vendredi 13 mars 2015

Projet Odile 2 – phrases 86-99

Entra al Palacio de Bellas Artes. Cuando recorre los pasillos, sólo se escucha el eco de sus pasos en el suelo de mármol. Mira uno de los cuadros. Nunca le gustó Frida. Es el autorretrato con el changuito. Sigue sin gustarle. Aun así, lo descuelga. Ya es mío, dice. Suena una alarma. Eso le gusta. Si nadie viene a defender a Frida es que de verdad estoy solo en el mundo. Con el cuadro bajo el brazo, sale de Bellas Artes. Entra al auto. Se dirige al Zócalo.

Traduction temporaire :
Il entre dans le Palais des Beaux-Arts. Quand il parcourt les couloirs, on entend seulement l’écho de ses pas sur le sol de marbre. Il regarde l'un des tableaux. Il n’a jamais aimé Frida. C’est l’autoportrait au singe. Il ne l’aime toujours pas. Pourtant, il le décroche. Maintenant, il est à moi, dit-il. Une alarme se déclenche. Ça lui plaît. Si personne ne vient défendre Frida, cela signifie que je suis véritablement seul au monde. Le tableau sous le bras, il sort des Beaux-Arts. Il se remet au volant. Il se dirige vers le Zócalo.

4 commentaires:

Odile a dit…

Projet Odile 2 – phrases 86-99

Il entre dans le Palais des Beaux-Arts. Quand il parcourt les couloirs, on entend seulement l’écho de ses pas sur le sol de marbre. Il regarde un des tableaux. Il n’a jamais aimé Frida. C’est l’autoportrait au singe. Il ne l’aime toujours pas. Pourtant, il le décroche. Maintenant, il est à moi dit-il. Une alarme se déclenche. Ça lui plaît. Si personne ne vient défendre Frida, c’est que je suis véritablement seul au monde. Le tableau sous le bras, il sort des Beaux-Arts. Il se met au volant. Il se dirige vers le Zócalo.

Tradabordo a dit…

Il entre dans le Palais des Beaux-Arts. Quand il parcourt les couloirs, on entend seulement l’écho de ses pas sur le sol de marbre. Il regarde l'un des tableaux. Il n’a jamais aimé Frida. C’est l’autoportrait au singe. Il ne l’aime toujours pas. Pourtant, il le décroche. Maintenant, il est à moi, dit-il. Une alarme se déclenche. Ça lui plaît. Si personne ne vient défendre Frida, c’est [« cela signifie », pour éviter tous ces « c'est »] que je suis véritablement seul au monde. Le tableau sous le bras, il sort des Beaux-Arts. Il se [« re » ?]met au volant. Il se dirige vers le Zócalo.

Odile a dit…


Projet Odile 2 – phrases 86-99

Il entre dans le Palais des Beaux-Arts. Quand il parcourt les couloirs, on entend seulement l’écho de ses pas sur le sol de marbre. Il regarde l'un des tableaux. Il n’a jamais aimé Frida. C’est l’autoportrait au singe. Il ne l’aime toujours pas. Pourtant, il le décroche. Maintenant, il est à moi, dit-il. Une alarme se déclenche. Ça lui plaît. Si personne ne vient défendre Frida, cela signifie que je suis véritablement seul au monde. Le tableau sous le bras, il sort des Beaux-Arts. Il se remet au volant. Il se dirige vers le Zócalo.

Tradabordo a dit…

Il entre dans le Palais des Beaux-Arts. Quand il parcourt les couloirs, on entend seulement l’écho de ses pas sur le sol de marbre. Il regarde l'un des tableaux. Il n’a jamais aimé Frida. C’est l’autoportrait au singe. Il ne l’aime toujours pas. Pourtant, il le décroche. Maintenant, il est à moi, dit-il. Une alarme se déclenche. Ça lui plaît. Si personne ne vient défendre Frida, cela signifie que je suis véritablement seul au monde. Le tableau sous le bras, il sort des Beaux-Arts. Il se remet au volant. Il se dirige vers le Zócalo.

OK.