Todo un lugar común, una propia y llana miseria. Sueno pesimista, ahora no me queda duda de eso. Alguna vez Didier me dijo que lo peor del suicidio no es la muerte en sí por mano propia, sino lo que se desencadena luego.
Traduction temporaire :
Un endroit des plus ordinaires, une misère claire et nette. À présent, cela ne fait plus l'ombre d'un doute, même si je passe pour un pessimiste en le disant. Une fois, Didier m'a confié que le pire, dans le suicide, ce n'est pas la mort en soi, donnée de sa propre main, mais ce qui se déclenche ensuite.
10 commentaires:
Annelise L
Rien d'autre qu'un endroit ordinaire, une misère claire et nette. J'ai l'air pessimiste, mais à présent je n'ai plus de doute là-dessus. Une fois, Didier m'a dit que le pire dans le suicide, ce n'est pas la mort en soi, donnée de ses propres mains, mais ce qui se déclenche ensuite.
Rien d'autre qu'un endroit ordinaire [ou : « Un ednroit des plus ordinaires » ? Je te laisse réfléchir], une misère claire et nette. J'ai l'air pessimiste, mais à présent [virgule] je n'ai plus de doute là-dessus. Une fois, Didier m'a dit que le pire [virgule] dans le suicide, ce n'est pas la mort en soi, donnée de ses propres mains [singulier, comme en V.O.], mais [tu as déjà « mais » dans la phrase d'avant] ce qui se déclenche ensuite.
Annelise L
Un endroit des plus ordinaires, une misère claire et nette. J'ai l'air pessimiste, seulement à présent, je n'ai plus de doute là-dessus. Une fois, Didier m'a dit que le pire, dans le suicide, ce n'est pas la mort en soi, donnée de sa propre main, mais ce qui se déclenche ensuite.
Un endroit des plus ordinaires, une misère claire et nette. J'ai l'air pessimiste, seulement à présent, je n'ai plus de doute là-dessus [je ne sais pas si c'est à cause de la ponctuation, mais ça manque de clarté ; qu'est-ce qui va avec quoi ?]. Une fois, Didier m'a dit que le pire, dans le suicide, ce n'est pas la mort en soi, donnée [ou « infligée » ? J'hésite…] de sa propre main, mais ce qui se déclenche ensuite.
Annelise L
Un endroit des plus ordinaires, une misère claire et nette. A présent, cela ne fait plus l'ombre d'un doute, même si je passe pour un pessimiste en le disant. Une fois, Didier m'a confié que le pire, dans le suicide, ce n'est pas la mort en soi, flanquée de sa propre main, mais ce qui se déclenche ensuite.
Un endroit des plus ordinaires, une misère claire et nette. A présent, cela ne fait plus l'ombre d'un doute, même si je passe pour un pessimiste en le disant. Une fois, Didier m'a confié que le pire, dans le suicide, ce n'est pas la mort en soi, flanquée de [mal dit] sa propre main, mais ce qui se déclenche ensuite.
Annelise L
Un endroit des plus ordinaires, une misère claire et nette. A présent, cela ne fait plus l'ombre d'un doute, même si je passe pour un pessimiste en le disant. Une fois, Didier m'a confié que le pire, dans le suicide, ce n'est pas la mort en soi, donnée de sa propre main, mais ce qui se déclenche ensuite.
Un endroit des plus ordinaires, une misère claire et nette. A [accentue tes majuscules] présent, cela ne fait plus l'ombre d'un doute, même si je passe pour un pessimiste en le disant. Une fois, Didier m'a confié que le pire, dans le suicide, ce n'est pas la mort en soi, donnée de sa propre main, mais ce qui se déclenche ensuite.
Annelise L
Un endroit des plus ordinaires, une misère claire et nette. À présent, cela ne fait plus l'ombre d'un doute, même si je passe pour un pessimiste en le disant. Une fois, Didier m'a confié que le pire, dans le suicide, ce n'est pas la mort en soi, donnée de sa propre main, mais ce qui se déclenche ensuite.
Un endroit des plus ordinaires, une misère claire et nette. À présent, cela ne fait plus l'ombre d'un doute, même si je passe pour un pessimiste en le disant. Une fois, Didier m'a confié que le pire, dans le suicide, ce n'est pas la mort en soi, donnée de sa propre main, mais ce qui se déclenche ensuite.
OK.
Enregistrer un commentaire