrière-petite-fille. « Quand je serai grande, je voudrais être comme toi », m'a-t-elle dit de nombreuses fois. J'espère que Dieu ne le permettra jamais. En guise d'adieux, mes ciseaux comme cadeau.
OK.
Allez chercher votre texte dans « Travaux en cours », relisez bien et envoyez par mail quand c'est prêt. En attendant, je vous en mets un autre.
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