–Pues verá, Colirio, si se refiere al dueño de esta escafandra, lo dejé amarrado a una de esas columnas metálicas que sujetaban el cohete.
Traduction temporaire :
— C'est-à-dire que… vous constaterez par vous-même, Colorev, si vous voulez parler du propriétaire de ce scaphandre, que je l'ai laissé ficelé à l'une des colonnes métalliques qui maintenaient la fusée au sol.
— C'est-à-dire que… vous constaterez par vous-même, Colorev, si vous voulez parler du propriétaire de ce scaphandre, que je l'ai laissé ficelé à l'une des colonnes métalliques qui maintenaient la fusée au sol.
15 commentaires:
Vous allez voir, Collyre, si vous voulez parler du propriétaire de ce scaphandre, je l'ai laissé amarré à une de ces colonnes métalliques qui retenaient la fusée.
— Eh bien vous constaterez, Colorev – si vous faites allusion au propriétaire de ce scaphandre –, que je l’ai laissé attaché à l’une de ces colonnes métalliques qui retenaient la fusée.
1) Justine = CS pour le début.
2) Perrin : le ton est bon, etc. mais tu répètes « eh »… On commence par « c'est-à-dire » + des points de suspension ?
3) Je préfère la solution de Perrine pour ne nom de famille parce que ça sonne + russe de cuisine.
4) Perrine : pourquoi ces tirets ???? Impossible dans un dialogue.
5) Justine : OK pour ton « si vous voulez parler du propriétaire de ce scaphandre » – mais vérifie que nous n'avons pas déjà utilisé « parler » auparavant.
6) « amarré » ?????? Justine… !!!!!!
7) Pas besoin de « laissé » à mon avis.
8) « attaché » ou, plus drôle « ficelé » ?
9) « l'une DES »…
10) J'ai une hésitation : est-ce que vous croyez qu'avec « qui retenait », le lecteur francophone comprendra que le personnage est resté sur terre ?
— C'est-à-dire… Colorev, si vous voulez parler du propriétaire de ce scaphandre, je l’ai laissé ficelé à l’une des colonnes métalliques qui retenaient la fusée.
- Nous n'avons pas utilisé le verbe "parler" avant.
- Pour "qui retenaient", j'ai d'abord lu la version francophone et j'ai tout de suite compris le fait que le personnage est resté sur terre (mais je suis déjà au courant de l'histoire). Néanmoins, si on enlève "laissé" je pense que c'est moins clair.
L'argument est tout à fait recevable, Sophie… Attendons l'avis d'une des autres Aurores boréales pour trancher, valider et passer à la suite.
Décidément, j'adore cette nouvelle…
1) Nous n'avons pas encore utilisé « parler ».
2) est -ce que là, c'est trop explicite pour la fin ?
— C'est-à-dire que… vous constaterez, Colorev, si vous voulez parler du propriétaire de ce scaphandre, que je l'ai ficelé à l'une des colonnes métalliques qui maintenaient la fusée au sol.
Justine
Manifestement, tu n'as pas vu le commentaire de Sophie. Jette un œil à ce qu'elle dit et vois ce que tu penses qu'il convient de faire.
J'ai un doute, je conserverai « laisser » pour les mêmes raisons que Sophie, néanmoins, il est facile pour nous de comprendre qu'il est resté sur terre, nous connaissons l'histoire. Mais pour ceux qui ne lirons que cette version,je me demande si ce sera clair ?
Justine :
Propose une solution… en tenant compte de ces critères. Voyons ce que ces longs mois d'expérience t'auront appris ;-) Je ne plaisante qu'à moitié ; là, tu es confrontée à l'une des difficultés du métier de traducteur…
— C'est-à-dire que… vous constaterez, Colorev, si vous voulez parler du propriétaire de ce scaphandre, que je l'ai laissé ficelé à l'une des colonnes métalliques qui maintenaient la fusée au sol.
— C'est-à-dire que… vous constaterez, Colorev, si vous voulez parler du propriétaire de ce scaphandre, que je l'ai laissé ficelé à l'une des colonnes métalliques qui maintenaient la fusée au sol.
Pour plus d'insolence, ajoute « par vous-même » après « constaterez »… Il persifle !
À mon avis, le « laisser » n'est pas utile.
Sophie ? Perrine ?
Justine, on attend pour « laisser », mais tu peux régler les autres points…
— C'est-à-dire que… vous constaterez par vous-même, Colorev, si vous voulez parler du propriétaire de ce scaphandre, que je l'ai laissé ficelé à l'une des colonnes métalliques qui maintenaient la fusée au sol.
Merci, Justine.
Voici donc l'état actuel de la phrase – il ne reste plus qu'à décider du sort de « laisser ».
— C'est-à-dire que… vous constaterez par vous-même, Colorev, si vous voulez parler du propriétaire de ce scaphandre, que je l'ai laissé ficelé à l'une des colonnes métalliques qui maintenaient la fusée au sol.
Je suis très dubitative, si j'avais été seule face à cette traduction, je pense que j'aurais mis le "laissé". Car il ne gêne pas, il n'est pas redondant, et en plus il apporte de la clarté. Mais si on ne le garde pas, je pense que cela ne change rien, ni au sens, ni au ton du texte. C'est juste un petit plus.
OK… Sophie. Alors on le garde. Il sera toujours temps d'y revenir au moment des relectures – surtout si le verbe « laisser » se répète ensuite et que nous avons besoin de faire du ménage.
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