Sus colores parecían mutados, como si las casas y las calles estuviesen en negativo, aunque no el blanco en negro de las radiografías, sino con una solarización demente, oscura y sin lógica.
Traduction temporaire :
Leurs couleurs s'étaient semble-t-il métamorphosées, comme si les maisons étaient soudain vues sous la forme de négatifs – or en l'occurrence, il ne s'agissait pas de ce noir et blanc des radiographies, mais d'une solarisation démentielle, obscure et sans logique.
23 commentaires:
Leurs couleurs semblaient métamorphosés, comme si les maisons étaient en négatif, non pas le noir et blanc des radiographies, mais plutôt une solarisation démente, obscure et sans logique.
1) « mutados » ; est-ce « avoir changé » ne suffit pas ?
2) « étaient vues sous la forme de négatifs » ?
3) Tu n'a pas rendu le « aunque ».
On verra le reste après…
Leurs couleurs semblaient métamorphosées, comme si les maisons étaient vues sous la forme de négatif, bien que ce n'était pas le noir et blanc des radiographies, mais plutôt une solarisation démente, obscure et sans logique.
1) "métamorphosées", c'est trop ?
2) ok
3) C'était mon "non pas"...
Leurs couleurs semblaient métamorphosées, comme si les maisons étaient vues sous la forme de négatif, bien que ce n'était pas le noir et blanc des radiographies, mais plutôt une solarisation démente, obscure et sans logique.
1) Oui, c'est pour ça que je t'ai posé la question… Ou alors avec autre chose que « semblaient » – problème de construction.
2) Sous la forme de négatif-S.
3) « bien que » + subjonctif.
Leurs couleurs semblaient changées, comme si les maisons étaient vues sous la forme de négatifs, bien que ce ne fût pas le noir et blanc des radiographies, mais plutôt une solarisation démente, obscure et sans logique.
1) "mutar" me semblait plus "fort" que "changer", c'est pour ça...
Donne-moi les synonymes les plus intéressants de « changer » ou alors, comme je te l'ai dit, tu gardes « métamorphoser », mais tu le construis autrement.
Passe par « même si »…
Leurs couleurs s'étaient métamorphosées, comme si les maisons étaient vues sous la forme de négatifs, même si ce n'était pas le noir et blanc des radiographies, mais plutôt une solarisation démente, obscure et sans logique.
Je te propose quelques petits changements :
Leurs couleurs s'étaient métamorphosées, comme si les maisons étaient SOUDAIN vues sous la forme de négatifs – même si EN L'OCCURRENCE IL NE S'AGISSAIT pas du noir et du blanc des radiographies, mais d'une solarisation démente, obscure et sans logique.
« Démente » n'est pas très bien choisi.
Leurs couleurs s'étaient métamorphosées, comme si les maisons étaient soudain vues sous la forme de négatifs – même si en l'occurrence, il ne s'agissait pas du noir et du blanc des radiographies, mais d'une solarisation insensée, obscure et sans logique.
Sinon, juste pour te faire part de mes cogitations, j'avais pensé à :
Leurs couleurs s'étaient métamorphosées, comme si les maisons étaient soudain vues sous la forme de négatifs – OR en l'occurrence, il ne s'agissait pas DE CE / DU noir et blanc des radiographies, mais d'une solarisation insensée, obscure et sans logique.
Sinon, pour "dementes" : "démentielle"
Donc, je prends en compte quelle solution : celle de ton premier commentaire ou celle du second ?
Le second, comme ça on évité l'allitération "comme si"/"même si", si toutefois, ma proposition s'avère correcte...
Leurs couleurs s'étaient métamorphosées, comme si les maisons étaient soudain vues sous la forme de négatifs – OR en l'occurrence, il ne s'agissait pas DE CE / DU noir et blanc des radiographies, mais d'une solarisation insensée, obscure et sans logique.
Il reste des choses à trancher… alors tranche. Je t'ai dit, il faut passer à l'étape d'une plus grande autonomie et donc, impose-toi cette difficile nécessité du choix.
Leurs couleurs s'étaient métamorphosées, comme si les maisons étaient soudain vues sous la forme de négatifs – or en l'occurrence, il ne s'agissait pas de ce noir et blanc des radiographies, mais d'une solarisation démentielle, obscure et sans logique.
Leurs couleurs s'étaient métamorphosées, comme si les maisons étaient soudain vues sous la forme de négatifs – or en l'occurrence, il ne s'agissait pas de ce noir et blanc des radiographies, mais d'une solarisation démentielle, obscure et sans logique.
Au fait, il ne faut pas manquer la nuance « parecían » + mutados.
Vas-y.
Leurs couleurs s'étaient apparemment métamorphosées, comme si les maisons étaient soudain vues sous la forme de négatifs – or en l'occurrence, il ne s'agissait pas de ce noir et blanc des radiographies, mais d'une solarisation démentielle, obscure et sans logique.
Essaie de faire sans adverbe en -ment pour « Leurs couleurs s'étaient apparemment métamorphosées »
Leurs couleurs s'étaient en apparence métamorphosées, comme si les maisons étaient soudain vues sous la forme de négatifs – or en l'occurrence, il ne s'agissait pas de ce noir et blanc des radiographies, mais d'une solarisation démentielle, obscure et sans logique.
Leurs couleurs s'étaient en apparence métamorphosées, comme si les maisons étaient soudain vues sous la forme de négatifs – or en l'occurrence, il ne s'agissait pas de ce noir et blanc des radiographies, mais d'une solarisation démentielle, obscure et sans logique.
« en apparence » pourrait être un CS…
Ah oui, zut !
Leurs couleurs s'étaient à l'évidence métamorphosées, comme si les maisons étaient soudain vues sous la forme de négatifs – or en l'occurrence, il ne s'agissait pas de ce noir et blanc des radiographies, mais d'une solarisation démentielle, obscure et sans logique.
Leurs couleurs s'étaient à l'évidence métamorphosées, comme si les maisons étaient soudain vues sous la forme de négatifs – or en l'occurrence, il ne s'agissait pas de ce noir et blanc des radiographies, mais d'une solarisation démentielle, obscure et sans logique.
« semble-t-il » ; sauf si on l'a déjà.
Non, on ne l'a pas :
Leurs couleurs s'étaient semble-t-il métamorphosées, comme si les maisons étaient soudain vues sous la forme de négatifs – or en l'occurrence, il ne s'agissait pas de ce noir et blanc des radiographies, mais d'une solarisation démentielle, obscure et sans logique.
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