samedi 13 avril 2013

Projet Élodie – phrase 111

Salé contó que una vez lo había invitado a una reunión de amigos, todos ex alumnos del Salvador. Y Aira había caído ahí “con cara de marciano”.
— Se quedó un rato en la cocina,  y después se fue. Pero el error lo cometí yo,  no sé por qué lo invité. Aparte,   yo lo cortaba mucho. Si me venía a hablar de Blanchot, de Barthes,  bueno… A mí esas cosas nunca me interesaron.

Traduction temporaire :
Salé a raconté qu'une fois où il l'avait invité à une soirée entre amis (que des anciens élèves du Salvador), il avait débarqué là-bas « avec une tête de martien ».
— Il est resté un moment dans la cuisine et il est parti. Mais c'est de ma faute. Je ne sais pas pourquoi je lui avais dit de venir. En plus, je ne l'écoutais pas beaucoup. Vu qu'il me parlait de Blanchot, de Barthes, bon… Ces choses-là ne m'ont jamais intéressé.

11 commentaires:

Tlaloc a dit…

Salé raconta qu’un jour, elle l’avait invité à une soirée avec des amis, tous ex-élèves du Salvador. Et Aira y avait débarqué « avec une tronche de martien ».
-Il est resté un moment dans la cuisine, et puis il est parti. Mais l’erreur, c’est moi qui l’ai faite, je sais pas pourquoi je l’ai invité. En plus, je le freinais beaucoup. Quand il venait me parler de Blanchot, de Barthes, ben… Ces choses-là, moi, ça ne m’a jamais intéressée.

Tlaloc a dit…

Salé raconta qu’un jour, elle l’avait invité à une soirée avec des amis, tous ex-élèves du Salvador. Et Aira y avait débarqué « avec une tronche de martien ».
-Il est resté un moment dans la cuisine, et puis il est parti. Mais l’erreur, c’est moi qui l’ai faite, je sais pas pourquoi je l’ai invité. En plus, je le freinais beaucoup. Quand il venait me parler de Blanchot, de Barthes, ben… Ces choses-là, moi, ça ne m’a jamais intéressée.

Elodie a dit…

Salé a raconté qu'une fois, je l'avais invité à une réunion entre amis, tous des anciens élèves du Salvador. Et Aira était tombé là, « avec une tête de martien ».
Il est resté un moment dans la cuisine et ensuite il est parti. Mais c'est moi qui ai commis l'erreur, je ne sais pas pourquoi je l'ai invité. En plus, je l'interrompais beaucoup. S'il venait à me parlait de Blanchot, de Barthes, bon... Ces choses ne m'ont jamais intéressé.

Tradabordo a dit…

Tlaloc,

Comme je vous l'ai dit dans un précédent commentaire, il ne tient qu'à vous de prendre contact avec moi par mail pour voir s'il est possible de vous confier votre propre projet.
Pour l'heure, nous allons continuer, Élodie et moi ;-)

Salé a raconté qu'une fois, je l'avais invité à une réunion entre amis [je me demande si on le dirait spontanément comme ça], tous [ou « que » ? Regarde et dis-moi] des anciens élèves du Salvador. Et Aira était tombé là [« tombé » ? Pas sûre que ce soit le plus adapté ici], « avec une tête de martien ».
Il est resté un moment dans la cuisine et ensuite [nécessaire ?] il est parti. Mais c'est moi qui ai commis l'erreur [vois si tu as plus naturel], je ne sais pas pourquoi je l'ai invité [ou PQP ?]. En plus, je l'interrompais beaucoup [pas sûre du sens]. S'il venait à me parlait [relis-toi] de Blanchot, de Barthes, bon... Ces choses ne m'ont jamais intéressé.

Elodie a dit…

Salé a raconté qu'une fois, il l'avait invité à une soirée entre amis, que des anciens élèves du Salvador. Et Aira avait débarqué là, « avec une tête de martien ».
— Il est resté un moment dans la cuisine et il est parti. Mais c'est de ma faute, je ne sais pas pourquoi je l'avais invité. En plus, je ne l'écoutais pas beaucoup. S'il venait à me parler de Blanchot, de Barthes, bon... Ces choses ne m'ont jamais intéressé.

Tradabordo a dit…

Salé a raconté qu'une fois, il l'avait invité à une soirée entre amis, que des anciens élèves du Salvador [on met ça entre parenthèses ?]. Et [« qu' » ?] Aira avait débarqué là, [sans cette virgule ?] « avec une tête de martien ».
— Il est resté un moment dans la cuisine et il est parti. Mais c'est de ma faute, je ne sais pas pourquoi je l'avais invité. En plus, je ne l'écoutais pas beaucoup. S'il venait à me parler [ou « me parlait » tout court ?] de Blanchot, de Barthes, bon... Ces choses [cheville : « -là » ?] ne m'ont jamais intéressé.

Elodie a dit…

Salé a raconté qu'une fois, il l'avait invité à une soirée entre amis (que des anciens élèves du Salvador). Et qu' Aira avait débarqué là « avec une tête de martien ».
— Il est resté un moment dans la cuisine et il est parti. Mais c'est de ma faute, je ne sais pas pourquoi je l'avais invité. En plus, je ne l'écoutais pas beaucoup. S'il me parlait de Blanchot, de Barthes, bon... Ces choses-là ne m'ont jamais intéressé.

On ne pourrait pas enlever le premier point après les parenthèses?

Tradabordo a dit…

Je te propose :

Salé a raconté qu'une fois où il l'avait invité à une soirée entre amis (que des anciens élèves du Salvador), il avait débarqué là-bas « avec une tête de martien ».
— Il est resté un moment dans la cuisine et il est parti. Mais c'est de ma faute. Je ne sais pas pourquoi je lui avais dit de venir. En plus, je ne l'écoutais pas beaucoup. S'il [dans le sens de « Vu que » / « Comme » ?] me parlait de Blanchot, de Barthes, bon... Ces choses-là ne m'ont jamais intéressé.

Elodie a dit…

Salé a raconté qu'une fois où il l'avait invité à une soirée entre amis (que des anciens élèves du Salvador), il avait débarqué là-bas « avec une tête de martien ».
— Il est resté un moment dans la cuisine et il est parti. Mais c'est de ma faute. Je ne sais pas pourquoi je lui avais dit de venir. En plus, je ne l'écoutais pas beaucoup. Vu qu'il me parlait de Blanchot, de Barthes, bon... Ces choses-là ne m'ont jamais intéressé.

Tradabordo a dit…

Salé a raconté qu'une fois où il l'avait invité à une soirée entre amis (que des anciens élèves du Salvador), il avait débarqué là-bas « avec une tête de martien ».
— Il est resté un moment dans la cuisine et il est parti. Mais c'est de ma faute. Je ne sais pas pourquoi je lui avais dit de venir. En plus, je ne l'écoutais pas beaucoup. Vu qu'il me parlait de Blanchot, de Barthes, bon... Ces choses-là ne m'ont jamais intéressé.

OK.

Tradabordo a dit…

Salé a raconté qu'une fois où il l'avait invité à une soirée entre amis (que des anciens élèves du Salvador), il avait débarqué là-bas « avec une tête de martien ».
— Il est resté un moment dans la cuisine et il est parti. Mais c'est de ma faute. Je ne sais pas pourquoi je lui avais dit de venir. En plus, je ne l'écoutais pas beaucoup. Vu qu'il me parlait de Blanchot, de Barthes, bon... Ces choses-là ne m'ont jamais intéressé.