vendredi 19 avril 2013

Projet Émilie – phrase 65

– Cuando el torturador los escuchaba conversar de libros, autores, de grandes novelistas, de fabulosos autores de obras literarias del pasado o del presente, se ponía furioso, pero se ponía nervioso y triste y se creía inexplicablemente desnudo.

Traduction temporaire :
Quand le bourreau les entendait parler de livres, d’écrivains, de grands romanciers, de fabuleux auteurs d’œuvres littéraires du passé et du présent, il se mettait en colère, mais cela l’énervait et le rendait triste à la fois,  et il se sentait inexplicablement nu.

4 commentaires:

Emilie a dit…

Quand le bourreau les entendait parler de livres, d’auteurs, de grands romanciers, de fabuleux auteurs d’œuvres littéraires du passé et du présent, il se mettait en colère, mais cela l’énervait et le rendait triste à la fois, et il se sentait inexplicablement nu.

Tradabordo a dit…

Quand le bourreau les entendait parler de livres, d’auteurs [avec « écrivains », pour éviter la répétition ?], de grands romanciers, de fabuleux auteurs d’œuvres littéraires du passé et du présent, il se mettait en colère, mais cela l’énervait et le rendait triste à la fois, et il se sentait inexplicablement nu.

Emilie a dit…

Quand le bourreau les entendait parler de livres, d’écrivains, de grands romanciers, de fabuleux auteurs d’œuvres littéraires du passé et du présent, il se mettait en colère, mais cela l’énervait et le rendait triste à la fois, et il se sentait inexplicablement nu.

Tradabordo a dit…

Quand le bourreau les entendait parler de livres, d’écrivains, de grands romanciers, de fabuleux auteurs d’œuvres littéraires du passé et du présent, il se mettait en colère, mais cela l’énervait et le rendait triste à la fois, et il se sentait inexplicablement nu.

OK.