El hecho de que, a los tres años, con apenas un poco de conciencia sobre mis actos, les hiciera morisquetas a los adultos adulones para que se acercaran a hacerme “caritas” y al tenerlos a tiro les pegara tremendo cabezazo y gozara al ver la sangre manar de sus narices rotas, hinchadas, deformes, de los ojos tumefactos y la maravillosa ramificación de sus derrames, de los labios partidos que dejaban una boca llena de sangre que apenas podía contener y tanto escupía como tragaba a borbotones. ¿Será que mi maldad es innata, que vino conmigo el don de gozar con el sufrimiento ajeno?
Traduction temporaire :
À trois ans, alors que j'avais à peine un soupçon de conscience de mes actes, je faisais des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent et me fassent des "risettes" ; en les ayant à ma portée, je voulais leur donner un terrible coup de tête et je me réjouissais de voir le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient une bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et qui en crachait tout en en avalant abondamment. Ma méchanceté et le don de m'enthousiasmer de la souffrance d'autrui sont-ils innés chez moi ?
17 commentaires:
Le fait qu’à trois ans, avec à peine un peu de conscience sur mes actes, je me serais moqué des (adultes en surpoids pour qu’ils fassent la démarche de s’adapter) et en les jetant les aurais plaqués d’un formidable coup de tête et aurais pris plaisir à voir le sang couler de leurs narines fracturées, gonflées, déformées, de leurs yeux boursoufflés et de la merveilleuse ramification de leurs veines, de leurs lèvres ouvertes qui laissaient (voir) une bouche pleine de sang (qui pouvait à peine en contenir (plus)), qui crachait et (r)avalait par jet. Ma méchanceté serait-elle innée ? Le don de jouir de la souffrance d’autrui serait né (avec / en même temps que) moi ?
Le fait qu'à trois ans, avec à peine un soupçon de conscience sur mes actes, je faisais des grimaces aux adultes flattés pour qu'ils s'approchent afin de me faire des "frimousses" et en les ayant à ma portée je leur donnais un terrible coup de tête et je me réjouissais en voyant le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient une bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et crachait autant qu'elle en avalait à flots. Ma méchanceté est-elle innée au point que soit venu avec moi le don de me réjouir de la souffrance d'autrui ?
En théorie, je prends la première proposition publiée, mais là, je vais regarder celle de Maxime… Justine : à vous de trancher tous les doutes que vous avez, pour ne me proposer qu'une seule solution. Je n'ai pas le temps de passer en revue / peser… les versions alternatives.
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Le fait qu'à trois ans, avec à peine un soupçon de conscience sur [« de » ?] mes actes, je faisais [mode ?] des grimaces [vous avez trouvé l'expression ? Juste pour confirmation que ça n'est pas juste l'intuition] aux adultes flattés [CS] pour qu'ils s'approchent afin de me faire des "frimousses" [bof] et en les ayant à ma portée [virgule] je leur donnais [mode ?]
Corrigez ça, parce que sinon, ça complique l'avancée dans la phrase.
un terrible coup de tête et je me réjouissais en voyant le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient une bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et crachait autant qu'elle en avalait à flots. Ma méchanceté est-elle innée au point que soit venu avec moi le don de me réjouir de la souffrance d'autrui ?
Le fait qu'à trois ans, avec à peine un soupçon de conscience de mes actes, je fasse des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent afin de me faire des "petites têtes" et en les ayant à ma portée, je leur donne un terrible coup de tête et je me réjouisse en voyant le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient une bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et crachait autant qu'elle en avalait à flots. Ma méchanceté est-elle innée au point que soit venu avec moi le don de me réjouir de la souffrance d'autrui ?
Le fait qu'à trois ans, avec à peine un soupçon de conscience de mes actes, je fasse [ça ne fonctionne pas non… On dirait que là, il a trois ans / voyons ce que ça donnerait avec le passé composé] des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent afin de me faire des "petites têtes" et en les ayant à ma portée, je leur donne un terrible coup de tête et je me réjouisse en voyant le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient une bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et crachait autant qu'elle en avalait à flots. Ma méchanceté est-elle innée au point que soit venu avec moi le don de me réjouir de la souffrance d'autrui ?
Le fait qu'à trois ans, avec à peine un soupçon de conscience de mes actes, j'ai fais des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent afin de me faire des "petites têtes" et en les ayant à ma portée, je leur ai donné un terrible coup de tête et je me suis réjouis en voyant le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient une bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et crachait autant qu'elle en avalait à flots. Ma méchanceté est-elle innée au point que soit venu avec moi le don de me réjouir de la souffrance d'autrui ?
Le fait [et si on supprimait ? Parce que comme après on a également « faire »…] qu'à trois ans, avec à peine un soupçon de conscience de mes actes, j'ai fais [grammaire] des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent afin de me faire [X3 rien pour ce début ; ennuyeux, quand même…] des "petites têtes" [« risettes »] et en [pas un « pour que » ?] les ayant à ma portée, je leur ai donné un terrible coup de tête et je me suis réjouis en voyant le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient une bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et crachait autant qu'elle en avalait à flots [léger manque de naturel]. Ma méchanceté est-elle innée au point que soit venu avec moi le don de me réjouir de la souffrance d'autrui [à reprendre ; beaucoup trop alambqué] ?
À trois ans, avec à peine un soupçon de conscience de mes actes, j'ai fait des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent afin de me faire des "risettes" pour qu'en les ayant à ma portée, je leur donne un terrible coup de tête et je me réjouisse en voyant le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient un bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et qu'elle crachait tout en en avalant à flots. Ma méchanceté et le don de me réjouir de la souffrance d'autrui sont-ils innés chez moi ?
À trois ans, avec à peine un soupçon de conscience de mes actes, j'ai fait des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent afin de [essayez de supprimer le but ; un peu artificiel « pour que » + « afin de »] me faire des "risettes" pour qu'[d'autant que vous en avez un 3e ici. Le cas échéant, coupez la phrase et commencez ici avec quelque chose comme : « Je voulais »… Essayez et voyons ce que ça donne… ]en les ayant à ma portée, je leur donne un terrible coup de tête et je me réjouisse en voyant le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient un bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et qu'elle crachait tout en en avalant à flots. Ma méchanceté et le don de me réjouir de la souffrance d'autrui sont-ils innés chez moi ?
À trois ans, avec à peine un soupçon de conscience de mes actes, j'ai fait des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent et me fasse des "risettes". Je voulais en les ayant à ma portée, leur donner un terrible coup de tête et me réjouir en voyant le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient un bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et qu'elle crachait tout en en avalant à flots. Ma méchanceté et le don de me réjouir de la souffrance d'autrui sont-ils innés chez moi ?
À trois ans, avec [« alors que j'avais » ?] à peine un soupçon de conscience de mes actes, j'ai fait [du coup, là, comme on a supprimer « le fait que », on va se simplifier les choses : remettez de l'imparfait… adaptez la suite] des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent et me fasse des "risettes". Je voulais en les ayant à ma portée, leur donner un terrible coup de tête et me réjouir en voyant le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient un bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et qu'elle crachait tout en en avalant à flots. Ma méchanceté et le don de me réjouir de la souffrance d'autrui sont-ils innés chez moi ?
À trois ans, alors que j'avais à peine un soupçon de conscience de mes actes, je faisais des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent et me fasse des "risettes".Je voulais en les ayant à ma portée, leur donner un terrible coup de tête et me réjouir en voyant le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient un bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et qu'elle crachait tout en en avalant à flots. Ma méchanceté et le don de me réjouir de la souffrance d'autrui sont-ils innés chez moi ?
À trois ans, alors que j'avais à peine un soupçon de conscience de mes actes, je faisais des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent et me fasse des "risettes". [point-virgule… Il vaut quand même mieux garder le lien entre les deux idées…]Je voulais [placez-le après] en les ayant à ma portée, leur donner un terrible coup de tête et me réjouir en voyant [« de voir » ?] le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient un []? bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et qu'elle crachait tout en en avalant à flots [mal dit]. Ma méchanceté et le don de me réjouir [un moyen de ne pas répéter ?] de la souffrance d'autrui sont-ils innés chez moi ?
À trois ans, alors que j'avais à peine un soupçon de conscience de mes actes, je faisais des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent et me fasse des "risettes" ; en les ayant à ma portée, je voulais leur donner un terrible coup de tête et me réjouir de voir le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient une bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et qui en crachait tout en en avalant abondamment. Ma méchanceté et le don de m'enthousiasmer de la souffrance d'autrui sont-ils innés chez moi ?
À trois ans, alors que j'avais à peine un soupçon de conscience de mes actes, je faisais des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent et me fasse [grammaire] des "risettes" ; en les ayant à ma portée, je voulais leur donner un terrible coup de tête et me réjouir [ça, ça va toujours avec « vouloir » ou c'est : « et je me réjouissais » ?] de voir le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient une bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et qui en crachait tout en en avalant abondamment. Ma méchanceté et le don de m'enthousiasmer de la souffrance d'autrui sont-ils innés chez moi ?
À trois ans, alors que j'avais à peine un soupçon de conscience de mes actes, je faisais des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent et me fassent des "risettes" ; en les ayant à ma portée, je voulais leur donner un terrible coup de tête et je me réjouissais de voir le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient une bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et qui en crachait tout en en avalant abondamment. Ma méchanceté et le don de m'enthousiasmer de la souffrance d'autrui sont-ils innés chez moi ?
À trois ans, alors que j'avais à peine un soupçon de conscience de mes actes, je faisais des grimaces aux adultes lèche-bottes pour qu'ils s'approchent et me fassent des "risettes" ; en les ayant à ma portée, je voulais leur donner un terrible coup de tête et je me réjouissais de voir le sang jaillir de leurs nez cassés, enflés, déformés, les yeux tuméfiés et la merveilleuse ramification de leurs écoulements, les lèvres fendues qui laissaient une bouche pleine de sang qu'elle pouvait à peine contenir et qui en crachait tout en en avalant abondamment. Ma méchanceté et le don de m'enthousiasmer de la souffrance d'autrui sont-ils innés chez moi ?
OK.
Justine ?
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