lundi 3 novembre 2014

Projet Justine 3 – phrases 46-48

A mi hermana le faltaba todavía un ciclo y medio para recibirse de ingeniera, había sido becada parte de la carrera, pero el año en que mi padre se debatió entre la vida y la muerte la había desestabilizado de tal manera que la perdió. Además, mi padre nunca había pagado seguro alguno, de manera que su cáncer consumió gran cantidad de los fondos que él había ahorrado. Incluso tuvimos que vender la mitad del local donde funcionaba su factoría y parte de la maquinaria.

Traduction temporaire :
Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Bourse qu'elle avait perdue l'année où elle avait vu mon père se débattre entre la vie et la mort ; ce qui l'avait évidemment beaucoup ébranlée. Par ailleurs, mon père n'ayant jamais payé aucune assurance, son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de ses machines.

21 commentaires:

Justine a dit…

Ma sœur devait poursuivre ses études avant d’avoir son diplôme d’ingénieur, elle avait été boursière un temps, mais l’année où mon père avait lutté entre la vie et la mort l’ayant déstabilisée, elle avait perdu cette bourse. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Tradabordo a dit…

Ma sœur devait poursuivre ses études avant d’avoir son diplôme d’ingénieur [là, t'as carrément triché, vilaine… ;-) Demande son aide à Elena], elle avait été boursière un temps, mais l’année où mon père avait lutté entre la vie et la mort l’ayant déstabilisée, elle avait perdu cette bourse. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Justine a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur, elle avait été boursière un temps, mais l’année où mon père avait lutté entre la vie et la mort l’ayant déstabilisée, elle avait perdu cette bourse. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Tradabordo a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur, [point] elle avait été boursière un temps, mais l’année où mon père avait lutté [mal dit] entre la vie et la mort l’ayant déstabilisée, elle avait perdu cette bourse [supprime et mettant ce qui se rapporte à ce point au début de la phrase… pour faire la jonction avec la précédente]. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Justine a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps, avant de perdre ce droit, déstabilisée, l'année où mon père s'était débattu entre la vie et la mort. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Tradabordo a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps, avant de perdre ce droit, déstabilisée [pas un peu faible par rapport à l'événement en question ? J'hésite sur la syntaxe], l'année où mon père s'était débattu entre la vie et la mort.

Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Justine a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps, avant d'être ébranlée et de perdre ce droit, l'année où mon père s'était débattu entre la vie et la mort. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Tradabordo a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps, avant d'être ébranlée et [mets ça après… dans une autre phrase] de perdre ce droit, l'année où mon père s'était débattu entre la vie et la mort. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Justine a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Puis, ébranlée, l'année où mon père s'était débattu entre la vie et la mort, elle avait perdu ce droit. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Tradabordo a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Puis [« Bourse qu'elle avait »], ébranlée, l'année où mon père s'était débattu entre la vie et la mort, elle avait perdu ce droit. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Justine a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Bourse qu'elle avait perdue, ébranlée, l'année où mon père s'était débattu entre la vie et la mort. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Tradabordo a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Bourse qu'elle avait perdue, ébranlée [ah non, sinon, ça va avec « perdue » / c'est la bourse qui est ébranlée], l'année où mon père s'était débattu entre la vie et la mort. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Justine a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Bourse qu'elle avait perdue, l'année où voir mon père se débattre entre la vie et la mort l'avait ébranlée. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Tradabordo a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Bourse qu'elle avait perdue, l'année où voir mon père se débattre entre la vie et la mort l'avait ébranlée [pas très fluide]. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Justine a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Bourse qu'elle avait perdue, l'année où elle avait vu mon père se débattre entre la vie et la mort ; ce qui l'avait évidemment ébranlée. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie.

Tradabordo a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Bourse qu'elle avait perdue, [sans la virgule] l'année où elle avait vu mon père se débattre entre la vie et la mort ; ce qui l'avait évidemment ébranlée. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de la machinerie [vérifie qu'on dit bien comme ça].

Justine a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Bourse qu'elle avait perdue l'année où elle avait vu mon père se débattre entre la vie et la mort ; ce qui l'avait évidemment ébranlée. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de ses machines.

Justine a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Bourse qu'elle avait perdue l'année où elle avait vu mon père se débattre entre la vie et la mort ; ce qui l'avait évidemment ébranlée. Par ailleurs, mon père n’avait jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de ses machines.

Tradabordo a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Bourse qu'elle avait perdue l'année où elle avait vu mon père se débattre entre la vie et la mort ; ce qui l'avait évidemment [cheville : « beaucoup » ?] ébranlée. Par ailleurs, mon père n’avait [« n'ayant » ?] jamais payé aucune assurance, de sorte que son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de ses machines.

Justine a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Bourse qu'elle avait perdue l'année où elle avait vu mon père se débattre entre la vie et la mort ; ce qui l'avait évidemment beaucoup ébranlée. Par ailleurs, mon père n'ayant jamais payé aucune assurance, son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de ses machines.

Tradabordo a dit…

Ma sœur avait encore un an et demi à passer à l'université avant d'obtenir son diplôme d'ingénieur. Elle avait été boursière un temps. Bourse qu'elle avait perdue l'année où elle avait vu mon père se débattre entre la vie et la mort ; ce qui l'avait évidemment beaucoup ébranlée. Par ailleurs, mon père n'ayant jamais payé aucune assurance, son cancer avait mangé une grande partie de ses économies. Nous avions même dû vendre la moitié des locaux de son usine ainsi qu’une partie de ses machines.

OK.