Tantas emociones puse a masticar agua, esperando un llamado. Ahora, sin plumas ni antifaz, no hace falta quebrar el reflejo de mis naturalezas. Hay sólo una que me permite hundir un poco más el puñal. No sentí tu alarido.
Traduction temporaire :
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser le reflet de ma nature ; seul un de ses aspects me permet de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas perçu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser le reflet de ma nature ; seul un de ses aspects me permet de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas perçu ton hurlement.
24 commentaires:
J'ai ressenti tant d'émotions en mâchant l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est plus nécessaire de briser les reflets de ma personnalité. Il n'y en a qu'un qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas entendu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions en mâchant l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est plus [il n'est pas en V.O. J'hésite…] nécessaire de briser les reflets de ma personnalité [est-ce que vous ne changez pas trop ?]. Il n'y en a qu'un [?] qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas entendu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions en mâchant l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets de ma personnalité [certainement, mais c'est que " de mes natures" ne sonne pas très bien en français...?]. Il n'y en a qu'un [je pensais que cela faisait référence à un des reflets / aspects de sa personnalité, celui qui lui donne la force de s'enfoncer le poignard, non ?] qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas entendu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions en mâchant l'eau, attendant [ça m'embête ces deux « ant »… alors que ça n'est pas vraiment sur le même plan… Essayez de trouver une solution] un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets de ma personnalité [certainement, mais c'est que " de mes natures" ne sonne pas très bien en français...? Il faut sans doute le mettre au singulier ; essayez]. Il n'y en a qu'un [je pensais que cela faisait référence à un des reflets / aspects de sa personnalité, celui qui lui donne la force de s'enfoncer le poignard, non ? OK pour « aspect »] qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas entendu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions en mâchant l'eau, j'attendais un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets de ma nature. Il n'y a qu'un aspect qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas entendu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions en mâchant l'eau [alors que je], j'attendais [« attendant » ici] un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets de ma nature. Il n'y a qu'un aspect qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas entendu [nécessaire de changer ?] ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets de ma nature. Il n'y a qu'un aspect qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas senti ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets de ma nature. Il n'y a qu'un aspect [avec un possessif pour qu'on soit sûres de bien faire comprendre le lien avec « ma nature » ?] qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas senti ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets de ma nature. Il n'y a qu'un de ces aspects [je ne vois pas quel possessif vous attendez, à part le "mes" mais je trouve le rendu bancal... alors je vous propose un démonstratif...?] qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas senti ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets de ma nature. Il n'y a qu'un de ces aspects [je ne vois pas quel possessif vous attendez, à part le "mes" mais je trouve le rendu bancal... alors je vous propose un démonstratif...? SES… puisque ce sont les aspects de la nature du personnage] qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas senti ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets de ma nature. Il n'y a qu'un de ces aspects [j'y avais pensé aussi mais comme le texte est à la première personne ça n'est pas possible, si ?] qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas senti ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets de ma nature. Il n'y a qu'un de ces aspects [j'y avais pensé aussi mais comme le texte est à la première personne ça n'est pas possible, si ? Si ; si vous voulez que le lien avec « ses » et « ma nature » soit bien explicite, mettez un point-virgule entre les deux phrases] qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas senti ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets de ma nature ; il n'y a qu'un de ses aspects qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas senti ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets [au fait, en espagnol, c'est au singulier] de ma nature ; il n'y a qu'un de ses aspects qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas senti [« perçu » ?] ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets [oui, mais pour qu'il y ait différents aspects, il faut qu'il y ait plusieurs reflets, non ?] de ma nature ; il n'y a qu'un de ses aspects qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas perçu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser les reflets [oui, mais pour qu'il y ait différents aspects, il faut qu'il y ait plusieurs reflets, non ? Il faut faire comme en V.O.] de ma nature ; il n'y a qu'un de ses aspects qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas perçu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser le reflet de ma nature ; il n'y a qu'un de ses aspects qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas perçu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser le reflet de ma nature ; il n'y a qu'un [« seul » ; je pse qu'avec ça, ce sera bien plus clair, non ?] de ses aspects qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas perçu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser le reflet de ma nature ; il n'y a qu'un seul de ses aspects qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas perçu ton hurlement.
(Je crois que j'ai toujours du mal à comprendre le "ses", car là du coup, on dirait qu'il y a une autre personne qui intervient pour parler de la femme, comme si, au final, celui qui plantait le poignard était un autre personnage...)
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser le reflet de ma nature ; il n'y a qu'un seul de ses aspects qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas perçu ton hurlement.
Essayez avec « dont ».
(ok j'ai compris ! Mais bon du coup, pas la peine de le rajouter...)
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser le reflet de ma nature ; il n'y a qu'un seul de ses aspects qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas perçu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser le reflet de ma nature ; il n'y a qu'un seul [et « seul un », permettra d'éviter « qu' » / « qui », non ?] de ses aspects qui me permette de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas perçu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser le reflet de ma nature ; seul un de ses aspects me permet de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas perçu ton hurlement.
J'ai ressenti tant d'émotions alors que je mâchais l'eau, attendant un appel. Maintenant, sans plumes ni masque, il n'est pas nécessaire de briser le reflet de ma nature ; seul un de ses aspects me permet de planter un peu plus le poignard. Je n'ai pas perçu ton hurlement.
OK.
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