mercredi 2 mars 2016

Projet Justine / Marie-G. 2 – phrases 101-105

El jueves mamá nos dio plata para que fuéramos donde Doña Leidi a “pelucarnos”. A mí me gustaba mucho ir a la casa de esa señora porque además de peluquera, Doña Leidi era modista y su casa estaba llena de retazos de telas, botones, cremalleras, cepillos, peinillas, peinetas. Todo revuelto y desordenado, no como en la casa, donde mamá no admitía que nada estuviera fuera de su puesto. Yo dejé que mis hermanos pasaran primero porque sabía que después de peluqueados ya no iban a querer esperar y entonces yo podría por fin hacer realidad mi sueño de calvearme; aunque se lo había pedido a mamá varias veces, nunca me lo había permitido. Ese día, sin saber por qué extraña razón tuve el coraje suficiente para pedirle a Doña Leidi que me dejara el pelo al rape. Al principio ella dudó.

Traduction temporaire :
Le jeudi, maman nous donna de l'argent pour qu'on aille chez Doña Leidi « au coiffeur ». Moi, j'aimais beaucoup y aller, parce qu'en plus d'être coiffeuse, Doña Leidi était couturière et sa maison était remplie de coupons de tissus, de boutons, de fermetures éclair, de brosses, de peignes à cheveux, de peignes. Tout sens dessus dessous, pas comme à la maison, où maman n'admettait pas que la moindre chose ne soit pas à sa place. Je laissai mes frères passer les premiers, parce que je savais qu'une fois coiffés, ils ne voudraient plus attendre et qu'alors, je pourrais enfin réaliser mon rêve : me raser la tête. Malgré plusieurs demandes à maman, elle ne m'avait jamais donné la permission. Ce jour-là, sans savoir pour quelle raison étrange, j'eus le courage suffisant pour supplier Doña Leidi de me tondre la boule à zéro. Au début, elle hésita.

7 commentaires:

Justine a dit…

Le jeudi, maman nous donna de l'argent pour qu'on aille chez Doña Leidi se faire « coiffer ». Moi, j'aimais beaucoup y aller, parce qu'en plus d'être coiffeuse, Doña Leidi était couturière et sa maison était remplie de morceaux de tissus, de boutons, de fermetures éclair, de brosses, de peignes à cheveux, de peignes. Tout sens dessus dessous, pas comme à la maison où maman n'admettait pas que tout ne soit pas à sa place. Je laissai mes frères passer les premiers car, je savais qu'une fois coiffés, ils ne voudraient plus attendre ; et alors, je pourrai enfin réaliser mon rêve : devenir chauve. J'avais beau avoir demandé à maman plusieurs fois, elle ne m'avait jamais donné la permission. Ce jour-là, sans savoir pour quelle raison étrange, j'eus le courage suffisant pour demander à Doña Leidi de me couper les cheveux à ras. Au début, elle hésita.

Tradabordo a dit…

Le [nécessaire ? Ça dépend de ce qui précède…] jeudi, maman nous donna de l'argent pour qu'on aille chez Doña Leidi se [grammaire] faire « coiffer » [néologisme en V.O., non ?]. Moi, j'aimais beaucoup y aller, parce qu'en plus d'être coiffeuse, Doña Leidi était couturière et sa maison était remplie de morceaux [« coupons » ?] de tissus, de boutons, de fermetures éclair, de brosses, de peignes à cheveux, de peignes. Tout sens dessus dessous, pas comme à la maison [virgule] où maman n'admettait pas que tout [tu as déjà « tout »] ne soit pas à sa place. Je laissai mes frères passer les premiers car [pas plus naturel avec « parce que » ?], je savais qu'une fois coiffés, ils ne voudraient plus attendre ; [pas de ; ici] et [« qu' »]alors, je pourrai [temps ?] enfin réaliser mon rêve : devenir chauve [on le dirait comme ça ?]. J'avais beau avoir [avoir + avoir ; pas génial] demandé à maman plusieurs fois, elle ne m'avait jamais donné la permission. Ce jour-là, sans savoir pour quelle raison étrange, j'eus le courage suffisant pour demander [tu l'as déjà] à Doña Leidi de me couper les cheveux à ras. Au début, elle hésita.

Justine a dit…

Tante Alfreda va débarquer samedi… ;-)

Le jeudi, maman nous donna de l'argent pour qu'on aille chez Doña Leidi « discipliner nos chevelures » [Pas terrible, je te l'accorde, mais je sèche…]. Moi, j'aimais beaucoup y aller, parce qu'en plus d'être coiffeuse, Doña Leidi était couturière et sa maison était remplie de coupons de tissus, de boutons, de fermetures éclair, de brosses, de peignes à cheveux, de peignes. Tout sens dessus dessous, pas comme à la maison, où maman n'admettait pas que la moindre chose ne soit pas à sa place. Je laissai mes frères passer les premiers, parce que je savais qu'une fois coiffés, ils ne voudraient plus attendre et qu'alors, je pourrais enfin réaliser mon rêve : me raser la tête. Malgré plusieurs demandes à maman, elle ne m'avait jamais donné la permission. Ce jour-là, sans savoir pour quelle raison étrange, j'eus le courage suffisant pour supplier Doña Leidi de me couper les cheveux à ras. Au début, elle hésita.

Tradabordo a dit…

Le jeudi, maman nous donna de l'argent pour qu'on aille chez Doña Leidi « discipliner nos chevelures » [du coup, ici, case le populaire : « au coiffeur »]. Moi, j'aimais beaucoup y aller, parce qu'en plus d'être coiffeuse, Doña Leidi était couturière et sa maison était remplie de coupons de tissus, de boutons, de fermetures éclair, de brosses, de peignes à cheveux, de peignes. Tout sens dessus dessous, pas comme à la maison, où maman n'admettait pas que la moindre chose ne soit pas à sa place. Je laissai mes frères passer les premiers, parce que je savais qu'une fois coiffés, ils ne voudraient plus attendre et qu'alors, je pourrais enfin réaliser mon rêve : me raser la tête. Malgré plusieurs demandes à maman, elle ne m'avait jamais donné la permission. Ce jour-là, sans savoir pour quelle raison étrange, j'eus le courage suffisant pour supplier Doña Leidi de me couper les cheveux à ras [« boule à zéro » ?]. Au début, elle hésita.

Justine a dit…

Le jeudi, maman nous donna de l'argent pour qu'on aille chez Doña Leidi « au coiffeur ». Moi, j'aimais beaucoup y aller, parce qu'en plus d'être coiffeuse, Doña Leidi était couturière et sa maison était remplie de coupons de tissus, de boutons, de fermetures éclair, de brosses, de peignes à cheveux, de peignes. Tout sens dessus dessous, pas comme à la maison, où maman n'admettait pas que la moindre chose ne soit pas à sa place. Je laissai mes frères passer les premiers, parce que je savais qu'une fois coiffés, ils ne voudraient plus attendre et qu'alors, je pourrais enfin réaliser mon rêve : me raser la tête. Malgré plusieurs demandes à maman, elle ne m'avait jamais donné la permission. Ce jour-là, sans savoir pour quelle raison étrange, j'eus le courage suffisant pour supplier Doña Leidi de me tondre la boule à zéro. Au début, elle hésita.

Tradabordo a dit…

Le jeudi, maman nous donna de l'argent pour qu'on aille chez Doña Leidi « au coiffeur ». Moi, j'aimais beaucoup y aller, parce qu'en plus d'être coiffeuse, Doña Leidi était couturière et sa maison était remplie de coupons de tissus, de boutons, de fermetures éclair, de brosses, de peignes à cheveux, de peignes. Tout sens dessus dessous, pas comme à la maison, où maman n'admettait pas que la moindre chose ne soit pas à sa place. Je laissai mes frères passer les premiers, parce que je savais qu'une fois coiffés, ils ne voudraient plus attendre et qu'alors, je pourrais enfin réaliser mon rêve : me raser la tête. Malgré plusieurs demandes à maman, elle ne m'avait jamais donné la permission. Ce jour-là, sans savoir pour quelle raison étrange, j'eus le courage suffisant pour supplier Doña Leidi de me tondre la boule à zéro. Au début, elle hésita.

OK.

Justine a dit…

Est-ce que tu pourrais me mettre la suite, s'il te plaît, Caroline ?