Algunos no comían nada. Ella devoró el pollo y hasta repitió aguadepanela, me acuerdo bien. Mis hermanos Wilson y Rodolfo contaron chistes y Elisa recitó una poesía larguísima que le habían hecho aprenderse en el colegio: “María camina”. Yo estaba un poco fastidiada con todo el espectáculo. Lo único que quería era escuchar la voz de la tía Alfreda y preguntarle un montón de cosas pero no me atrevía, menos aún delante de todos. Dos veces le sonó el teléfono y ella se alejó un poco para hablar. Después de la segunda vez, dijo que estaba cansada y que quería irse a dormir. Mamá me ordenó que la acompañara. Yo fui hasta su carro para sacar la maleta (una maleta roja, linda, que aún ahora, después de veinte años, insisto en usar para mis viajes) y regresé corriendo para llevarla hasta el cuarto que preparamos especialmente para ella. Habíamos dispuesto una colcha mullida, un par de almohadas rollizas e inmaculadas, un ramo de margaritas sobre la mesa, una jarra de agua y un vaso al lado. Todo blanco, perfecto y acogedor.
Traduction temporaire :
Certains ne mangeaient rien. Elle, elle dévora son poulet et reprit même de l'eau sucrée ; je m'en souviens bien. Mes frères, Wilson et Rodolfo, racontèrent des histoires drôles et Elisa récita un très long poème qu'elle avait appris par cœur à l'école : “María camina”. Ce spectacle me barbait un peu. La seule chose que je désirais, c'était entendre la voix de tante Alfreda et lui poser un tas de questions. Mais je n'osais pas, encore moins devant tout le monde. Son téléphone sonna deux fois et elle s'éloigna de quelques pas pour parler. Après le deuxième appel, elle s'excusa, elle était fatiguée et souhaitait aller se coucher. Maman m'ordonna de l'accompagner. J'allai jusqu'à sa voiture pour prendre sa valise (une belle valise rouge, qu'encore maintenant, vingt ans plus tard, j'utilise toujours quand je pars en voyage), et m'empressai de revenir pour la guider jusqu'à la chambre que nous avions préparée spécialement pour elle. Nous avions installé un couvre-lit moelleux, deux gros oreillers immaculés, un bouquet de marguerites sur la table, une cruche d'eau et un verre. Un ensemble blanc, parfait, accueillant.
Certains ne mangeaient rien. Elle, elle dévora son poulet et reprit même de l'eau sucrée ; je m'en souviens bien. Mes frères, Wilson et Rodolfo, racontèrent des histoires drôles et Elisa récita un très long poème qu'elle avait appris par cœur à l'école : “María camina”. Ce spectacle me barbait un peu. La seule chose que je désirais, c'était entendre la voix de tante Alfreda et lui poser un tas de questions. Mais je n'osais pas, encore moins devant tout le monde. Son téléphone sonna deux fois et elle s'éloigna de quelques pas pour parler. Après le deuxième appel, elle s'excusa, elle était fatiguée et souhaitait aller se coucher. Maman m'ordonna de l'accompagner. J'allai jusqu'à sa voiture pour prendre sa valise (une belle valise rouge, qu'encore maintenant, vingt ans plus tard, j'utilise toujours quand je pars en voyage), et m'empressai de revenir pour la guider jusqu'à la chambre que nous avions préparée spécialement pour elle. Nous avions installé un couvre-lit moelleux, deux gros oreillers immaculés, un bouquet de marguerites sur la table, une cruche d'eau et un verre. Un ensemble blanc, parfait, accueillant.
9 commentaires:
Certains ne mangeaient rien. Elle, elle dévora son poulet et reprit même de l'eau sucrée, je m'en souviens bien. Mes frères, Wilson et Rodolfo racontèrent des histoires drôles et Elisa récita une très longue poésie qu'elle avait apprise par cœur à l'école : « María camina ». Ce spectacle me barbait un peu. La seule chose que je désirais, c'était entendre la voix de tante Alfreda et lui poser un tas de questions, mais je n'osais pas, encore moins devant tout le monde. Son téléphone sonna deux fois et elle s'éloigna un peu pour parler. Après le deuxième appel, elle s'excusa, elle était fatiguée et souhaitait aller dormir. Maman m'ordonna de l'accompagner. J'allai jusqu'à sa voiture pour sortir sa valise (une belle valise rouge, qu'encore maintenant, vingt ans plus tard, je persiste à utiliser quand je pars en voyage, et je revins à toutes jambes pour l'emmener jusqu'à la chambre que nous avions préparée spécialement pour elle. Nous avions installé un couvre-lit moelleux, deux gros oreillers immaculés, un bouquet de marguerites sur la table, une cruche d'eau et un verre. Un ensemble blanc, parfait, accueillant.
Certains ne mangeaient rien. Elle, elle dévora son poulet et reprit même de l'eau sucrée, je m'en souviens bien. Mes frères, Wilson et Rodolfo racontèrent des histoires drôles et Elisa récita une très longue poésie qu'elle avait apprise par cœur à l'école : « María camina ». Ce spectacle me barbait un peu. La seule chose que je désirais, c'était entendre la voix de tante Alfreda et lui poser un tas de questions, mais je n'osais pas, encore moins devant tout le monde. Son téléphone sonna deux fois et elle s'éloigna un peu pour parler. Après le deuxième appel, elle s'excusa, elle était fatiguée et souhaitait aller dormir. Maman m'ordonna de l'accompagner. J'allai jusqu'à sa voiture pour sortir sa valise (une belle valise rouge, qu'encore maintenant, vingt ans plus tard, je persiste à utiliser quand je pars en voyage), et je revins à toutes jambes pour l'emmener jusqu'à la chambre que nous avions préparée spécialement pour elle. Nous avions installé un couvre-lit moelleux, deux gros oreillers immaculés, un bouquet de marguerites sur la table, une cruche d'eau et un verre. Un ensemble blanc, parfait, accueillant.
Certains ne mangeaient rien. Elle, elle dévora son poulet et reprit même de l'eau sucrée, [point-virgule ? Comme tu veux…] je m'en souviens bien. Mes frères, Wilson et Rodolfo [virgule] racontèrent des histoires drôles et Elisa récita une très longue poésie [« poème »] qu'elle avait apprise par cœur à l'école : “María camina”. Ce spectacle me barbait un peu. La seule chose que je désirais, c'était entendre la voix de tante Alfreda et lui poser un tas de questions, [point ?] mais je n'osais pas, encore moins devant tout le monde. Son téléphone sonna deux fois et elle s'éloigna un peu [tu l'as déjà plus haut] pour parler. Après le deuxième appel, elle s'excusa, elle était fatiguée et souhaitait aller dormir [« se coucher » ?]. Maman m'ordonna de l'accompagner. J'allai jusqu'à sa voiture pour sortir [« prendre » ?] sa valise (une belle valise rouge, qu'encore maintenant, vingt ans plus tard, je persiste [bof] à utiliser quand je pars en voyage[ferme la parenthèse !], et je revins à toutes [tu en as déjà un] jambes pour l'emmener [incorrect] jusqu'à la chambre que nous avions préparée spécialement pour elle. Nous avions installé un couvre-lit moelleux, deux gros oreillers immaculés, un bouquet de marguerites sur la table, une cruche d'eau et un verre. Un ensemble blanc, parfait, accueillant.
Certains ne mangeaient rien. Elle, elle dévora son poulet et reprit même de l'eau sucrée ; je m'en souviens bien. Mes frères, Wilson et Rodolfo, racontèrent des histoires drôles et Elisa récita un très long poème qu'elle avait appris par cœur à l'école : “María camina”. Ce spectacle me barbait un peu. La seule chose que je désirais, c'était entendre la voix de tante Alfreda et lui poser un tas de questions. Mais je n'osais pas, encore moins devant tout le monde. Son téléphone sonna deux fois et elle s'éloigna de quelques pas pour parler. Après le deuxième appel, elle s'excusa, elle était fatiguée et souhaitait aller se coucher. Maman m'ordonna de l'accompagner. J'allai jusqu'à sa voiture pour prendre sa valise (une belle valise rouge, qu'encore maintenant, vingt ans plus tard, j'utilise toujours quand je pars en voyage), et m'empressai de revenir pour l'amener jusqu'à la chambre que nous avions préparée spécialement pour elle. Nous avions installé un couvre-lit moelleux, deux gros oreillers immaculés, un bouquet de marguerites sur la table, une cruche d'eau et un verre. Un ensemble blanc, parfait, accueillant.
Certains ne mangeaient rien. Elle, elle dévora son poulet et reprit même de l'eau sucrée ; je m'en souviens bien. Mes frères, Wilson et Rodolfo, racontèrent des histoires drôles et Elisa récita un très long poème qu'elle avait appris par cœur à l'école : “María camina”. Ce spectacle me barbait un peu. La seule chose que je désirais, c'était entendre la voix de tante Alfreda et lui poser un tas de questions. Mais je n'osais pas, encore moins devant tout le monde. Son téléphone sonna deux fois et elle s'éloigna de quelques pas pour parler. Après le deuxième appel, elle s'excusa, elle était fatiguée et souhaitait aller se coucher. Maman m'ordonna de l'accompagner. J'allai jusqu'à sa voiture pour prendre sa valise (une belle valise rouge, qu'encore maintenant, vingt ans plus tard, j'utilise toujours quand je pars en voyage), et m'empressai de revenir pour l'amener [amener / emmener = gens] jusqu'à la chambre que nous avions préparée spécialement pour elle. Nous avions installé un couvre-lit moelleux, deux gros oreillers immaculés, un bouquet de marguerites sur la table, une cruche d'eau et un verre. Un ensemble blanc, parfait, accueillant.
Oui, mais justement, je pense qu'une fois la valise récupérée, c'est sa tante qu'elle guide jusqu'à la chambre.
OK. Tu es plus dans ton texte, donc vas-y.
Certains ne mangeaient rien. Elle, elle dévora son poulet et reprit même de l'eau sucrée ; je m'en souviens bien. Mes frères, Wilson et Rodolfo, racontèrent des histoires drôles et Elisa récita un très long poème qu'elle avait appris par cœur à l'école : “María camina”. Ce spectacle me barbait un peu. La seule chose que je désirais, c'était entendre la voix de tante Alfreda et lui poser un tas de questions. Mais je n'osais pas, encore moins devant tout le monde. Son téléphone sonna deux fois et elle s'éloigna de quelques pas pour parler. Après le deuxième appel, elle s'excusa, elle était fatiguée et souhaitait aller se coucher. Maman m'ordonna de l'accompagner. J'allai jusqu'à sa voiture pour prendre sa valise (une belle valise rouge, qu'encore maintenant, vingt ans plus tard, j'utilise toujours quand je pars en voyage), et m'empressai de revenir pour la guider jusqu'à la chambre que nous avions préparée spécialement pour elle. Nous avions installé un couvre-lit moelleux, deux gros oreillers immaculés, un bouquet de marguerites sur la table, une cruche d'eau et un verre. Un ensemble blanc, parfait, accueillant.
Certains ne mangeaient rien. Elle, elle dévora son poulet et reprit même de l'eau sucrée ; je m'en souviens bien. Mes frères, Wilson et Rodolfo, racontèrent des histoires drôles et Elisa récita un très long poème qu'elle avait appris par cœur à l'école : “María camina”. Ce spectacle me barbait un peu. La seule chose que je désirais, c'était entendre la voix de tante Alfreda et lui poser un tas de questions. Mais je n'osais pas, encore moins devant tout le monde. Son téléphone sonna deux fois et elle s'éloigna de quelques pas pour parler. Après le deuxième appel, elle s'excusa, elle était fatiguée et souhaitait aller se coucher. Maman m'ordonna de l'accompagner. J'allai jusqu'à sa voiture pour prendre sa valise (une belle valise rouge, qu'encore maintenant, vingt ans plus tard, j'utilise toujours quand je pars en voyage), et m'empressai de revenir pour la guider jusqu'à la chambre que nous avions préparée spécialement pour elle. Nous avions installé un couvre-lit moelleux, deux gros oreillers immaculés, un bouquet de marguerites sur la table, une cruche d'eau et un verre. Un ensemble blanc, parfait, accueillant.
OK.
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