Jorge Luis Cáceres
Sonrisas
David Trepaud echaba un último vistazo a su agenda, donde regularmente anotaba las citas de sus pacientes, como le gustaba llamar a los clientes que visitaban su despacho en el edificio Alhambra, de la avenida República del Salvador. Lo hacía recostado en el diván, ubicado al pie del librero que ocupaba la totalidad de la pared izquierda del despacho. El diván, así como los tapetes, mesitas y lámparas, habían sido regalos de Laura, su exesposa. Seis cuadros que ilustraban sonrisas, colgaban en la pared, al fondo del despacho.
Traduction temporaire :
David Trepaud jetait un dernier coup d'œil à son agenda, où il inscrivait régulièrement les rendez-vous avec ses patients, comme il aimait désigner les clients qui venaient à son bureau du bâtiment Alhambra, avenue République du Salvador. Il était appuyé contre le divan, placé au pied de la bibliothèque, qui occupait la totalité du mur gauche de son bureau. Le canapé, tout comme les tapis, les petites tables et les lampes étaient des cadeaux de Laura, son ex-femme. Six tableaux qui représentaient des sourires étaient accrochés au mur.
Jorge Luis Cáceres
Sourires
David Trepaud jetait un dernier coup d'œil à son agenda, où il inscrivait régulièrement les rendez-vous avec ses patients, comme il aimait désigner les clients qui venaient à son bureau du bâtiment Alhambra, avenue République du Salvador. Il était appuyé contre le divan, placé au pied de la bibliothèque, qui occupait la totalité du mur gauche de son bureau. Le canapé, tout comme les tapis, les petites tables et les lampes étaient des cadeaux de Laura, son ex-femme. Six tableaux qui représentaient des sourires étaient accrochés au mur.
8 commentaires:
Jorge Luis Cáceres
Sourires
David Trepaud jeta un dernier coup d'œil à son agenda, où il y inscrivait régulièrement les rendez-vous de ses patients, comme il aimait appeler les clients qui visitaient son bureau du bâtiment Alhambra, avenue République de Salvador. Il faisait cela appuyé sur le divan, placé au pied de la bibliothèque qui occupait la totalité du mur gauche du bureau. Le divan, tout comme les tapis, petites tables et lampes avaient été des cadeaux de Laura, son ex-femme. Six tableaux qui représentaient des sourires étaient collés au mur, au fond du bureau.
Jorge Luis Cáceres
Sourires
David Trepaud jeta [temps] un dernier coup d'œil à son agenda, où il y [incorrect] inscrivait régulièrement les rendez-vous de [ou « avec » ? J'hésite] ses patients, comme il aimait appeler les clients qui visitaient [hispanisme] son bureau du bâtiment Alhambra, avenue République de [« du » ? Vérifiez] Salvador. Il faisait cela appuyé [FS ? Vérifiez] sur le divan, placé au pied de la bibliothèque [virgule] qui occupait la totalité du mur gauche du [avec l'ajout d'un possessif ?] bureau. Le divan, tout comme [vous en avez un au début ; essayez de faire autrement] les tapis, petites tables et lampes avaient été des cadeaux [pour une fois, je vous autorise à changer ; mettez de l'imparfait ici – ce sera mieux…] de Laura, son ex-femme. Six tableaux qui représentaient des sourires étaient collés [mal dit] au mur, au fond du bureau.
Jorge Luis Cáceres
Sourires
David Trepaud jetait un dernier coup d'œil à son agenda, où il inscrivait régulièrement les rendez-vous avec ses patients, comme il aimait appeler les clients qui se rendaient dans son bureau du bâtiment Alhambra, avenue République du Salvador. Il était appuyé sur le divan, placé au pied de la bibliothèque, qui occupait la totalité du mur gauche de son bureau. Le canapé, tout comme les tapis, petites tables et lampes étaient des cadeaux de Laura, son ex-femme. Six tableaux qui représentaient des sourires étaient accrochés au mur, au fond du bureau.
Jorge Luis Cáceres
Sourires
David Trepaud jetait un dernier coup d'œil à son agenda, où il inscrivait régulièrement les rendez-vous avec ses patients, comme il aimait appeler les clients qui se rendaient dans [« venaient à » ?] son bureau du bâtiment Alhambra, avenue République du Salvador. Il était appuyé sur [« contre » ? Comme vous voulez] le divan, placé au pied de la bibliothèque, qui occupait la totalité du mur gauche de son bureau. Le canapé, tout comme les tapis, [répétez le « les »] petites tables et [« les »] lampes étaient des cadeaux de Laura, son ex-femme. Six tableaux qui représentaient des sourires étaient accrochés au mur, au fond du bureau [nécessaire de répéter ?].
Jorge Luis Cáceres
Sourires
David Trepaud jetait un dernier coup d'œil à son agenda, où il inscrivait régulièrement les rendez-vous avec ses patients, comme il aimait appeler les clients qui venaient à son bureau du bâtiment Alhambra, avenue République du Salvador. Il était appuyé contre le divan, placé au pied de la bibliothèque, qui occupait la totalité du mur gauche de son bureau. Le canapé, tout comme les tapis, les petites tables et les lampes étaient des cadeaux de Laura, son ex-femme. Six tableaux qui représentaient des sourires étaient accrochés au mur.
Jorge Luis Cáceres
Sourires
David Trepaud jetait un dernier coup d'œil à son agenda, où il inscrivait régulièrement les rendez-vous avec ses patients, comme il aimait appeler [« désigner » ? Comme vous préférez] les clients qui venaient à son bureau du bâtiment Alhambra, avenue République du Salvador. Il était appuyé contre le divan, placé au pied de la bibliothèque, qui occupait la totalité du mur gauche de son bureau. Le canapé, tout comme les tapis, les petites tables et les lampes étaient des cadeaux de Laura, son ex-femme. Six tableaux qui représentaient des sourires étaient accrochés au mur.
Jorge Luis Cáceres
Sourires
David Trepaud jetait un dernier coup d'œil à son agenda, où il inscrivait régulièrement les rendez-vous avec ses patients, comme il aimait désigner les clients qui venaient à son bureau du bâtiment Alhambra, avenue République du Salvador. Il était appuyé contre le divan, placé au pied de la bibliothèque, qui occupait la totalité du mur gauche de son bureau. Le canapé, tout comme les tapis, les petites tables et les lampes étaient des cadeaux de Laura, son ex-femme. Six tableaux qui représentaient des sourires étaient accrochés au mur.
Jorge Luis Cáceres
Sourires
David Trepaud jetait un dernier coup d'œil à son agenda, où il inscrivait régulièrement les rendez-vous avec ses patients, comme il aimait désigner les clients qui venaient à son bureau du bâtiment Alhambra, avenue République du Salvador. Il était appuyé contre le divan, placé au pied de la bibliothèque, qui occupait la totalité du mur gauche de son bureau. Le canapé, tout comme les tapis, les petites tables et les lampes étaient des cadeaux de Laura, son ex-femme. Six tableaux qui représentaient des sourires étaient accrochés au mur.
OK.
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