mercredi 12 novembre 2014

Projet Émeline / Justine – phrases 23-24

Gonzalo dejó el libro abierto sobre la barra mientras rebuscaba en sus bolsillos un dinero que ya no tenía, se sacó las manos vacías y encogió los hombros ante el encargado, al tiempo que se ponía su sonrisa de sincera disculpa. El encargado le dijo que no importaba, que ya pagaría al día siguiente, hay que joderse con estos muertos de hambre –esto sólo lo pensó-, les deja la mujer y ya se creen que no tienen casa.

Traduction temporaire :
Gonzalo a posé son livre ouvert sur le comptoir pour chercher dans ses poches un argent qu’il n’avait plus. Il en a ressorti ses mains vides, a haussé les épaules et a souri à son interlocuteur, l'air sincèrement désolé. Le patron lui a assuré que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain. Il faut se les farcir ces crève-la faim – ça, il l’a juste pensé – leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils n'ont plus de chez-soi.

13 commentaires:

Unknown a dit…

Gonzalo a laissé son livre ouvert sur le comptoir pendant qu’il recherchait dans ses poches de l’argent qu’il n’avait plus, il a sorti ses mains vides et a haussé les épaules face au patron, affichant en même temps son sourire d’excuse sincère. Le patron lui a dit que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain, il faut bien s’emmerder avec ces morts de faim – ça, il l’a juste pensé : leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils n’ont pas de maison.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a laissé [« posé » ?] son livre ouvert sur le comptoir pendant qu’il re[nécessaire ?]cherchait dans ses poches de l’[« un » ou rien ?]argent qu’il n’avait plus, il [« en »] a [«res» ?]sorti ses mains vides et a haussé les épaules face au patron, affichant en même temps [nécessaire ? Je trouve que c'est un peu lourd] son sourire d’excuse sincère. Le patron lui a dit que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain, il faut bien s’emmerder avec ces morts de faim [gros manque de naturel] – ça, il l’a juste pensé : leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils n’ont pas de maison.

Justine a dit…

Gonzalo a posé son livre ouvert sur le comptoir pendant qu’il cherchait dans ses poches un argent qu’il n’avait plus, il en a ressorti ses mains vides et a haussé les épaules face au patron, souriant en guise d’excuse sincère. Le patron lui a assuré que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain. Il faut bien se les farcir ces crève-la faim–, ça, il l’a juste pensé : leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils sont sans domicile.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a posé son livre ouvert sur le comptoir pendant qu’il cherchait [ou simplement « pour chercher » ?] dans ses poches un argent qu’il n’avait plus, [point ?] il en a ressorti ses mains vides et a haussé les épaules face au patron, souriant en guise [je ne trouve pas cela très naturel…] d’excuse sincère. Le patron [on essaie de ne pas répéter ; sans doute l'autre est-il plus facile à changer…] lui a assuré que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain. Il faut bien se les farcir ces crève-la faim–, ça, il l’a juste pensé : leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils sont sans domicile [pas mal du tout, Justine… sauf cette petite fin].

Justine a dit…

Gonzalo a posé son livre ouvert sur le comptoir pour chercher dans ses poches un argent qu’il n’avait plus. Il en a ressorti ses mains vides et a haussé les épaules et a souri à son interlocuteur, l'air sincèrement désolé. Le patron lui a assuré que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain. Il faut bien se les farcir ces crève-la faim–, ça, il l’a juste pensé : leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils n'ont plus de chez-soi.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a posé son livre ouvert sur le comptoir pour chercher dans ses poches un argent qu’il n’avait plus. Il en a ressorti ses mains vides et a haussé les épaules et a souri à son interlocuteur, l'air sincèrement désolé. Le patron lui a assuré que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain. Il faut bien se les farcir ces crève-la faim–[ce tiret ? Remets au propre], ça, il l’a juste pensé : leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils n'ont plus de chez-soi.

Justine a dit…

Gonzalo a posé son livre ouvert sur le comptoir pour chercher dans ses poches un argent qu’il n’avait plus. Il en a ressorti ses mains vides et a haussé les épaules et a souri à son interlocuteur, l'air sincèrement désolé. Le patron lui a assuré que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain. Il faut bien se les farcir ces crève-la faim… ça, il l’a juste pensé : leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils n'ont plus de chez-soi.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a posé son livre ouvert sur le comptoir pour chercher dans ses poches un argent qu’il n’avait plus. Il en a ressorti ses mains vides et a haussé les épaules et a souri à son interlocuteur, l'air sincèrement désolé. Le patron lui a assuré que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain. Il faut se les farcir ces crève-la faim… ça, il l’a juste pensé : [non, il faut que tu remettes les tirets ; exactement la même construction que depuis le début du texte] leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils n'ont plus de chez-soi.

Justine a dit…

Gonzalo a posé son livre ouvert sur le comptoir pour chercher dans ses poches un argent qu’il n’avait plus. Il en a ressorti ses mains vides et a haussé les épaules et a souri à son interlocuteur, l'air sincèrement désolé. Le patron lui a assuré que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain. Il faut se les farcir ces crève-la faim – ça, il l’a juste pensé – leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils n'ont plus de chez-soi.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a posé son livre ouvert sur le comptoir pour chercher dans ses poches un argent qu’il n’avait plus. Il en a ressorti ses mains vides et a haussé les épaules et [trop de « et »] a souri à son interlocuteur, l'air sincèrement désolé. Le patron lui a assuré que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain. Il faut se les farcir ces crève-la faim – ça, il l’a juste pensé – leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils n'ont plus de chez-soi.

Justine a dit…

Gonzalo a posé son livre ouvert sur le comptoir pour chercher dans ses poches un argent qu’il n’avait plus. Il en a ressorti ses mains vides, a haussé les épaules et a souri à son interlocuteur, l'air sincèrement désolé. Le patron lui a assuré que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain. Il faut se les farcir ces crève-la faim – ça, il l’a juste pensé – leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils n'ont plus de chez-soi.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a posé son livre ouvert sur le comptoir pour chercher dans ses poches un argent qu’il n’avait plus. Il en a ressorti ses mains vides, a haussé les épaules et a souri à son interlocuteur, l'air sincèrement désolé. Le patron lui a assuré que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain. Il faut se les farcir ces crève-la faim – ça, il l’a juste pensé – leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils n'ont plus de chez-soi.

OK.

Émeline ?

Unknown a dit…

Gonzalo a posé son livre ouvert sur le comptoir pour chercher dans ses poches un argent qu’il n’avait plus. Il en a ressorti ses mains vides, a haussé les épaules et a souri à son interlocuteur, l'air sincèrement désolé. Le patron lui a assuré que cela n’avait pas d’importance, qu’il paierait le lendemain. Il faut se les farcir ces crève-la faim – ça, il l’a juste pensé – leur femme les quittent et, ça y est, ils croient qu’ils n'ont plus de chez-soi.

OK