¿Qué hace él pensando esto, tan optimista?, se regaña. Al llegar al otro extremo del puente, sobre la lateral opuesta de la avenida, ofuscado descubre que... vaya, ¿a quién se le ocurre dejar así las cosas? Está cerrado: el puente no tiene salida, falta la escalera. Se rasca la cabeza, suspira y se da media vuelta. Su desespero se alimenta de saber que no sólo no llegará a tiempo a la escuela para recoger al niño, sino que acaso no pueda aprovechar la tarde libre para llevarlo al cine a ver un estreno de caricatura, juntos comer palomitas, el refresco de manzana que les gusta.
Traduction temporaire :
Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Mince alors ! Qui a laissé tout ce chantier ? C'est fermé. Le pont n'a pas d'issue, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et se retourne. Son désespoir se nourrit non seulement de ce qu'il sait qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour récupérer son fils, mais aussi de ce que, peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi libre pour l'emmener au cinéma, voir une première d'un dessin animé, manger ensemble du pop-corn, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment.
Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Mince alors ! Qui a laissé tout ce chantier ? C'est fermé. Le pont n'a pas d'issue, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et se retourne. Son désespoir se nourrit non seulement de ce qu'il sait qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour récupérer son fils, mais aussi de ce que, peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi libre pour l'emmener au cinéma, voir une première d'un dessin animé, manger ensemble du pop-corn, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment.
25 commentaires:
Que fait-il en train de penser à ça, si optimiste ?, se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, outré, il découvre que… Ben voyons ! À qui ça lui vient à l'esprit de laisser ainsi les choses ? C'est fermé. Le pont n'a pas de sortie, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et fait demi-tour. Son désespoir se nourrit non seulement du fait de savoir qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour aller chercher son fils, mais aussi que peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi de libre pour l'emmener au cinéma voir une première d'un dessin animé, manger ensemble des pop-corns, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment tant.
Que fait-il en train de [mal dit] penser à ça, si [???? On ne comprend rien // sans doute as-tu besoin de chevilles] optimiste ?, [supprime la virgule] se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, outré [mets-le après], il découvre que… Ben voyons ! À qui ça lui vient [charabia] à l'esprit de laisser ainsi les choses [mal dit] ? C'est fermé.
Reprends déjà ça.
Le pont n'a pas de sortie, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et fait demi-tour. Son désespoir se nourrit non seulement du fait de savoir qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour aller chercher son fils, mais aussi que peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi de libre pour l'emmener au cinéma voir une première d'un dessin animé, manger ensemble des pop-corns, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment tant.
Pourquoi pense-t-il à ça, avec tant d'optimisme ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a eu l'idée de laisser ça ainsi ? C'est fermé.
Pourquoi pense-t-il à ça, avec tant d'optimisme [l'idée n'est-elle pas qu'il est bizarre qu'il pense à ça alors qu'il est très optimiste en général ?] ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a eu l'idée de laisser ça ainsi [pourquoi « laisser » ?] ? C'est fermé.
Pourquoi pense-t-il à ça, alors qu'il est si optimisme ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a eu l'idée de négliger ça ainsi ? C'est fermé.
Pourquoi pense-t-il à ça, alors qu'il est [, lui, ] si optimisme ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a eu l'idée de négliger ça ainsi [non… Quelle est l'idée ?] ? C'est fermé.
Pourquoi pense-t-il à ça, alors qu'il est, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a eu l'idée de ne pas finir son travail ? C'est fermé.
Pourquoi pense-t-il à ça, alors qu'il est [mais non, supprime ça…], lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a eu l'idée de ne pas finir son travail [je pense que « idée » pose pb ici, si telle est effectivement l'interprétation] ? C'est fermé.
Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a pensé à laisser ça, comme ça ? C'est fermé.
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Je suis consciente que j'ai trop de "ça", mais, je suis bloquée, je ne sais pas comment l'interpréter si ce n'est littéralement...
Demande à Elena.
Et si tu passes par l'expression :
"laisser tout en plan" ?
Merci, Elena ! Essayons !
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Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a laissé tout en plan ? C'est fermé.
Le problème, c'est que ça n'est pas explicite. « A laissé en plan » quoi ? N'a pas fini un travail ? C'est en tout cas ce que ça signifierait.
La réponse au "quoi", vient après. Selon moi, ce n'est pas une mauvaise idée de laisser le lecteur dans le noir puisque la réponse lui sera donnée dans les phrases qui suivent. Dans la V.O., l'auteur laisse aussi le lecteur hispanophone se demander "qu'est-ce qui a été laissé ainsi ?"
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Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a laissé tout ça en plan ? C'est fermé.
Et si au lieu de "ça", on met :
Qui a laissé tout ce chantier/travail en plan ?
?
D'accord.
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Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a laissé tout ce chantier en plan ? C'est fermé.
Le pont n'a pas de sortie, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et fait demi-tour. Son désespoir se nourrit non seulement du fait de savoir qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour aller chercher son fils, mais aussi que peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi de libre pour l'emmener au cinéma voir une première d'un dessin animé, manger ensemble des pop-corns, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment tant.
Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a laissé tout ce chantier en plan ? C'est fermé. Le pont n'a pas de sortie [ou « issue » ?], il manque l'escalier. Il se gratte la tête et fait demi-tour [là, tu supposes qu'il revient sur ses pas ; est-ce ce qu'il fait ou juste il pivote sur lui-même… ?]. Son désespoir se nourrit non seulement du fait de savoir [ou : « de ce qu'il sait » ?] qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour aller chercher [ou simplement : « récupérer » ?] son fils, mais aussi que peut-être [adapte avec la construction du début, du coup…],
il ne pourra pas profiter de son après-midi de libre pour l'emmener au cinéma voir une première d'un dessin animé, manger ensemble des pop-corns, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment tant.
Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a laissé tout ce chantier en plan ? C'est fermé. Le pont n'a pas d'issue, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et se retourne. Son désespoir se nourrit non seulement de ce qu'il sait qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour récupérer son fils, mais aussi de ce que, peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi de libre pour l'emmener au cinéma, voir une première d'un dessin animé, manger ensemble des pop-corns, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment tant.
Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a laissé tout ce chantier en plan ? C'est fermé. Le pont n'a pas d'issue, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et se retourne. Son désespoir se nourrit non seulement de ce qu'il sait qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour récupérer son fils, mais aussi de ce que, peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi de libre pour l'emmener au cinéma, voir une première d'un dessin animé, manger ensemble des pop-corns [« du pop-corn » ? Vérifie la fréque d'usage sur Google], boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment tant [pourquoi cet ajout ?].
Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons ! Qui a laissé tout ce chantier en plan ? C'est fermé. Le pont n'a pas d'issue, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et se retourne. Son désespoir se nourrit non seulement de ce qu'il sait qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour récupérer son fils, mais aussi de ce que, peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi de libre pour l'emmener au cinéma, voir une première d'un dessin animé, manger ensemble du pop-corn, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment.
Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons [« ça alors »] ! Qui a laissé tout ce chantier en plan [supprime « en plan »] ? C'est fermé. Le pont n'a pas d'issue, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et se retourne. Son désespoir se nourrit non seulement de ce qu'il sait qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour récupérer son fils, mais aussi de ce que, peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi de [nécessaire ?] libre pour l'emmener au cinéma, voir une première d'un dessin animé, manger ensemble du pop-corn, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment.
Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons [« ça alors » // On a déjà cette expression quelques phrases avant, c'est pour ça que j'avais choisi un équivalent. Mais si tu considères que la répétition n'est pas bien grave, je veux bien la remettre] ! Qui a laissé tout ce chantier ? C'est fermé. Le pont n'a pas d'issue, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et se retourne. Son désespoir se nourrit non seulement de ce qu'il sait qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour récupérer son fils, mais aussi de ce que, peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi libre pour l'emmener au cinéma, voir une première d'un dessin animé, manger ensemble du pop-corn, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment.
Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Ben voyons [« ça alors » // On a déjà cette expression quelques phrases avant, c'est pour ça que j'avais choisi un équivalent. Mais si tu considères que la répétition n'est pas bien grave, je veux bien la remettre /// Non, il faut changer, mais ben voyons ne veut pas dire la même. Trouve autre chose] ! Qui a laissé tout ce chantier ? C'est fermé. Le pont n'a pas d'issue, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et se retourne. Son désespoir se nourrit non seulement de ce qu'il sait qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour récupérer son fils, mais aussi de ce que, peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi libre pour l'emmener au cinéma, voir une première d'un dessin animé, manger ensemble du pop-corn, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment.
Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Mince alors ! Qui a laissé tout ce chantier ? C'est fermé. Le pont n'a pas d'issue, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et se retourne. Son désespoir se nourrit non seulement de ce qu'il sait qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour récupérer son fils, mais aussi de ce que, peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi libre pour l'emmener au cinéma, voir une première d'un dessin animé, manger ensemble du pop-corn, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment.
Pourquoi pense-t-il à ça, lui, si optimiste ? se reproche-t-il. En arrivant à l'autre bout du pont, sur le côté opposé à l'avenue, il découvre, outré, que… Mince alors ! Qui a laissé tout ce chantier ? C'est fermé. Le pont n'a pas d'issue, il manque l'escalier. Il se gratte la tête et se retourne. Son désespoir se nourrit non seulement de ce qu'il sait qu'il n'arrivera pas à temps à l'école pour récupérer son fils, mais aussi de ce que, peut-être, il ne pourra pas profiter de son après-midi libre pour l'emmener au cinéma, voir une première d'un dessin animé, manger ensemble du pop-corn, boire le rafraîchissement à la pomme qu'ils aiment.
OK.
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