mercredi 16 mars 2016

Projet Justine / Elena 7

Moscas en boca cerrada

Creíste que callándote la boca mantendrías en equilibrio los acuerdos preexistentes, que huir de la lucha era más razonable que pelear a muerte.
Desconocías la cualidad inflamable del silencio viejo: genera una llama pequeña.
El incendio miserable que alumbra tu destrucción, deviene consuelo amargo para quienes hubiesen muerto jurando que, algún día, ibas a brillar.

Traduction temporaire :


Des mouches dans la bouche fermée

Tu as cru qu'en fermant la bouche, tu maintiendrais l'équilibre des accords préexistants, que fuir le combat était plus raisonnable que de se battre jusqu'à la mort. Tu ignorais la qualité inflammable du silence ancestral : il génère une petite flamme.
Le misérable incendie qui éclaire ta destruction devient une consolation amère pour qui était mort en jurant qu'un jour, tu brillerais.

7 commentaires:

Justine a dit…

Des mouches dans ta bouche fermée

Tu as cru qu'en fermant la bouche, tu maintiendrais l'équilibre des accords préexistants, que fuir le combat était plus raisonnable que de se battre jusqu'à la mort. Tu ignorais le pouvoir inflammable du long silence : il provoque une petite flamme.
Le misérable incendie qui éclaire ta destruction devient une consolation amère pour ceux qui étaient morts en jurant qu'un jour, tu allais briller.

Tradabordo a dit…

Des mouches dans ta [?] bouche fermée

Tu as cru qu'en fermant la bouche, tu maintiendrais l'équilibre des accords préexistants, que fuir le combat était plus raisonnable que de se battre jusqu'à la mort. Tu ignorais le pouvoir [?] inflammable du long [est-ce que suggère la V.O. ? J'hésite] silence : il provoque [littéral ?] une petite flamme.
Le misérable incendie qui éclaire ta destruction devient une consolation amère pour ceux [nécessaire ?] qui étaient morts en jurant qu'un jour, tu allais briller [« brillerais » ?].

Justine a dit…

Pour « viejo silencio », d'après le reste du texte, on dirait que le personnage est souvent resté silencieux ; d'où mon interprétation de « long silence ». Sinon « silence de la nuit des temps », « silence des temps immémoriaux » ?

Des mouches dans la bouche fermée

Tu as cru qu'en fermant la bouche, tu maintiendrais l'équilibre des accords préexistants, que fuir le combat était plus raisonnable que de se battre jusqu'à la mort. Tu ignorais la qualité inflammable du long silence : il génère une petite flamme.
Le misérable incendie qui éclaire ta destruction devient une consolation amère pour qui était mort en jurant qu'un jour, tu brillerais.

Tradabordo a dit…

Des mouches dans la bouche fermée

Tu as cru qu'en fermant la bouche, tu maintiendrais l'équilibre des accords préexistants, que fuir le combat était plus raisonnable que de se battre jusqu'à la mort. Tu ignorais la qualité inflammable du long silence [pas exactement ça + bof pour les autres solutions] : il génère une petite flamme.
Le misérable incendie qui éclaire ta destruction devient une consolation amère pour qui était mort en jurant qu'un jour, tu brillerais.

Justine a dit…

Des mouches dans la bouche fermée

Tu as cru qu'en fermant la bouche, tu maintiendrais l'équilibre des accords préexistants, que fuir le combat était plus raisonnable que de se battre jusqu'à la mort. Tu ignorais la qualité inflammable du silence ancestral : il génère une petite flamme.
Le misérable incendie qui éclaire ta destruction devient une consolation amère pour qui était mort en jurant qu'un jour, tu brillerais.

Tradabordo a dit…

Des mouches dans la bouche fermée

Tu as cru qu'en fermant la bouche, tu maintiendrais l'équilibre des accords préexistants, que fuir le combat était plus raisonnable que de se battre jusqu'à la mort. Tu ignorais la qualité inflammable du silence ancestral : il génère une petite flamme.
Le misérable incendie qui éclaire ta destruction devient une consolation amère pour qui était mort en jurant qu'un jour, tu brillerais.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Des mouches dans la bouche fermée

Tu as cru qu'en fermant la bouche, tu maintiendrais l'équilibre des accords préexistants, que fuir le combat était plus raisonnable que de se battre jusqu'à la mort. Tu ignorais la qualité inflammable du silence ancestral : il génère une petite flamme.
Le misérable incendie qui éclaire ta destruction devient une consolation amère pour qui était mort en jurant qu'un jour, tu brillerais.

Très beau texte...