¡Nadie podía creerlo!, ¡don Tálamo se había levantado! Estaba con un pantalón hasta las rodillas y un bivirí mojado por el sudor que hacía notar de una manera evidente su gran vientre.
Traduction temporaire :
Personne n'en croyait ses yeux ! Don Tálamo s'était levé ! Il était vêtu d'un pantalon qui s'arrêtait aux genoux et d'un marcel trempé de sueur qui faisait ressortir son ventre bedonnant.
Personne n'en croyait ses yeux ! Don Tálamo s'était levé ! Il était vêtu d'un pantalon qui s'arrêtait aux genoux et d'un marcel trempé de sueur qui faisait ressortir son ventre bedonnant.
13 commentaires:
Personne ne pouvait le croire ! Don Tálamo s'était levé ! Habillé d'un pantalon jusqu'aux genoux et d'un marcel trempé de sueur qui faisait ressortir de manière évidente son ventre bedonnant.
1) "Personne ne pouvait le croire" ou "Personne n'en croyait ses yeux" ?
2) "Habillé..." : il manque un verbe dans cette phrase.
"Il était habillé d'un...", "Il était vêtu d'un...", "Il portait..." ?
3) "Un pantalon jusqu'aux genoux" ou "Un pantalon qui s'arrêtait aux genoux" ?
4) Attention "ventre bedonnant" est un pléonasme. En effet, "bedonnant" signifie "qui a un gros ventre". Je propose de laisser "gros ventre" ici et de remplacer "un vieux gros et barbu" (phrase 21) par "un vieux bedonnant et barbu".
1) Oui pour « personne n'en croyait ses yeux ».
2) Pour la suite : je préfère « il était vêtu de… », mais ne l'a-t-on pas déjà avant ?
3) Je pense qu' « un pantalon qui s'arrêtait » est mieux… mais idem : répétition ?
4) « ressortir » suffit.
5) Ok pour remarque de Laëtitia sur le ventre.
1) Cette expression est bien.
2) Oui, c'était de la parataxe parce que je voulais éviter un énième "être". Nous avons 5 "porter", un "habiller" et aucun "vêtir".
3) "retroussé" ? Le texte ne le dit pas, mais du moment où il ne parle pas de bermuda, c'est ce que j'interprète.
4) ok
5) Selon le Grand Robert :
bedonnant, ante [bBdCnS, St] adj.
ÉTYM. 1868; p. prés. de bedonner.
v
1 Fam. Qui bedonne, a un gros ventre. è Pansu, ventripotent, ventru. |
- Un vieux monsieur bedonnant.
— Un ventre bedonnant, rebondi.
2 Par métaphore (rare). | « Un style bedonnant » (Goncourt), emphatique. Redondant.
Tu récapitules, stp ?
Personne n'en croyait ses yeux ! Don Tálamo s'était levé ! Il était vêtu d'un pantalon retroussé jusqu'aux genoux et d'un marcel trempé de sueur qui faisait ressortir son ventre bedonnant.
Juste une remarque à propos de "retroussé". Utiliser cet adjectif impliquerait d'évoquer pour le lecteur que le personnage porte un pantalon long qu'il aurait, pour une raison quelconque, retroussé jusqu'aux genoux (comme on peut le faire au bord de la mer pour éviter de se mouiller). Je crois qu'en fait il porte tout simplement un pantacourt (ça a toujours existé) sauf qu'à l'époque ou qu'aujourd'hui dans de nombreux pays, on n'utilise pas forcément notre terminologie "mode". Je serais d'avis de laisser la légère explicitation : "qui s'arrêtait aux genoux" d'autant que nous ne répétons pas avec ce qui précède.
Après, il est vrai qu'on se retrouve, du coup, avec deux relatives dans la phrase : "qui..." / "qui..." Mais les autres expressions du type "un pantalon coupé aux genoux" tombent aussi dans l'interprétation...
Pour "retroussé", j'admets volontiers que c'est une interprétation. J'essaie d'expliquer pourquoi : en Amérique Latine, les bermudas ou "pantacourts", n'existaient pas avant, et les hommes, pour supporter la chaleur, et uniquement dans l'intimité de leur maison, retroussaient leurs pantalons jusqu'aux genoux. Plus tard, vers les années 60/70 les shorts se sont mis à la mode. Mais mon père et certains de mes oncles, de même que beaucoup de personnes de leur âge, même en vacances, n'ont jamais voulu porter ce genre de "truc".
Personne n'en croyait ses yeux ! Don Tálamo s'était levé ! Il était vêtu d'un pantalon qui s'arrêtait aux genoux et d'un marcel trempé de sueur qui faisait ressortir son ventre bedonnant.
Je débarque après quelques jours d'absence…
Personne n'en croyait ses yeux ! Don Tálamo s'était levé ! Il était vêtu d'un pantalon qui s'arrêtait aux genoux et d'un marcel trempé de sueur qui faisait ressortir son ventre bedonnant.
Juste une question : est-ce que dans la description de la tenue des femmes nous n'avions pas déjà un vêtement qui « s'arrêtait… » ? Il se peut que je confonde avec un autre texte.
Non, nous avons : "Elles portaient des jupes très longues, qui descendaient presque jusqu'aux pieds..."
Personne n'en croyait ses yeux ! Don Tálamo s'était levé ! Il était vêtu d'un pantalon qui s'arrêtait aux genoux et d'un marcel trempé de sueur qui faisait ressortir son ventre bedonnant.
Dans ce cas : OK.
Laëtitia… ?
Validons donc ! Et merci à Elena pour toutes ses précisions vestimentaires. Le vécu, souvent, en traduction comme ailleurs, est un bien précieux...
Enregistrer un commentaire