En photo : archive, reflets vinyles..., par lullaby... / figer l'instant....Ce matin, en ouvrant la grosse malle du grenier, je n’aurais jamais songé trouver un tel trésor…
Je suis tombé sur un tourne-disque et un nombre impressionnant de vinyles ayant appartenu à mes parents. Quelle découverte !
J’imagine mon père jeune, écoutant ce genre de musique. Cette vision me fait rire et c’est le sourire aux lèvres et la curiosité attisée par tous ces noms que je sors le tourne-disque.
Je le dépoussière rapidement et choisis un vinyle : "Space Oddity" de David Bowie.
J’abaisse le bras et savoure le son si particulier du diamant sur le disque.
La musique commence. Je ferme les yeux, je me laisse porter, je plane…
Je m’imagine quarante années auparavant, dans cette époque qui ne fut pas la mienne.
Je sais ce que cette musique à représenté, ce qu’elle véhicule.
Dans les sillons, la révolution.
Je soulève mes paupières, je regarde autour de moi. J’ai disposé tous les vinyles sur le sol et je décide de m’installer sur le fauteuil poussiéreux.
Je ne bougerai pas de la journée et la passerai en compagnie de The Who, The Doors, Les Beatles bien sûr, The Kinks, Jimi Hendrix, The Rolling Stones, The Turtles et tant d’autres…
Je referme les yeux et j’oublie tout.
Je pars loin, dans un monde empreint de rêves, d’espoir, où tout était possible.
Je suis tombé sur un tourne-disque et un nombre impressionnant de vinyles ayant appartenu à mes parents. Quelle découverte !
J’imagine mon père jeune, écoutant ce genre de musique. Cette vision me fait rire et c’est le sourire aux lèvres et la curiosité attisée par tous ces noms que je sors le tourne-disque.
Je le dépoussière rapidement et choisis un vinyle : "Space Oddity" de David Bowie.
J’abaisse le bras et savoure le son si particulier du diamant sur le disque.
La musique commence. Je ferme les yeux, je me laisse porter, je plane…
Je m’imagine quarante années auparavant, dans cette époque qui ne fut pas la mienne.
Je sais ce que cette musique à représenté, ce qu’elle véhicule.
Dans les sillons, la révolution.
Je soulève mes paupières, je regarde autour de moi. J’ai disposé tous les vinyles sur le sol et je décide de m’installer sur le fauteuil poussiéreux.
Je ne bougerai pas de la journée et la passerai en compagnie de The Who, The Doors, Les Beatles bien sûr, The Kinks, Jimi Hendrix, The Rolling Stones, The Turtles et tant d’autres…
Je referme les yeux et j’oublie tout.
Je pars loin, dans un monde empreint de rêves, d’espoir, où tout était possible.
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