dimanche 28 avril 2013

Projet Céline 4 – phrases 60-62

Debió ser el café,  o el desayuno abundante, al tercer o cuarto viaje cargado de cajas me flaqueron arteramente las piernas en la escalera. Sudando y trastabillando busqué apoyo en el marco de la puerta y desde allí me dirigí a Laura. Me siento mal, creo que alcancé a decirle sintiendo que una marea verde me subía desde el estómago.

Traduction temporaire :
Sans doute l'explication réside-t-elle dans le café ou le copieux petit-déjeuner que nous avions pris,  toujours est-il qu'au troisième ou quatrième voyage, alors que j’étais chargé de cartons, mes jambes se sont sournoisement mises à fléchir dans l’escalier. Transpirant et chancelant, j’ai cherché un appui contre l’encadrement de la porte et de là, me suis adressé à Laura : je me sens mal – crois-je avoir réussi à lui dire, sentant une marée verte refluer de mon estomac.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Sans doute à cause du café ou de l’abondant petit-déjeuner, au troisième ou quatrième voyage, chargé de cartons, mes jambes ont fléchi astucieusement dans l’escalier. Transpirant et chancelant, j’ai cherché un appui dans l’encadrement de la porte et de là, je me suis adressé à Laura. Je me sens mal, je crois avoir réussi à lui dire, sentant une marée verte remonter de mon estomac.

Tradabordo a dit…

Sans doute à cause du [ou « l'explication réside-t-elle » / « cela s'explique-t-il »… ? ] café ou de l’abondant petit-déjeuner, [« toujours est-il qu' »] au troisième ou quatrième voyage, [c'est le voyage qui est chargé de cartons ? ;-)] chargé de cartons, mes jambes ont fléchi astucieusement [?] dans l’escalier. Transpirant et chancelant, j’ai cherché un appui dans [« contre » ?] l’encadrement de la porte et de là, je [supprime] me suis adressé à Laura. [deux points ?] Je me sens mal, je crois [tiret ? + « crois-je » ?] avoir réussi à lui dire, sentant une marée verte remonter [« refluer » ?] de mon estomac.

Unknown a dit…

Sans doute l'explication réside-t-elle dans le café ou l’abondant petit-déjeuner, toujours est-il qu'au troisième ou quatrième voyage, alors que j’étais chargé de cartons, mes jambes se sont sournoisement mises à fléchir dans l’escalier. Transpirant et chancelant, j’ai cherché un appui contre l’encadrement de la porte et de là, me suis adressé à Laura : je me sens mal – crois-je avoir réussi à lui dire, sentant une marée verte refluer de mon estomac.

Tradabordo a dit…

Sans doute l'explication réside-t-elle dans le café ou l’abondant [« copieux »] petit-déjeuner [un verbe ou un complément n'est-il pas nécessaire ici], toujours est-il qu'au troisième ou quatrième voyage, alors que j’étais chargé de cartons, mes jambes se sont sournoisement mises à fléchir dans l’escalier. Transpirant et chancelant, j’ai cherché un appui contre l’encadrement de la porte et de là, me suis adressé à Laura : je me sens mal – crois-je avoir réussi à lui dire, sentant une marée verte refluer de mon estomac.

Unknown a dit…

Sans doute l'explication réside-t-elle dans le café ou le copieux petit-déjeuner que nous avions pris, toujours est-il qu'au troisième ou quatrième voyage, alors que j’étais chargé de cartons, mes jambes se sont sournoisement mises à fléchir dans l’escalier. Transpirant et chancelant, j’ai cherché un appui contre l’encadrement de la porte et de là, me suis adressé à Laura : je me sens mal – crois-je avoir réussi à lui dire, sentant une marée verte refluer de mon estomac.

Tradabordo a dit…

Sans doute l'explication réside-t-elle dans le café ou le copieux petit-déjeuner que nous avions pris, toujours est-il qu'au troisième ou quatrième voyage, alors que j’étais chargé de cartons, mes jambes se sont sournoisement mises à fléchir dans l’escalier. Transpirant et chancelant, j’ai cherché un appui contre l’encadrement de la porte et de là, me suis adressé à Laura : je me sens mal – crois-je avoir réussi à lui dire, sentant une marée verte refluer de mon estomac.

OK.