Y envío muchos e-mails: Europa, Asia, América. Hasta que responde aquel españolito (olvidado en mi agenda): que por qué no contestaba, que no puede olvidarme y que, por supuesto, él se ocupará de mandarme la Carta de Invitación. Comienzan las diarreas.
Traduction temporaire :
J’envoie alors de nombreux e-mails : en Europe, en Asie, en Amérique. Jusqu’à ce que je reçoive une réponse du petit Espagnol (oublié dans mon agenda) : pourquoi je répondais pas, il arrive pas à m’oublier et, bien entendu, il se chargera de m’envoyer la fameuse Lettre d’Invitation. Les diarrhées commencent.
J’envoie alors de nombreux e-mails : en Europe, en Asie, en Amérique. Jusqu’à ce que je reçoive une réponse du petit Espagnol (oublié dans mon agenda) : pourquoi je répondais pas, il arrive pas à m’oublier et, bien entendu, il se chargera de m’envoyer la fameuse Lettre d’Invitation. Les diarrhées commencent.
6 commentaires:
J’envoie alors de nombreux e-mails : en Europe, en Asie, en Amérique.
Jusqu’à ce que me réponde ce petit Espagnol (oublié dans mon agenda) : et pourquoi je ne répondais pas, et qu’il n’arrive pas à m’oublier et que, bien entendu, il se chargera de m’envoyer la Lettre d’Invitation.
Les diarrhées commencent à le prendre.
J’envoie alors de nombreux e-mails : en Europe, en Asie, en Amérique.
Jusqu’à ce que me réponde [« jusqu'à ce que je reçoive une réponse de »] ce petit Espagnol (oublié dans mon agenda) : et [on supprime ?] pourquoi je ne [idem ?] répondais pas, et [idem] qu’il n’ [idem] arrive pas à m’oublier et que, bien entendu, il se chargera de m’envoyer la [cheville : « fameuse » ou inutile ?] Lettre d’Invitation.
Les diarrhées commencent à le prendre [va au plus simple].
Un truc que je ne comprends pas : tu es à « je », puis à « il » ; pas la même personne ? J'ai oublié : jusque-là, c'était un récit à je ou il ?
J’envoie alors de nombreux e-mails : en Europe, en Asie, en Amérique.
Jusqu’à ce que je reçoive une réponse de ce petit Espagnol (oublié dans mon agenda) : pourquoi je répondais pas, qu’il arrive pas à m’oublier et que, bien entendu, il se chargera de m’envoyer la fameuse Lettre d’Invitation.
Les diarrhées commencent.
Tu as raison, c'est moi qui me suis trompée : il n'y a aucune raison de passer du "je" au "il". Ceci dit, on règle le problème en faisant plus simple.
J’envoie alors de nombreux e-mails : en Europe, en Asie, en Amérique.
Jusqu’à ce que je reçoive une réponse de ce [ou « du » ?] petit Espagnol (oublié dans mon agenda) : pourquoi je répondais pas, qu’ [nécessaire ?] il arrive pas à m’oublier et que [idem ?], bien entendu, il se chargera de m’envoyer la fameuse Lettre d’Invitation.
Les diarrhées commencent.
J’envoie alors de nombreux e-mails : en Europe, en Asie, en Amérique.
Jusqu’à ce que je reçoive une réponse du petit Espagnol (oublié dans mon agenda) : pourquoi je répondais pas, il arrive pas à m’oublier et, bien entendu, il se chargera de m’envoyer la fameuse Lettre d’Invitation.
Les diarrhées commencent.
J’envoie alors de nombreux e-mails : en Europe, en Asie, en Amérique.
Jusqu’à ce que je reçoive une réponse du petit Espagnol (oublié dans mon agenda) : pourquoi je répondais pas, il arrive pas à m’oublier et, bien entendu, il se chargera de m’envoyer la fameuse Lettre d’Invitation.
Les diarrhées commencent.
OK.
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