Me veo ahora derrumbado sobre ella, adormecido, ebrio. Veo su mirada bajo esa luz fluorescente, cegándola. Podía haber cerrado los ojos pero no lo hizo. Nuestros platos de revuelto de wayranto yacen rotos, desparramados por el suelo. Se aproxima la medianoche, ¿habrá alguien que haya escuchado esos gritos? Me espabilo, me enfren to a sus ojos, recuerdo; sobre una mesa veo las copas de vino vacías; no sé cómo levantarme, ni cómo haré para vestirme. No sé cómo pedir perdón. La acaricio, beso sus labios suavemente, le digo que jamás nadie ha levantado mi pasión como ella; la vuelvo a besar, con besitos cortos y suaves, por el rostro, por el cuello, por esas mejillas que parecen seguir ardiéndole, doliéndole. No me contesta, las lágrimas desbordan sus ojos, caen hacia un lado y a otro. Yo beso sus lágrimas.
Traduction temporaire :
Je me vois maintenant affalé sur elle, endormi, ivre. Je vois son regard sous cette lumière fluorescente qui l'aveugle. Elle aurait pu fermer les yeux, mais elle ne le fit pas. Nos assiettes de brouillade de wayranto sont cassées, éparpillées par terre. Il est presque minuit. Quelqu'un aura-t-il entendu ces cris ? Je reprends mes esprits, j'affronte son regard, je me souviens ; sur une table, je vois les verres de vin vides ; je ne sais comment me lever, ni comment je vais me débrouiller pour me rhabiller. Je ne sais pas comment lui demander pardon. Je la caresse, j'embrasse ses lèvres doucement, je lui dis que jamais personne avant elle n'avait soulevé chez moi une telle passion ; je l'embrasse de nouveau, en la couvrant de bisous fugaces et doux sur le visage, dans le cou, sur ses joues qui semblent encore lui brûler, lui faire mal. Elle ne me répond pas ; ses yeux débordent de larmes qui coulent de chaque côté. J'embrasse ses larmes.
Je me vois maintenant affalé sur elle, endormi, ivre. Je vois son regard sous cette lumière fluorescente qui l'aveugle. Elle aurait pu fermer les yeux, mais elle ne le fit pas. Nos assiettes de brouillade de wayranto sont cassées, éparpillées par terre. Il est presque minuit. Quelqu'un aura-t-il entendu ces cris ? Je reprends mes esprits, j'affronte son regard, je me souviens ; sur une table, je vois les verres de vin vides ; je ne sais comment me lever, ni comment je vais me débrouiller pour me rhabiller. Je ne sais pas comment lui demander pardon. Je la caresse, j'embrasse ses lèvres doucement, je lui dis que jamais personne avant elle n'avait soulevé chez moi une telle passion ; je l'embrasse de nouveau, en la couvrant de bisous fugaces et doux sur le visage, dans le cou, sur ses joues qui semblent encore lui brûler, lui faire mal. Elle ne me répond pas ; ses yeux débordent de larmes qui coulent de chaque côté. J'embrasse ses larmes.
5 commentaires:
Je me vois maintenant affalé sur elle, endormi, ivre. Je vois son regard sous cette lumière fluorescente qui l'aveugle. Elle aurait pu fermer les yeux mais elle ne le fit pas. Nos assiettes de brouillade de wayranto sont cassées, éparpillées par terre. Il est presque minuit. Quelqu'un aurait-il entendu ces cris ? Je reprends mes esprits, je fais face à ses yeux, je me souviens ; sur une table, je vois les verres de vin vides ; je ne sais comment me lever, ni comment je vais faire pour me rhabiller. Je ne sais pas comment lui demander pardon. Je la caresse, j'embrasse ses lèvres doucement, je lui dis que jamais personne avant elle n'avait soulevé chez moi une telle passion ; je l'embrasse à nouveau, en la couvrant de furtifs et doux bisous sur le visage, dans le cou, sur ses joues qui semblent encore lui brûler, lui faire mal. Elle ne me répond pas ; ses yeux débordent de larmes qui coulent de chaque côté. J'embrasse ses larmes.
Je me vois maintenant affalé sur elle, endormi, ivre. Je vois son regard sous cette lumière fluorescente qui l'aveugle. Elle aurait pu fermer les yeux [VIRGULE AVANT MAIS] mais elle ne le fit pas. Nos assiettes de brouillade de wayranto sont cassées, éparpillées par terre. Il est presque minuit. Quelqu'un aurait[futur ?]-il entendu ces cris ? Je reprends mes esprits, je fais [tu auras « faire » juste dessous ; une autre solution ici ?] face à ses yeux, je me souviens ; sur une table, je vois les verres de vin vides ; je ne sais comment me lever, ni comment je vais faire pour me rhabiller. Je ne sais pas comment lui demander pardon. Je la caresse, j'embrasse ses lèvres doucement, je lui dis que jamais personne avant elle n'avait soulevé chez moi une telle passion ; je l'embrasse à [« de »] nouveau, en la couvrant de furtifs et doux bisous [mal dit + place-le avant] sur le visage, dans le cou, sur ses joues qui semblent encore lui brûler, lui faire [X3] mal. Elle ne me répond pas ; ses yeux débordent de larmes qui coulent de chaque côté. J'embrasse ses larmes.
Désolée. Je vais me coller des post-it sur mon ordi !
Oui pour le futur, c'est tout à fait ça, merci :)
Je me vois maintenant affalé sur elle, endormi, ivre. Je vois son regard sous cette lumière fluorescente qui l'aveugle. Elle aurait pu fermer les yeux, mais elle ne le fit pas. Nos assiettes de brouillade de wayranto sont cassées, éparpillées par terre. Il est presque minuit. Quelqu'un aura-t-il entendu ces cris ? Je reprends mes esprits, j'affronte son regard, je me souviens ; sur une table, je vois les verres de vin vides ; je ne sais comment me lever, ni comment je vais me débrouiller pour me rhabiller. Je ne sais pas comment lui demander pardon. Je la caresse, j'embrasse ses lèvres doucement, je lui dis que jamais personne avant elle n'avait soulevé chez moi une telle passion ; je l'embrasse de nouveau, en la couvrant de bisous fugaces et doux sur le visage, dans le cou, sur ses joues qui semblent encore lui brûler, lui faire mal. Elle ne me répond pas ; ses yeux débordent de larmes qui coulent de chaque côté. J'embrasse ses larmes.
Je me vois maintenant affalé sur elle, endormi, ivre. Je vois son regard sous cette lumière fluorescente qui l'aveugle. Elle aurait pu fermer les yeux, mais elle ne le fit pas. Nos assiettes de brouillade de wayranto sont cassées, éparpillées par terre. Il est presque minuit. Quelqu'un aura-t-il entendu ces cris ? Je reprends mes esprits, j'affronte son regard, je me souviens ; sur une table, je vois les verres de vin vides ; je ne sais comment me lever, ni comment je vais me débrouiller pour me rhabiller. Je ne sais pas comment lui demander pardon. Je la caresse, j'embrasse ses lèvres doucement, je lui dis que jamais personne avant elle n'avait soulevé chez moi une telle passion ; je l'embrasse de nouveau, en la couvrant de bisous fugaces et doux sur le visage, dans le cou, sur ses joues qui semblent encore lui brûler, lui faire mal. Elle ne me répond pas ; ses yeux débordent de larmes qui coulent de chaque côté. J'embrasse ses larmes.
OK.
Au moment des relectures, il faudra quand même regarder cette histoire de « faire ».
J'en ai enlevé un sur trois :p. Je regarderai.
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