mercredi 12 novembre 2014

Projet Élodie 9 – phrases 92-96

¿Qué hacía yo cuando papá me pegaba con el cinturón y me encerraba en el ropero de la abuela? Imaginaba que al ropero se le había volado el techo y se veía el cielo. Y yo empezaba a volar, y subía, subía cada vez más alto, miraba para abajo y me veía a mí misma como si fuera dos personas distintas, como las mellizas del tercer piso. Bueno, ahora, que soy más grande, puedo subir más alto aún. Miro para abajo y, para mi sorpresa, solo veo a una mujer, una sola, dispuesta a emprender la marcha tanto tiempo postergada.

Traduction temporaire :
Qu'est-ce que je faisais quand papa me frappait avec sa ceinture et m'enfermait dans la penderie de grand-mère ? J'imaginais que le toit s'envolait et qu'on pouvait voir le ciel. Et je commençais à voler, je montais, montais, de plus en plus haut. Je regardais vers le bas et je me voyais, moi, comme si j'étais deux personnes différentes, pareil que pour les jumelles du troisième étage. Mais bon, maintenant que je suis grande, je peux monter encore plus haut. Je regarde vers le bas et étonnamment, je ne vois qu'une femme, une seule, prête à entreprendre la démarche tant de temps repoussée.

9 commentaires:

Elodie a dit…

Qu'est-ce que je faisais quand papa me frappait avec sa ceinture et m'enfermait dans la penderie de la grand-mère ? J'imaginais que le toit s'envolait et qu'on pouvait voir le ciel. Et je commençais à voler, et je montais, montais chaque fois plus haut. Je regardais vers le bas et je me voyais, moi, comme si j'étais deux personnes différentes, comme les jumelles du troisième étage. Mais bon, maintenant que je suis grande, je peux monter encore plus haut. Je regarde vers le bas et comme par surprise, je ne vois qu'une femme, une seule, disposée à entreprendre la démarche tant de temps repoussée.

Tradabordo a dit…

Qu'est-ce que je faisais quand papa me frappait avec sa ceinture et m'enfermait dans la penderie de la grand-mère ? J'imaginais que le toit s'envolait et qu'on pouvait voir le ciel. Et je commençais à voler, et je montais, montais chaque fois [mal dit ici] plus haut. Je regardais vers le bas et je me voyais, moi, comme si j'étais deux personnes différentes, comme les jumelles du troisième étage. Mais bon, maintenant que je suis grande, je peux monter encore plus haut. Je regarde vers le bas et comme [tu as déjà deux « comme » avant ; essaie de changer…] par surprise, je ne vois qu'une femme, une seule, disposée [« prête » ?] à entreprendre la démarche tant de temps repoussée.

Elodie a dit…

Qu'est-ce que je faisais quand papa me frappait avec sa ceinture et m'enfermait dans la penderie de la grand-mère ? J'imaginais que le toit s'envolait et qu'on pouvait voir le ciel. Et je commençais à voler, et je montais, montais, encore plus haut à chaque fois. Je regardais vers le bas et je me voyais, moi, comme si j'étais deux personnes différentes, comme les jumelles du troisième étage. Mais bon, maintenant que je suis grande, je peux monter encore plus haut. Je regarde vers le bas et étonnamment, je ne vois qu'une femme, une seule, prête à entreprendre la démarche tant de temps repoussée.

Tradabordo a dit…

Qu'est-ce que je faisais quand papa me frappait avec sa ceinture et m'enfermait dans la penderie de la [ou sans ? J'hésite… Fais comme tu veux] grand-mère ? J'imaginais que le toit s'envolait et qu'on pouvait voir le ciel. Et je commençais à voler, et [tu as un « et » de trop…] je montais, montais, encore [non] plus haut à chaque fois. Je regardais vers le bas et je me voyais, moi, comme si j'étais deux personnes différentes, comme [« pareil que pour » ?] les jumelles du troisième étage. Mais bon, maintenant que je suis grande, je peux monter encore plus haut. Je regarde vers le bas et étonnamment, je ne vois qu'une femme, une seule, prête à entreprendre la démarche tant de temps repoussée.

Elodie a dit…

Qu'est-ce que je faisais quand papa me frappait avec sa ceinture et m'enfermait dans la penderie de grand-mère ? J'imaginais que le toit s'envolait et qu'on pouvait voir le ciel. Et je commençais à voler, je montais, montais, toujours plus haut à chaque fois. Je regardais vers le bas et je me voyais, moi, comme si j'étais deux personnes différentes, pareil que pour les jumelles du troisième étage. Mais bon, maintenant que je suis grande, je peux monter encore plus haut. Je regarde vers le bas et étonnamment, je ne vois qu'une femme, une seule, prête à entreprendre la démarche tant de temps repoussée.

Tradabordo a dit…

Qu'est-ce que je faisais quand papa me frappait avec sa ceinture et m'enfermait dans la penderie de grand-mère ? J'imaginais que le toit s'envolait et qu'on pouvait voir le ciel. Et je commençais à voler, je montais, montais, toujours plus haut à chaque fois [« de plus en plus »]. Je regardais vers le bas et je me voyais, moi, comme si j'étais deux personnes différentes, pareil que pour les jumelles du troisième étage. Mais bon, maintenant que je suis grande, je peux monter encore plus haut. Je regarde vers le bas et étonnamment, je ne vois qu'une femme, une seule, prête à entreprendre la démarche tant de temps repoussée.

Elodie a dit…

Qu'est-ce que je faisais quand papa me frappait avec sa ceinture et m'enfermait dans la penderie de grand-mère ? J'imaginais que le toit s'envolait et qu'on pouvait voir le ciel. Et je commençais à voler, je montais, montais, de plus en plus haut. Je regardais vers le bas et je me voyais, moi, comme si j'étais deux personnes différentes, pareil que pour les jumelles du troisième étage. Mais bon, maintenant que je suis grande, je peux monter encore plus haut. Je regarde vers le bas et étonnamment, je ne vois qu'une femme, une seule, prête à entreprendre la démarche tant de temps repoussée.

Tradabordo a dit…

Qu'est-ce que je faisais quand papa me frappait avec sa ceinture et m'enfermait dans la penderie de grand-mère ? J'imaginais que le toit s'envolait et qu'on pouvait voir le ciel. Et je commençais à voler, je montais, montais, de plus en plus haut. Je regardais vers le bas et je me voyais, moi, comme si j'étais deux personnes différentes, pareil que pour les jumelles du troisième étage. Mais bon, maintenant que je suis grande, je peux monter encore plus haut. Je regarde vers le bas et étonnamment, je ne vois qu'une femme, une seule, prête à entreprendre la démarche tant de temps repoussée.

OK.

Tradabordo a dit…

Tu as terminé les deux textes de ton auteur. Prends-les dans Travaux en cours, relis bien (attention que je n'ai pas collé des bouts de l'un à l'autre, etc., qu'il ne manque pas des phrases) et envoie quand c'est prêt.