Yo creo que le viene de lo duro del caparazón y que además la salinidad del mar lo conserva, aunque analizandolo bien, la jaiba es un cangrejo pero de rio.
Traduction temporaire :
Moi, je crois que c'est grâce à la dureté de sa carapace et qu'en outre, la salinité de la mer le conserve ; quoique, si on y regarde de plus près, la jaiba aussi, est un crabe, mais d'eau douce.
Moi, je crois que c'est grâce à la dureté de sa carapace et qu'en outre, la salinité de la mer le conserve ; quoique, si on y regarde de plus près, la jaiba aussi, est un crabe, mais d'eau douce.
7 commentaires:
Yo creo que le viene de lo duro del caparazón y que además la salinidad del mar lo conserva, aunque analizandolo bien, la jaiba es un cangrejo pero de rio.
Moi, je crois que c'est grâce à la dureté de sa carapace et que, de plus, la salinité de la mer [permet de ?] le conserve[r] ; quoique, si on y regarde de plus près, il y a aussi des crabes d'eau douce ["jaiba" est un autre nom pour "cangrejo", se traduisant par "crabe" également, d'où mon choix de changement de structure ; ou bien, je garde jaiba, qui, je pense, pourrait être compréhensible pour un public averti].
Moi, je crois que c'est grâce à la dureté de sa carapace et que, de plus [ou « et qu'en outre, »], la salinité de la mer [permet de ?] le conserve[r] [tu devrais laisser comme en V.O. ; d'autant que ça donne l'impression que c'est un produit que tu conserves de la pourriture…] ; quoique, si on y regarde de plus près, il y a aussi des crabes d'eau douce ["jaiba" est un autre nom pour "cangrejo", se traduisant par "crabe" également, d'où mon choix de changement de structure ; ou bien, je garde jaiba, qui, je pense, pourrait être compréhensible pour un public averti / Laisse « jaiba » s'il n'y a pas de traduction… Vu le reste, on comprend bien de quoi il s'agit].
Moi, je crois que c'est grâce à la dureté de sa carapace et qu'en outre, la salinité de la mer ; quoique, si on y regarde de plus près, la jaiba est un crabe, mais d'eau douce.
Moi, je crois que c'est grâce à la dureté de sa carapace et qu'en outre, la salinité de la mer [bah et le verbe ;-) ??????] ; quoique, si on y regarde de plus près, la jaiba est [ajoute une cheville ; genre « également » ou quelque chose comme ça… Pour qu'on comprenne bien et le sens et le ton] un crabe, mais d'eau douce.
Moi, je crois que c'est grâce à la dureté de sa carapace et qu'en outre, la salinité de la mer le conserve [oups] ; quoique, si on y regarde de plus près, la jaiba est aussi [oui, j'y avais pensé, mais pas osé] un crabe, mais d'eau douce.
Moi, je crois que c'est grâce à la dureté de sa carapace et qu'en outre, la salinité de la mer le conserve ; quoique, si on y regarde de plus près, la jaiba est aussi un crabe, mais d'eau douce.
Je te propose un petit changement – tu me diras ce que tu préfères :
Moi, je crois que c'est grâce à la dureté de sa carapace et qu'en outre, la salinité de la mer le conserve ; quoique, si on y regarde de plus près, la jaiba aussi, est un crabe, mais d'eau douce.
oui, je préfère évidemment la version que vous proposez.
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