mercredi 2 mars 2016

Projet Justine 7 – phrases 28-38

Y allí, bajo las sombras, reconoció la silueta de su hijo.
Sebastián. Su pequeño, el que un día se llevaron los militares, el que por tanto tiempo buscó, el de la fotografía en los carteles mojados con agua represora, el tanto tiempo sufrido, allí estaba, sentado en esa misma cama donde había despertado por última vez.
La vieja se dejó caer llorando sobre su pequeño.
—Sebastiááánnnn, tartamudeó entre lágrimas.
Él apenas respondió a su abrazo.
Y estaba tan joven, tan blanco, tan inocente, como si todos los años que pasaron sobre ella se hubiesen restado sobre su único y amado muchacho.
Ella se lo comió a besos.
Él se la comió a mordidas.
Y aunque trató de pedir ayuda, aullar de horror y de dolor, no pudo hacerlo. Elcira Ramírez entendió demasiado tarde que cuando tu propio hijo te arranca la lengua, no se puede gritar.

Traduction temporaire :

Et là, sous les ombres, elle reconnut la silhouette de son fils. Sebastián. Celui qui, un jour, avait été enlevé par les militaires, celui qu'elle avait si longtemps cherché, celui de la photo sur les affiches trempées par une eau répressive, celui pour lequel elle avait souffert tout ce temps était là, assis sur son lit, le même où il s'était réveillé pour la dernière fois. En pleurant, la vieille dame se laissa tomber sur son petit.
— Sebastiááánnnn ! balbutia-t-elle entre ses larmes.
Lui, il répondit à peine à son étreinte.
Et il était si jeune, si blanc, si innocent, comme si les années qui avaient passé sur elle n'avaient eu aucune prise sur son unique enfant chéri.
Elle le dévora de baisers.
Il la dévora à coups de dents.
Elle eut beau essayer d'appeler à l'aide, de hurler de terreur et de peur, aucun son ne sortit de sa bouche. Elcira Ramírez comprit trop tard qu'il était impossible de protester quand son propre fils vous arrache la langue.

9 commentaires:

Justine a dit…

Et là, sous les ombres, elle reconnut la silhouette de son fils. Sebastián. Celui qui, un jour, a été enlevé par les militaires, celui qu'elle a si longtemps cherché, celui de la photo sur les affiches trempées par une eau répressive, celui pour lequel elle a souffert tout ce temps était là, assis sur ce lit même où il s'était réveillé pour la dernière fois. La vieille dame se laissa tomber sur son petit en pleurant.
— Sebastiááánnnn ! balbutia-t-elle entre ses larmes
Quant à lui, il répondit à peine à son étreinte.
Et il était si jeune, si blanc, si innocent, comme si toutes les années qui avaient passé sur elle, n'avaient eu aucune prise sur son unique petit garçon chéri.
Elle le dévora de baisers.
Il la dévora à coups de dents.[« dévorer de morsures » a très peu d’occurrences.]
Et bien qu'elle tente d'appeler à l'aide, d'hurler d'horreur et de terreur, elle en fut incapable. Elcira Ramírez comprit trop tard que quand ton propre fils t'arrache la langue, impossible de crier.

Tradabordo a dit…

Et là, sous les ombres, elle reconnut la silhouette de son fils. Sebastián. Celui qui, un jour, a été enlevé [temps] par les militaires, celui qu'elle a si longtemps cherché [temps], celui de la photo sur les affiches trempées par une eau répressive, celui pour lequel elle a souffert [temps] tout ce temps était là, assis sur ce lit même [mal dit] où il s'était réveillé pour la dernière fois. La vieille dame se laissa tomber sur son petit en pleurant [Mets-le devant].
— Sebastiááánnnn ! balbutia-t-elle entre ses larmes
Quant à lui, il [ou juste avec un « Lui »] répondit à peine à son étreinte.
Et il était si jeune, si blanc, si innocent, comme si toutes [tu as « tout » avant] les années qui avaient passé sur elle, [virgule ?] n'avaient eu aucune prise sur son unique petit [bof] garçon chéri.
Elle le dévora de baisers.
Il la dévora à coups de dents.
Et bien qu'elle tente [temps] d'appeler à l'aide, d'hurler d'horreur et de terreur, elle en fut incapable. Elcira Ramírez comprit trop tard que quand ton propre fils t'arrache la langue, impossible de crier [bof].

Justine a dit…

Et là, sous les ombres, elle reconnut la silhouette de son fils. Sebastián. Celui qui, un jour, fut enlevé par les militaires, celui qu'elle chercha si longtemps, celui de la photo sur les affiches trempées par une eau répressive, celui pour lequel elle souffrit tout ce temps était là, assis sur son lit, celui-là même où il s'était réveillé pour la dernière fois. En pleurant, la vieille dame se laissa tomber sur son petit.
— Sebastiááánnnn ! balbutia-t-elle entre ses larmes.
Lui, il répondit à peine à son étreinte.
Et il était si jeune, si blanc, si innocent, comme si les années qui avaient passé sur elle n'avaient eu aucune prise sur son unique enfant chéri.
Elle le dévora de baisers.
Il la dévora à coups de dents.
Et bien qu'elle tentât d'appeler à l'aide, d'hurler d'horreur et de terreur, elle en fut incapable. Elcira Ramírez comprit trop tard que quand ton propre fils t'arrache la langue, impossible de protester.

Tradabordo a dit…

Et là, sous les ombres, elle reconnut la silhouette de son fils. Sebastián. Celui qui, un jour, fut enlevé [PQP] par les militaires, celui qu'elle chercha [PQP] si longtemps, celui de la photo sur les affiches trempées par une eau répressive, celui pour lequel elle souffrit [PQP] tout ce temps était là, assis sur son lit, celui-là même [« le même »] où il s'était réveillé pour la dernière fois. En pleurant, la vieille dame se laissa tomber sur son petit.
— Sebastiááánnnn ! balbutia-t-elle entre ses larmes.
Lui, il répondit à peine à son étreinte.
Et il était si jeune, si blanc, si innocent, comme si les années qui avaient passé sur elle n'avaient eu aucune prise sur son unique enfant chéri.
Elle le dévora de baisers.
Il la dévora à coups de dents.
Et bien qu'elle tentât d'appeler à l'aide, d'hurler d'horreur et de terreur, elle en fut incapable [simplifie : « Malgré… »]. Elcira Ramírez comprit trop tard que quand ton propre fils t'arrache la langue, impossible de protester [décidément, cette construction marche mal].

Justine a dit…

Et là, sous les ombres, elle reconnut la silhouette de son fils. Sebastián. Celui qui, un jour, avait été enlevé par les militaires, celui qu'elle avait si longtemps cherché, celui de la photo sur les affiches trempées par une eau répressive, celui pour lequel elle avait souffert tout ce temps était là, assis sur son lit, le même où il s'était réveillé pour la dernière fois. En pleurant, la vieille dame se laissa tomber sur son petit.
— Sebastiááánnnn ! balbutia-t-elle entre ses larmes.
Lui, il répondit à peine à son étreinte.
Et il était si jeune, si blanc, si innocent, comme si les années qui avaient passé sur elle n'avaient eu aucune prise sur son unique enfant chéri.
Elle le dévora de baisers.
Il la dévora à coups de dents.
Malgré ses tentatives d'appel à l'aide, de pousser des hurlements d'horreur et de terreur, elle en fut incapable. Elcira Ramírez comprit trop tard qu'il était impossible de protester quand ton propre fils t'arrache la langue.

Tradabordo a dit…

Et là, sous les ombres, elle reconnut la silhouette de son fils. Sebastián. Celui qui, un jour, avait été enlevé par les militaires, celui qu'elle avait si longtemps cherché, celui de la photo sur les affiches trempées par une eau répressive, celui pour lequel elle avait souffert tout ce temps était là, assis sur son lit, le même où il s'était réveillé pour la dernière fois. En pleurant, la vieille dame se laissa tomber sur son petit.
— Sebastiááánnnn ! balbutia-t-elle entre ses larmes.
Lui, il répondit à peine à son étreinte.
Et il était si jeune, si blanc, si innocent, comme si les années qui avaient passé sur elle n'avaient eu aucune prise sur son unique enfant chéri.
Elle le dévora de baisers.
Il la dévora à coups de dents.
Malgré ses tentatives d'appel à l'aide, de pousser des hurlements d'horreur et de terreur, elle en fut incapable [non, décidément, ça ne marche pas… Reprends complètement cette phrase]. Elcira Ramírez comprit trop tard qu'il était impossible de protester quand ton [« son »] propre fils t'[« vous »]arrache la langue.

Justine a dit…

t là, sous les ombres, elle reconnut la silhouette de son fils. Sebastián. Celui qui, un jour, avait été enlevé par les militaires, celui qu'elle avait si longtemps cherché, celui de la photo sur les affiches trempées par une eau répressive, celui pour lequel elle avait souffert tout ce temps était là, assis sur son lit, le même où il s'était réveillé pour la dernière fois. En pleurant, la vieille dame se laissa tomber sur son petit.
— Sebastiááánnnn ! balbutia-t-elle entre ses larmes.
Lui, il répondit à peine à son étreinte.
Et il était si jeune, si blanc, si innocent, comme si les années qui avaient passé sur elle n'avaient eu aucune prise sur son unique enfant chéri.
Elle le dévora de baisers.
Il la dévora à coups de dents.
Elle eut beau essayer d'appeler à l'aide, de hurler de terreur et de peur, aucun son ne sortit de sa bouche. Elcira Ramírez comprit trop tard qu'il était impossible de protester quand son propre fils vous arrache la langue.

Justine a dit…

Et là, sous les ombres, elle reconnut la silhouette de son fils. Sebastián. Celui qui, un jour, avait été enlevé par les militaires, celui qu'elle avait si longtemps cherché, celui de la photo sur les affiches trempées par une eau répressive, celui pour lequel elle avait souffert tout ce temps était là, assis sur son lit, le même où il s'était réveillé pour la dernière fois. En pleurant, la vieille dame se laissa tomber sur son petit.
— Sebastiááánnnn ! balbutia-t-elle entre ses larmes.
Lui, il répondit à peine à son étreinte.
Et il était si jeune, si blanc, si innocent, comme si les années qui avaient passé sur elle n'avaient eu aucune prise sur son unique enfant chéri.
Elle le dévora de baisers.
Il la dévora à coups de dents.
Elle eut beau essayer d'appeler à l'aide, de hurler de terreur et de peur, aucun son ne sortit de sa bouche. Elcira Ramírez comprit trop tard qu'il était impossible de protester quand son propre fils vous arrache la langue.

Tradabordo a dit…

Et là, sous les ombres, elle reconnut la silhouette de son fils. Sebastián. Celui qui, un jour, avait été enlevé par les militaires, celui qu'elle avait si longtemps cherché, celui de la photo sur les affiches trempées par une eau répressive, celui pour lequel elle avait souffert tout ce temps était là, assis sur son lit, le même où il s'était réveillé pour la dernière fois. En pleurant, la vieille dame se laissa tomber sur son petit.
— Sebastiááánnnn ! balbutia-t-elle entre ses larmes.
Lui, il répondit à peine à son étreinte.
Et il était si jeune, si blanc, si innocent, comme si les années qui avaient passé sur elle n'avaient eu aucune prise sur son unique enfant chéri.
Elle le dévora de baisers.
Il la dévora à coups de dents.
Elle eut beau essayer d'appeler à l'aide, de hurler de terreur et de peur, aucun son ne sortit de sa bouche. Elcira Ramírez comprit trop tard qu'il était impossible de protester quand son propre fils vous arrache la langue.

OK.