El centro de la habitación lo ocupaba un acoplado sobre el que descansaban dos jaulas estrechas. En una dormía el tigre de Bengala. En la otra dormía la hembra, también anestesiada. Tenía una de las patas envuelta en vendas.
Ahí los tiene, dijo Duilio.
La señora Ema se quedó quieta frente a las jaulas. Aspiró profundamente, pero la emoción hizo que el aire se atravesara en su garganta y le pareció que ya nunca más iba a salir. Se llevó una mano al corazón.
¿Le gustan?, preguntó Duilio.
La señora Ema hizo que sí con la cabeza y el aire escapó en un suspiro.
Son bellísimos, dijo.
Dé la vuelta, así los ve desde este otro lado.
Traduction temporaire :
Au centre de la pièce se trouvait une remorque sur laquelle étaient posées deux cages étroites. Le tigre du Bengale dormait dans l’une d’elles. La femelle, également anesthésiée, dans l’autre. Elle avait une patte bandée.
Les voici, annonça Duilio.
Madame Ema demeura immobile face aux cages. Elle inspira profondément, mais, sous le coup de l’émotion, l’air se bloqua dans sa gorge et il lui sembla qu’il n’allait plus jamais en sortir. Elle porta la main à son cœur.
Ils vous plaisent ? interrogea Duilio.
Madame Ema acquiesça et l’air s’échappa dans un soupir.
Ils sont magnifiques, dit-elle.
Faites le tour, pour les voir depuis l’autre côté.
Les voici, annonça Duilio.
Madame Ema demeura immobile face aux cages. Elle inspira profondément, mais, sous le coup de l’émotion, l’air se bloqua dans sa gorge et il lui sembla qu’il n’allait plus jamais en sortir. Elle porta la main à son cœur.
Ils vous plaisent ? interrogea Duilio.
Madame Ema acquiesça et l’air s’échappa dans un soupir.
Ils sont magnifiques, dit-elle.
Faites le tour, pour les voir depuis l’autre côté.
4 commentaires:
Au centre de la pièce se trouvait une remorque supportant deux cages étroites. Le tigre du Bengale dormait dans l’une d’entre elles. La femelle, également anesthésiée, dans l’autre. Elle avait une patte bandée.
Les voici, lança Duilio.
Madame Ema demeura immobile face aux cages. Elle inspira profondément, mais sous le coup de l’émotion, l’air se mit en travers de sa gorge et il lui sembla qu’il n’allait plus jamais en sortir. Elle porta la main à son cœur.
Ils vous plaisent ? interrogea Duilio.
Madame Ema acquiesça et l’air s’échappa dans un soupir.
Ils sont magnifiques, dit-elle.
Faites le tour, pour les voir depuis l’autre côté.
Au centre de la pièce se trouvait une remorque supportant [naturel ? Fluide ? J'hésite… Ça me laisse dubitatif] deux cages étroites. Le tigre du Bengale dormait dans l’une d’entre [nécessaire ?] elles. La femelle, également anesthésiée, dans l’autre. Elle avait une patte bandée.
Les voici, lança [« annonça » ? Ça dépend ; on l'a déjà ?] Duilio.
Madame Ema demeura immobile face aux cages. Elle inspira profondément, mais [virgule ?] sous le coup de l’émotion, l’air se mit en travers de [naturel ?????] sa gorge et il lui sembla qu’il n’allait plus jamais en sortir. Elle porta la main à son cœur.
Ils vous plaisent ? interrogea Duilio.
Madame Ema acquiesça et l’air s’échappa dans un soupir.
Ils sont magnifiques, dit-elle.
Faites le tour, pour les voir depuis l’autre côté.
Au centre de la pièce se trouvait une remorque sur laquelle étaient posées deux cages étroites. Le tigre du Bengale dormait dans l’une d’elles. La femelle, également anesthésiée, dans l’autre. Elle avait une patte bandée.
Les voici, annonça Duilio.
Madame Ema demeura immobile face aux cages. Elle inspira profondément, mais, sous le coup de l’émotion, l’air se bloqua dans sa gorge et il lui sembla qu’il n’allait plus jamais en sortir. Elle porta la main à son cœur.
Ils vous plaisent ? interrogea Duilio.
Madame Ema acquiesça et l’air s’échappa dans un soupir.
Ils sont magnifiques, dit-elle.
Faites le tour, pour les voir depuis l’autre côté.
Au centre de la pièce se trouvait une remorque sur laquelle étaient posées deux cages étroites. Le tigre du Bengale dormait dans l’une d’elles. La femelle, également anesthésiée, dans l’autre. Elle avait une patte bandée.
Les voici, annonça Duilio.
Madame Ema demeura immobile face aux cages. Elle inspira profondément, mais, sous le coup de l’émotion, l’air se bloqua dans sa gorge et il lui sembla qu’il n’allait plus jamais en sortir. Elle porta la main à son cœur.
Ils vous plaisent ? interrogea Duilio.
Madame Ema acquiesça et l’air s’échappa dans un soupir.
Ils sont magnifiques, dit-elle.
Faites le tour, pour les voir depuis l’autre côté.
OK.
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