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Nunca pudimos ser un médico de pueblo. Nunca pudimos ofrecerle a nuestros pacientes lo que aquellos nuevos dioses bajados del Olimpo cibernético. Antídotos para todas las enfermedades, sanación para todos los traumas, cura para todos los males. Incluso la inmortalidad para aquellos osados que se atrevieran a transponer aquel umbral que los convertiría en uno de ellos. No eran pocos los que se decidían a hacerlo y con el tiempo fueron la inmensa mayoría. No teníamos cómo competir.
Pero los hospitales siguieron funcionando, por algunos años al menos. Para aquellos que como nosotros desconfiaban de aquellas gentiles y todopoderosas entidades que no sabíamos si eran ángeles o demonios.
Traduction temporaire :
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Jamais nous ne pûmes devenir un médecin de village. À nos patients, jamais nous ne pûmes offrir la même chose que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique : des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris garantir l'immortalité à ces audacieux osant traverser le seuil qui en ferait l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à sauter le pas n'étaient pas rares, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais, pendant quelques années au moins, les hôpitaux continuèrent à tourner. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
Jamais nous ne pûmes devenir un médecin de village. À nos patients, jamais nous ne pûmes offrir la même chose que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique : des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris garantir l'immortalité à ces audacieux osant traverser le seuil qui en ferait l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à sauter le pas n'étaient pas rares, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais, pendant quelques années au moins, les hôpitaux continuèrent à tourner. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
15 commentaires:
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Jamais nous ne pûmes être un médecin de village. Jamais nous ne pûmes offrir la même chose à nos patients que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique. Des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris l'immortalité à ces audacieux qui allaient oser traverser le seuil qui leur permettrait de devenir l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à le faire n'étaient pas un petit nombre, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais les hôpitaux continuèrent à tourner pendant quelques années au moins. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
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Jamais nous ne pûmes être un médecin de village. Jamais nous ne pûmes offrir la même chose à nos patients que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique. Des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris l'immortalité à ces audacieux qui allaient oser traverser le seuil qui leur permettrait de devenir l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à le faire n'étaient pas un petit nombre, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais les hôpitaux continuèrent à tourner pendant quelques années au moins. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
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Jamais nous ne pûmes être [« devenir » ?] un médecin de village. Jamais nous ne pûmes offrir la même chose à nos patients [avance ça] que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique. [deux points ? Comme tu veux…] Des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris l'immortalité à ces audacieux qui allaient oser [« oseraient » ?] traverser le seuil qui leur permettrait de devenir l'un des leurs [texte ?].
Ceux qui se décidaient à le faire n'étaient pas un petit nombre, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais les hôpitaux continuèrent à tourner pendant quelques années au moins. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
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Jamais nous ne pûmes devenir un médecin de village. À nos patients, jamais nous ne pûmes offrir la même chose que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique: des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris l'immortalité à ces audacieux qui oseraient traverser le seuil qui en ferait l'un des leurs.
Ceux qui se décidaient à le faire n'étaient pas un petit nombre, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais les hôpitaux continuèrent à tourner pendant quelques années au moins. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
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Jamais nous ne pûmes devenir un médecin de village. À nos patients, jamais nous ne pûmes offrir la même chose que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique[espace ! Attention, c'est la deuxième fois que je te le signale aujourd'hui]: des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. [cheville : « apporter » ou un truc comme ça] Y compris l'immortalité à ces audacieux qui oseraient traverser le seuil qui en ferait l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à le faire [tu viens juste de le mettre] n'étaient pas un petit nombre [non, non… passe par « rares »], et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais les hôpitaux continuèrent à tourner pendant quelques années au moins. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
Jamais nous ne pûmes devenir un médecin de village. À nos patients, jamais nous ne pûmes offrir la même chose que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique : des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris garantir l'immortalité à ces audacieux qui oseraient traverser le seuil qui en ferait l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à sauter le pas n'étaient pas rares, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais les hôpitaux continuèrent à tourner pendant quelques années au moins. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
Jamais nous ne pûmes devenir un médecin de village. À nos patients, jamais nous ne pûmes offrir la même chose que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique : des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris garantir l'immortalité à ces audacieux qui oseraient traverser le seuil qui [rho, ces deux « qui », ça ne va vraiment pas… Cette phrase est très laide ;-)] en ferait l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à sauter le pas n'étaient pas rares, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais les hôpitaux continuèrent à tourner pendant quelques années au moins [ne faut-il pas l'avancer ?]. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
Jamais nous ne pûmes devenir un médecin de village. À nos patients, jamais nous ne pûmes offrir la même chose que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique : des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris garantir l'immortalité à ces audacieux osant traverser le seuil qui en ferait l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à sauter le pas n'étaient pas rares, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais les hôpitaux continuèrent à tourner pendant quelques années au moins [ne faut-il pas l'avancer ?]. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
Jamais nous ne pûmes devenir un médecin de village. À nos patients, jamais nous ne pûmes offrir la même chose que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique : des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris garantir l'immortalité à ces audacieux osant traverser le seuil qui en ferait l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à sauter le pas n'étaient pas rares, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais les hôpitaux continuèrent à tourner pendant quelques années au moins [ne faut-il pas l'avancer ? COMMENTAIRE PRÉCÉDENT]. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
mais nous ne pûmes devenir un médecin de village. À nos patients, jamais nous ne pûmes offrir la même chose que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique : des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris garantir l'immortalité à ces audacieux osant traverser le seuil qui en ferait l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à sauter le pas n'étaient pas rares, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais, pendant quelques années au moins, les hôpitaux continuèrent à tourner. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
Jamais nous ne pûmes devenir un médecin de village. À nos patients, jamais nous ne pûmes offrir la même chose que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique : des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris garantir l'immortalité à ces audacieux osant traverser le seuil qui en ferait l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à sauter le pas n'étaient pas rares, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais, pendant quelques années au moins, les hôpitaux continuèrent à tourner. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
Copier / coller mal fait.
OK… dans l'intervalle, j'ai vu la bonne version, mais il manque le 3. Rigueur, jeune Padawan !
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Jamais nous ne pûmes devenir un médecin de village. À nos patients, jamais nous ne pûmes offrir la même chose que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique : des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris garantir l'immortalité à ces audacieux osant traverser le seuil qui en ferait l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à sauter le pas n'étaient pas rares, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais, pendant quelques années au moins, les hôpitaux continuèrent à tourner. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
Voilà !
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Jamais nous ne pûmes devenir un médecin de village. À nos patients, jamais nous ne pûmes offrir la même chose que ces nouveaux dieux descendus de l'Olympe cybernétique : des antidotes pour toutes les maladies, guérir tous les traumatismes, soigner tous les maux. Y compris garantir l'immortalité à ces audacieux osant traverser le seuil qui en ferait l'un des leurs. Ceux qui se décidaient à sauter le pas n'étaient pas rares, et avec le temps, ils représentèrent l'immense majorité. Nous n'avions pas les moyens de rivaliser.
Mais, pendant quelques années au moins, les hôpitaux continuèrent à tourner. Pour ceux qui, comme nous, se méfiaient de ces courtoises et toutes-puissantes entités dont on ne savait pas si c'étaient des anges ou des démons.
OK.
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