Mentiras blancas
Feroz y galante, a cada embestida el mar deposita a mis pies rocas que extrae de sus abismos. Con esas rocas construyo mi casa y, a pesar de los tiburones que la circundan, me siento a gusto en ella. Durante el día se mantiene fresca, con perfume a nácar. Por las noches mis sábanas oscuras se iluminan de perlas; a veces, son tantas que creo dormir sobre un cielo estrellado. Entonces, ocurre el prodigio: la suspensión de esa ausencia que aún no comprendo si a vos o a mí corresponde. Las sirenas me arrullan, anuncian el fin de esta era de sal.
Traduction temporaire :
Mensonges blancs
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Mensonges blancs
À chaque assaut, féroce et galante, la mer dépose à mes pieds des roches qu'elle extrait de ses fonds. Avec ces pierres, je construis ma maison et, malgré les requins qui l'encerclent, je m'y sens bien. La journée, elle reste fraîche et exhale un parfum de nacre. Les nuits, mes draps sombres s’illuminent de perles ; parfois, elles sont tellement nombreuses que j'ai l'impression de dormir sur un ciel étoilé. Le miracle se produit alors : la suspension de cette absence dont je ne comprends toujours pas si c'est la tienne ou la mienne. Les sirènes me bercent, elles annoncent la fin de cette ère de sel.
Mensonges blancs
À chaque assaut, féroce et galante [en changeant la syntaxe, ça devient ambigu… car ça porte sur « assaut » ; est-ce le cas en V.O. ?], la mer dépose à mes pieds des roches qu'elle extrait de ses fonds. Avec ces pierres, je construis ma maison et, malgré les requins qui l'encerclent, je m'y sens bien. La journée, elle reste fraîche et exhale un parfum de nacre. Les nuits, mes draps sombres s’illuminent de perles ; parfois, elles sont tellement nombreuses que j'ai l'impression de dormir sur un ciel étoilé. Le miracle se produit alors : la suspension de cette absence dont je ne comprends toujours pas si c'est la tienne ou la mienne. Les sirènes me bercent, elles annoncent la fin de cette ère de sel.
Mensonges blancs
Féroce et galante, à chaque assaut, la mer dépose à mes pieds des roches qu'elle extrait de ses fonds. Avec ces pierres, je construis ma maison et, malgré les requins qui l'encerclent, je m'y sens bien. La journée, elle reste fraîche et exhale un parfum de nacre. Les nuits, mes draps sombres s’illuminent de perles ; parfois, elles sont tellement nombreuses que j'ai l'impression de dormir sur un ciel étoilé. Le miracle se produit alors : la suspension de cette absence dont je ne comprends toujours pas si c'est la tienne ou la mienne. Les sirènes me bercent, elles annoncent la fin de cette ère de sel.
Mensonges blancs
Féroce et galante, à chaque assaut, la mer dépose à mes pieds des roches [sûre ?] qu'elle extrait de ses fonds. Avec ces pierres [la répétition est volontaire], je construis ma maison et, malgré les requins qui l'encerclent, je m'y sens bien. La journée, elle reste fraîche et exhale un parfum de nacre. Les nuits, mes draps sombres s’illuminent de perles ; parfois, elles sont tellement nombreuses que j'ai l'impression de dormir sur un ciel étoilé. Le miracle se produit alors : la suspension de cette absence dont je ne comprends toujours pas si c'est la tienne ou la mienne. Les sirènes me bercent, elles annoncent la fin de cette ère de sel.
Mensonges blancs
Féroce et galante, à chaque assaut, la mer dépose à mes pieds des pierres qu'elle extrait de ses fonds. Avec ces pierres, je construis ma maison et, malgré les requins qui l'encerclent, je m'y sens bien. La journée, elle reste fraîche et exhale un parfum de nacre. Les nuits, mes draps sombres s’illuminent de perles ; parfois, elles sont tellement nombreuses que j'ai l'impression de dormir sur un ciel étoilé. Le miracle se produit alors : la suspension de cette absence dont je ne comprends toujours pas si c'est la tienne ou la mienne. Les sirènes me bercent, elles annoncent la fin de cette ère de sel.
Mensonges blancs
Féroce et galante, à chaque assaut, la mer dépose à mes pieds des pierres qu'elle extrait de ses fonds. Avec ces pierres, je construis ma maison et, malgré les requins qui l'encerclent, je m'y sens bien. La journée, elle reste fraîche et exhale un parfum de nacre. Les nuits, mes draps sombres s’illuminent de perles ; parfois, elles sont tellement nombreuses que j'ai l'impression de dormir sur un ciel étoilé. Le miracle se produit alors : la suspension de cette absence dont je ne comprends toujours pas si c'est la tienne ou la mienne. Les sirènes me bercent, elles annoncent la fin de cette ère de sel.
OK.
Elena ?
Mensonges blancs
Féroce et galante, à chaque assaut, la mer dépose à mes pieds des pierres qu'elle extrait de ses fonds [+ "abyssales" ?]. Avec ces pierres, je construis ma maison et, malgré les requins qui l'encerclent, je m'y sens bien ["je m'y plais" ?]. La journée, elle reste fraîche et exhale un parfum de nacre. Les nuits, mes draps sombres s’illuminent de perles ; parfois, elles sont tellement nombreuses que j'ai l'impression de dormir sur un ciel étoilé. Le miracle se produit alors : la suspension de cette absence dont je ne comprends toujours pas si c'est la tienne ou la mienne. Les sirènes me bercent, elles annoncent la fin de cette ère de sel.
Mensonges blancs
Féroce et galante, à chaque assaut, la mer dépose à mes pieds des pierres qu'elle extrait de ses fonds [+ "abyssales" ? OK]. Avec ces pierres, je construis ma maison et, malgré les requins qui l'encerclent, je m'y sens bien ["je m'y plais" ? / Comme vous voulez]. La journée, elle reste fraîche et exhale un parfum de nacre. Les nuits, mes draps sombres s’illuminent de perles ; parfois, elles sont tellement nombreuses que j'ai l'impression de dormir sur un ciel étoilé. Le miracle se produit alors : la suspension de cette absence dont je ne comprends toujours pas si c'est la tienne ou la mienne. Les sirènes me bercent, elles annoncent la fin de cette ère de sel.
Je préférerais « je m'y sens bien », comme si, en dépit de la menace des requins, elle se sentait en sécurité.
Mensonges blancs
Féroce et galante, à chaque assaut, la mer dépose à mes pieds des pierres qu'elle extrait de ses fonds abyssaux. Avec ces pierres, je construis ma maison et, malgré les requins qui l'encerclent, je m'y sens bien. La journée, elle reste fraîche et exhale un parfum de nacre. Les nuits, mes draps sombres s’illuminent de perles ; parfois, elles sont tellement nombreuses que j'ai l'impression de dormir sur un ciel étoilé. Le miracle se produit alors : la suspension de cette absence dont je ne comprends toujours pas si c'est la tienne ou la mienne. Les sirènes me bercent, elles annoncent la fin de cette ère de sel.
Elena ?
OK.
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