Se acomodó la corbata, buscó su chaqueta y fue a recibirla.
—Antonieta Baculic, se presentó ella; seria y con un apretón de manos que reveló bastantes horas en el gimnasio. Era bonita, mucho, pero también algo masculina. Hija única tal vez, demasiado metida en sus asuntos para pensar en tener pareja e hijos. ¿Y si era lesbiana?
—¿Usted dirá? le preguntó Martínez. Ella le pidió hablar en un lugar menos concurrido.
Sabiendo que era seguida por las miradas de todos los hombres presentes, Antonieta evitó cualquier gesto de amabilidad y siguió a Martínez hasta un pequeño privado, junto a las oficinas de los oficiales. Tras cerrar la puerta, el comisario le ofreció asiento:
—La escucho, le dijo.
—Mi tarjeta, al reverso anoté el número de mi móvil. Le entregó Antonieta. Luego se presentó como nueva fiscal adjunta de Santiago Norte y le informó que estaba trabajando en un caso “bastante complejo” con la Brigada de Homicidios.
—¿Y en qué puede ayudarle un oficinista como yo? Quiso saber Martínez.
La fiscal Baculic abrió su bolso, sacó un computador portátil, lo puso sobre la mesa, lo abrió, busco algo en las carpetas del disco duro y luego giró la pantalla hacia el policía.
—No siempre fue un oficinista —le dijo.
Traduction temporaire :
Il ajusta sa cravate, prit sa veste et alla l'accueillir.
— Antonieta Baculic, se présenta-t-elle, sérieuse et avec une poignée de main qui trahit pas mal d'heures de gym. Elle était jolie, très jolie, mais également un peu masculine. Peut-être était-ce une fille unique trop absorbée par ses affaires pour envisager d'avoir un mari et des enfants. Et si elle était lesbienne ?
— Que puis-je pour vous, s'enquit Martínez.
Elle lui demanda s'il serait possible de parler plus au calme. Consciente qu'elle était l'objet de tous les regards, Antonieta évita la moindre marque d'amabilité et suivit Martínez jusqu'à un petit cabinet, à côté des bureaux des officiers. Après avoir fermé la porte, le commissaire l'invita à s'asseoir :
— Je vous écoute.
— Voici ma carte, j'ai noté mon non numéro de portable au dos.
Ensuite Antonieta se présenta en tant que nouvelle procureure adjointe de Santiago Nord et lui annonça qu'elle collaborait actuellement avec la Brigade des Homicides sur une affaire « assez complexe ».
— Et en quoi un vulgaire gratte-papier comme moi serait-il susceptible de vous aider ?
La procureure Baculic ouvrit son sac et en sortit un ordinateur portable qu'elle posa sur la table. Elle l'alluma, chercha quelque chose dans les dossiers du disque dur, avant de tourner l'écran vers le policier.
— Vous n'avez pas toujours été un gratte-papier.
— Antonieta Baculic, se présenta-t-elle, sérieuse et avec une poignée de main qui trahit pas mal d'heures de gym. Elle était jolie, très jolie, mais également un peu masculine. Peut-être était-ce une fille unique trop absorbée par ses affaires pour envisager d'avoir un mari et des enfants. Et si elle était lesbienne ?
— Que puis-je pour vous, s'enquit Martínez.
Elle lui demanda s'il serait possible de parler plus au calme. Consciente qu'elle était l'objet de tous les regards, Antonieta évita la moindre marque d'amabilité et suivit Martínez jusqu'à un petit cabinet, à côté des bureaux des officiers. Après avoir fermé la porte, le commissaire l'invita à s'asseoir :
— Je vous écoute.
— Voici ma carte, j'ai noté mon non numéro de portable au dos.
Ensuite Antonieta se présenta en tant que nouvelle procureure adjointe de Santiago Nord et lui annonça qu'elle collaborait actuellement avec la Brigade des Homicides sur une affaire « assez complexe ».
— Et en quoi un vulgaire gratte-papier comme moi serait-il susceptible de vous aider ?
La procureure Baculic ouvrit son sac et en sortit un ordinateur portable qu'elle posa sur la table. Elle l'alluma, chercha quelque chose dans les dossiers du disque dur, avant de tourner l'écran vers le policier.
— Vous n'avez pas toujours été un gratte-papier.
8 commentaires:
Je rectifierai du coup, je pense que c'est procureure.
Il réajusta sa cravate, prit sa veste et alla l'accueillir.
— Antonieta Baculic, se présenta-t-elle, sérieuse et avec une poignée de main qui révéla pas mal d'heures de gym. Elle était jolie, très jolie, mais également un peu masculine. Peut-être était-ce une fille unique trop absorbée par ses affaires pour penser à avoir un mari et des enfants. Et si elle était lesbienne ?
— Que puis-je pour vous, s'enquit Martínez.
Elle lui demanda s'ils pouvaient s'entretenir dans un endroit moins fréquenté. Sachant que tous les hommes présents la suivaient des yeux, Antonieta évita tout signe d'amabilité et suivit Martinez jusqu'à un petit cabinet, à côté des bureaux des officiers. Après avoir fermé la porte, le commissaire l'invita à s'asseoir :
— Je vous écoute.
— Voici ma carte, j'ai noté mon non numéro de portable au dos.
Ensuite Antonieta se présenta en tant que nouvelle procureure adjointe de Santiago Nord et lui annonça qu'elle travaillait actuellement sur une affaire « assez complexe » en collaboration avec la Brigade des Homicides.
— Et en quoi un vulgaire gratte-papier comme moi pourrait-il vous aider ?
— La procureure Baculic ouvrit son sac et en sortit un ordinateur portable qu'elle posa sur la table. Elle l'alluma, chercha quelque chose dans les dossiers du disque dur, avant de tourner l'écran vers le policier.
— Vous n'avez pas toujours été un gratte-papier.
Il réajusta sa cravate, prit sa veste et alla l'accueillir.
— Antonieta Baculic, se présenta-t-elle, sérieuse et avec une poignée de main qui révéla [naturel ?] pas mal d'heures de gym. Elle était jolie, très jolie, mais également un peu masculine. Peut-être était-ce une fille unique trop absorbée par ses affaires pour penser à [ou : « envisager d' » ?] avoir un mari et des enfants. Et si elle était lesbienne ?
— Que puis-je pour vous, s'enquit Martínez.
Elle lui demanda s'ils pouvaient [tu viens de le mettre ; pense à ce que je t'ai dit sur la nécessité de relire chaque section attentivement avant de publier… Cette étape de la relecture est vraiment est vraiment ce qui cloche dans ta formation – chaque fois, il reste des tas de scories… La trad : super progrès. Relecture : sérieusement à améliorer] s'entretenir dans un endroit moins fréquenté [elle le dirait comme ça ?]. Sachant que tous les hommes présents la suivaient des yeux [« Consciente qu'elle était l'objet de tous les regards » ?], Antonieta évita tout signe [naturel ?] d'amabilité et suivit Martinez jusqu'à un petit cabinet, à côté des bureaux des officiers. Après avoir fermé la porte, le commissaire l'invita à s'asseoir :
— Je vous écoute.
— Voici ma carte, j'ai noté mon non numéro de portable au dos.
Ensuite Antonieta se présenta en tant que nouvelle procureure adjointe de Santiago Nord et lui annonça qu'elle travaillait actuellement sur une affaire « assez complexe » en collaboration [pourquoi pas avec le verbe ? Je pense que ça te permettrait de supprimer « travailler »] avec la Brigade des Homicides.
— Et en quoi un vulgaire gratte-papier comme moi pourrait[X3]-il vous aider ?
— [?] La procureure Baculic ouvrit son sac et en sortit un ordinateur portable qu'elle posa sur la table. Elle l'alluma, chercha quelque chose dans les dossiers du disque dur, avant de tourner l'écran vers le policier.
— Vous n'avez pas toujours été un gratte-papier.
Il réajusta sa cravate, prit sa veste et alla l'accueillir.
— Antonieta Baculic, se présenta-t-elle, sérieuse et avec une poignée de main qui refléta pas mal d'heures de gym. Elle était jolie, très jolie, mais également un peu masculine. Peut-être était-ce une fille unique trop absorbée par ses affaires pour envisager d'avoir un mari et des enfants. Et si elle était lesbienne ?
— Que puis-je pour vous, s'enquit Martínez.
Elle lui demanda s'il serait possible de parler plus au calme. Consciente qu'elle était l'objet de tous les regards, Antonieta évita toute marque d'amabilité et suivit Martínez jusqu'à un petit cabinet, à côté des bureaux des officiers. Après avoir fermé la porte, le commissaire l'invita à s'asseoir :
— Je vous écoute.
— Voici ma carte, j'ai noté mon non numéro de portable au dos.
Ensuite Antonieta se présenta en tant que nouvelle procureure adjointe de Santiago Nord et lui annonça qu'elle collaborait actuellement avec la Brigade des Homicides sur une affaire « assez complexe ».
— Et en quoi un vulgaire gratte-papier comme moi serait-il susceptible de vous aider ?
La procureure Baculic ouvrit son sac et en sortit un ordinateur portable qu'elle posa sur la table. Elle l'alluma, chercha quelque chose dans les dossiers du disque dur, avant de tourner l'écran vers le policier.
— Vous n'avez pas toujours été un gratte-papier.
Il réajusta sa cravate, prit sa veste et alla l'accueillir.
— Antonieta Baculic, se présenta-t-elle, sérieuse et avec une poignée de main qui refléta [« trahit » ?] pas mal d'heures de gym. Elle était jolie, très jolie, mais également un peu masculine. Peut-être était-ce une fille unique trop absorbée par ses affaires pour envisager d'avoir un mari et des enfants. Et si elle était lesbienne ?
— Que puis-je pour vous, s'enquit Martínez.
Elle lui demanda s'il serait possible de parler plus au calme. Consciente qu'elle était l'objet de tous les regards, Antonieta évita toute [tu viens de mettre « tous » ; relis-toi] marque d'amabilité et suivit Martínez jusqu'à un petit cabinet, à côté des bureaux des officiers. Après avoir fermé la porte, le commissaire l'invita à s'asseoir :
— Je vous écoute.
— Voici ma carte, j'ai noté mon non numéro de portable au dos.
Ensuite Antonieta se présenta en tant que nouvelle procureure adjointe de Santiago Nord et lui annonça qu'elle collaborait actuellement avec la Brigade des Homicides sur une affaire « assez complexe ».
— Et en quoi un vulgaire gratte-papier comme moi serait-il susceptible de vous aider ?
La procureure Baculic ouvrit son sac et en sortit un ordinateur portable qu'elle posa sur la table. Elle l'alluma, chercha quelque chose dans les dossiers du disque dur, avant de tourner l'écran vers le policier.
— Vous n'avez pas toujours été un gratte-papier.
Il réajusta sa cravate, prit sa veste et alla l'accueillir.
— Antonieta Baculic, se présenta-t-elle, sérieuse et avec une poignée de main qui trahit pas mal d'heures de gym. Elle était jolie, très jolie, mais également un peu masculine. Peut-être était-ce une fille unique trop absorbée par ses affaires pour envisager d'avoir un mari et des enfants. Et si elle était lesbienne ?
— Que puis-je pour vous, s'enquit Martínez.
Elle lui demanda s'il serait possible de parler plus au calme. Consciente qu'elle était l'objet de tous les regards, Antonieta évita la moindre marque d'amabilité et suivit Martínez jusqu'à un petit cabinet, à côté des bureaux des officiers. Après avoir fermé la porte, le commissaire l'invita à s'asseoir :
— Je vous écoute.
— Voici ma carte, j'ai noté mon non numéro de portable au dos.
Ensuite Antonieta se présenta en tant que nouvelle procureure adjointe de Santiago Nord et lui annonça qu'elle collaborait actuellement avec la Brigade des Homicides sur une affaire « assez complexe ».
— Et en quoi un vulgaire gratte-papier comme moi serait-il susceptible de vous aider ?
La procureure Baculic ouvrit son sac et en sortit un ordinateur portable qu'elle posa sur la table. Elle l'alluma, chercha quelque chose dans les dossiers du disque dur, avant de tourner l'écran vers le policier.
— Vous n'avez pas toujours été un gratte-papier.
Il réajusta [ou « rajusta », au fait ? Vérifie] sa cravate, prit sa veste et alla l'accueillir.
— Antonieta Baculic, se présenta-t-elle, sérieuse et avec une poignée de main qui trahit pas mal d'heures de gym. Elle était jolie, très jolie, mais également un peu masculine. Peut-être était-ce une fille unique trop absorbée par ses affaires pour envisager d'avoir un mari et des enfants. Et si elle était lesbienne ?
— Que puis-je pour vous, s'enquit Martínez.
Elle lui demanda s'il serait possible de parler plus au calme. Consciente qu'elle était l'objet de tous les regards, Antonieta évita la moindre marque d'amabilité et suivit Martínez jusqu'à un petit cabinet, à côté des bureaux des officiers. Après avoir fermé la porte, le commissaire l'invita à s'asseoir :
— Je vous écoute.
— Voici ma carte, j'ai noté mon non numéro de portable au dos.
Ensuite Antonieta se présenta en tant que nouvelle procureure adjointe de Santiago Nord et lui annonça qu'elle collaborait actuellement avec la Brigade des Homicides sur une affaire « assez complexe ».
— Et en quoi un vulgaire gratte-papier comme moi serait-il susceptible de vous aider ?
La procureure Baculic ouvrit son sac et en sortit un ordinateur portable qu'elle posa sur la table. Elle l'alluma, chercha quelque chose dans les dossiers du disque dur, avant de tourner l'écran vers le policier.
— Vous n'avez pas toujours été un gratte-papier.
Il ajusta sa cravate, prit sa veste et alla l'accueillir.
— Antonieta Baculic, se présenta-t-elle, sérieuse et avec une poignée de main qui trahit pas mal d'heures de gym. Elle était jolie, très jolie, mais également un peu masculine. Peut-être était-ce une fille unique trop absorbée par ses affaires pour envisager d'avoir un mari et des enfants. Et si elle était lesbienne ?
— Que puis-je pour vous, s'enquit Martínez.
Elle lui demanda s'il serait possible de parler plus au calme. Consciente qu'elle était l'objet de tous les regards, Antonieta évita la moindre marque d'amabilité et suivit Martínez jusqu'à un petit cabinet, à côté des bureaux des officiers. Après avoir fermé la porte, le commissaire l'invita à s'asseoir :
— Je vous écoute.
— Voici ma carte, j'ai noté mon non numéro de portable au dos.
Ensuite Antonieta se présenta en tant que nouvelle procureure adjointe de Santiago Nord et lui annonça qu'elle collaborait actuellement avec la Brigade des Homicides sur une affaire « assez complexe ».
— Et en quoi un vulgaire gratte-papier comme moi serait-il susceptible de vous aider ?
La procureure Baculic ouvrit son sac et en sortit un ordinateur portable qu'elle posa sur la table. Elle l'alluma, chercha quelque chose dans les dossiers du disque dur, avant de tourner l'écran vers le policier.
— Vous n'avez pas toujours été un gratte-papier.
Il ajusta sa cravate, prit sa veste et alla l'accueillir.
— Antonieta Baculic, se présenta-t-elle, sérieuse et avec une poignée de main qui trahit pas mal d'heures de gym. Elle était jolie, très jolie, mais également un peu masculine. Peut-être était-ce une fille unique trop absorbée par ses affaires pour envisager d'avoir un mari et des enfants. Et si elle était lesbienne ?
— Que puis-je pour vous, s'enquit Martínez.
Elle lui demanda s'il serait possible de parler plus au calme. Consciente qu'elle était l'objet de tous les regards, Antonieta évita la moindre marque d'amabilité et suivit Martínez jusqu'à un petit cabinet, à côté des bureaux des officiers. Après avoir fermé la porte, le commissaire l'invita à s'asseoir :
— Je vous écoute.
— Voici ma carte, j'ai noté mon non numéro de portable au dos.
Ensuite Antonieta se présenta en tant que nouvelle procureure adjointe de Santiago Nord et lui annonça qu'elle collaborait actuellement avec la Brigade des Homicides sur une affaire « assez complexe ».
— Et en quoi un vulgaire gratte-papier comme moi serait-il susceptible de vous aider ?
La procureure Baculic ouvrit son sac et en sortit un ordinateur portable qu'elle posa sur la table. Elle l'alluma, chercha quelque chose dans les dossiers du disque dur, avant de tourner l'écran vers le policier.
— Vous n'avez pas toujours été un gratte-papier.
OK.
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