Y es que una tragedia, y no otra cosa, es lo que ahí había acontecido. La sangre era de Horacio, cuyo cuerpo, sin vida, estorbaba el descenso del agua...
La vida misma de Horacio había sido una tragedia, sobretodo a últimas fechas y así, trágicamente, había de terminar.
Traduction temporaire :
C'est une tragédie, et pas autre chose, ce qui était arrivé là. Le sang appartenait à Horacio, dont le corps sans vie, entravait le flux de l'eau… La vie même d'Horacio avait été une tragédie, surtout les derniers temps, et tout devait finir comme ça, tragiquement.
C'est une tragédie, et pas autre chose, ce qui était arrivé là. Le sang appartenait à Horacio, dont le corps sans vie, entravait le flux de l'eau… La vie même d'Horacio avait été une tragédie, surtout les derniers temps, et tout devait finir comme ça, tragiquement.
8 commentaires:
Et c'est une tragédie, et pas autre chose, ce qui y était arrivée. Le sang appartenait à Horacio, dont le corps, sans vie, bloquait la descente de l'eau…
La vie même de Horacio avait été une tragédie, surtout les derniers temps, et c'était comme ça, tragiquement, que tout devait finir.
Et [supprime celui-ci] c'est une tragédie, et pas autre chose, ce qui y [?] était arrivée [grammaire // attention, là, tu recommences à avoir un passage à vide… Trop de fautes. Comme je m'occupe de beaucoup de textes en même temps avec les étudiants de Poitiers, j'ai vraiment besoin que les anciennes assurent… Fais un effort]. Le sang appartenait à Horacio, dont le corps, sans vie, bloquait la descente de l'eau…
La vie même de Horacio avait été une tragédie, surtout les derniers temps, et c'était comme ça, tragiquement, que tout devait finir.
C'est une tragédie, et pas autre chose, ce qui était arrivé là. Le sang appartenait à Horacio, dont le corps, sans vie, bloquait la descente de l'eau…
La vie même de Horacio avait été une tragédie, surtout les derniers temps, et c'était comme ça, tragiquement, que tout devait finir.
C'est une tragédie, et pas autre chose, ce qui était arrivé là. Le sang appartenait à Horacio, dont le corps, sans vie, bloquait la descente [« le flux » ?] de l'eau…
La vie même de Horacio [« d'Horacio »] avait été une tragédie, surtout les derniers temps, et c'était [tu as déjà « c'est » au début] comme ça, tragiquement, que tout devait finir.
C'est une tragédie, et pas autre chose, ce qui était arrivé là. Le sang appartenait à Horacio, dont le corps, sans vie, bloquait le flux de l'eau…
La vie même d'Horacio avait été une tragédie, surtout les derniers temps, et tout devait finir comme ça, tragiquement.
C'est une tragédie, et pas autre chose, ce qui était arrivé là. Le sang appartenait à Horacio, dont le corps, [pas besoin de cette virgule] sans vie, bloquait [« entravait »] le flux de l'eau…
La vie même d'Horacio avait été une tragédie, surtout les derniers temps, et tout devait finir comme ça, tragiquement.
C'est une tragédie, et pas autre chose, ce qui était arrivé là. Le sang appartenait à Horacio, dont le corps sans vie, entravait le flux de l'eau…
La vie même d'Horacio avait été une tragédie, surtout les derniers temps, et tout devait finir comme ça, tragiquement.
C'est une tragédie, et pas autre chose, ce qui était arrivé là. Le sang appartenait à Horacio, dont le corps sans vie, entravait le flux de l'eau…
La vie même d'Horacio avait été une tragédie, surtout les derniers temps, et tout devait finir comme ça, tragiquement.
OK.
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