jeudi 9 mai 2013

Projet Kévin – phrase 54

El templo de Efeso fue quemado por un bárbaro, esto es por un fascista, el romano Alcibíades fue denunciado por un fascista que estaba cansado de oír hablar de las virtudes humanitarias –cristianas antes de Cristo-, del tribuno famoso y vanidoso, el mismo fascista cansado de las virtudes intelectuales de Sócrates,  su precursora víctima, la biblioteca de Alejandría fue quemada,  no por un general Mendoza cualquiera, para calentar el frío que sentían sus soldados aquella mañana de saqueo, sino por un fascista inteligente, por un militar gorila que se daba cuenta de que un libro, dos libros, una colección de textos, una casa edificada por los libros y para los libros es más peligrosa que un polvorín, porque estalla a distancia, a distancia de siglos.

Traduction temporaire :
Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste ; l'Alcibiade romain fut dénoncé par un fasciste qui était las d'entendre parler des vertus humanitaires – chrétiennes avant Jésus Christ –, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates,  son souffre-douleur précurseur ; la bibliothèque d'Alexandrie fut brûlée, non par un général Mendoza quelconque,  pour réchauffer ses soldats qui ressentaient le froid au cours de ce matin de pillage,  mais par un fasciste intelligent, par un militaire facho qui se rendait compte qu'un livre,  deux livres, une collection de livre, une maison édifiée par les livres et pour les livres est plus dangereuse qu'une poudrière, parce qu'elle éclate à distance,  au long des siècles.

12 commentaires:

Unknown a dit…

Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste, l'Alcibiade romain [Le vrai Alcibiade étant grec] fut dénoncé par un fasciste qui était las d'entendre parler des vertus humanitaires - chrétiennes avant Jésus Christ -, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates, sa victime précurseur ; la bibliothèque d'Alexandrie fut brûlée, non par un général Mendoza quelconque, pour réchauffer le froid que ses soldats ressentaient au cours de ce matin de pillage, mais par un fasciste intelligent, par un militaire facho qui se rendait compte qu'un livre, deux livres, une collection de livre, une maison édifiée par les livres et pour les livres est plus dangereuse qu'une poudrière, parce qu'elle éclate à distance, à distance de siècles.

Tradabordo a dit…

Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste, l'Alcibiade romain fut dénoncé par un fasciste qui était las d'entendre parler des vertus humanitaires - chrétiennes avant Jésus Christ -, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates, sa victime précurseur [ça fonctionne comme adjectif au féminin ?] ;

Unknown a dit…

Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste, l'Alcibiade romain fut dénoncé par un fasciste qui était las d'entendre parler des vertus humanitaires - chrétiennes avant Jésus Christ -, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates, sa victime précurseur [Non, il est invariable en genre] ; la bibliothèque d'Alexandrie fut brûlée, non par un général Mendoza quelconque, pour réchauffer le froid que ses soldats ressentaient au cours de ce matin de pillage, mais par un fasciste intelligent, par un militaire facho qui se rendait compte qu'un livre, deux livres, une collection de livre, une maison édifiée par les livres et pour les livres est plus dangereuse qu'une poudrière, parce qu'elle éclate à distance, à distance de siècles.

Tradabordo a dit…

Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste, l'Alcibiade romain fut dénoncé par un fasciste qui était las d'entendre parler des vertus humanitaires - chrétiennes avant Jésus Christ -, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates, sa victime précurseur ; la bibliothèque d'Alexandrie fut brûlée, non par un général Mendoza quelconque, pour réchauffer le froid [pas très naturel en français] que ses soldats ressentaient au cours de ce matin de pillage, mais par un fasciste intelligent, par un militaire facho [vérifié ?] qui se rendait compte qu'un livre, deux livres, une collection de livre, une maison édifiée par les livres et pour les livres est plus dangereuse qu'une poudrière, parce qu'elle éclate à distance, à distance de siècles [pas très naturel].

Unknown a dit…

Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste, l'Alcibiade romain fut dénoncé par un fasciste qui était las d'entendre parler des vertus humanitaires - chrétiennes avant Jésus Christ -, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates, sa victime précurseur ; la bibliothèque d'Alexandrie fut brûlée, non par un général Mendoza quelconque, pour réchauffer ses soldats qui ressentaient le froid au cours de ce matin de pillage, mais par un fasciste intelligent, par un militaire facho [Oui, vérifié] qui se rendait compte qu'un livre, deux livres, une collection de livre, une maison édifiée par les livres et pour les livres est plus dangereuse qu'une poudrière, parce qu'elle éclate à distance, au long des siècles.

Tradabordo a dit…

Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste, [« ; » ?] l'Alcibiade romain fut dénoncé par un fasciste qui était [on supprime ?] las d'entendre parler des vertus humanitaires - chrétiennes avant Jésus Christ -, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates, sa victime précurseur ; la bibliothèque d'Alexandrie fut brûlée, non par un général Mendoza quelconque, pour réchauffer ses soldats qui ressentaient le froid au cours de ce matin de pillage, mais par un fasciste intelligent, par un militaire facho qui se rendait compte qu'un livre, deux livres, une collection de livre, une maison édifiée par les livres et pour les livres est plus dangereuse qu'une poudrière, parce qu'elle éclate à distance, au long des siècles.

Unknown a dit…

Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste ; l'Alcibiade romain fut dénoncé par un fasciste qui était las d'entendre parler des vertus humanitaires - chrétiennes avant Jésus Christ -, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates, sa victime précurseur ; la bibliothèque d'Alexandrie fut brûlée, non par un général Mendoza quelconque, pour réchauffer ses soldats qui ressentaient le froid au cours de ce matin de pillage, mais par un fasciste intelligent, par un militaire facho qui se rendait compte qu'un livre, deux livres, une collection de livre, une maison édifiée par les livres et pour les livres est plus dangereuse qu'une poudrière, parce qu'elle éclate à distance, au long des siècles.

Tradabordo a dit…

Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste ; l'Alcibiade romain fut dénoncé par un fasciste qui était las d'entendre parler des vertus humanitaires - chrétiennes avant Jésus Christ -, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates, sa victime précurseur [j'ai beau relire, je ne trouve pas cela très clair…] ; la bibliothèque d'Alexandrie fut brûlée, non par un général Mendoza quelconque, pour réchauffer ses soldats qui ressentaient le froid au cours de ce matin de pillage, mais par un fasciste intelligent, par un militaire facho qui se rendait compte qu'un livre, deux livres, une collection de livre, une maison édifiée par les livres et pour les livres est plus dangereuse qu'une poudrière, parce qu'elle éclate à distance, au long des siècles.

Unknown a dit…

Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste ; l'Alcibiade romain fut dénoncé par un fasciste qui était las d'entendre parler des vertus humanitaires - chrétiennes avant Jésus Christ -, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates, son souffre-douleur précurseur ; la bibliothèque d'Alexandrie fut brûlée, non par un général Mendoza quelconque, pour réchauffer ses soldats qui ressentaient le froid au cours de ce matin de pillage, mais par un fasciste intelligent, par un militaire facho qui se rendait compte qu'un livre, deux livres, une collection de livre, une maison édifiée par les livres et pour les livres est plus dangereuse qu'une poudrière, parce qu'elle éclate à distance, au long des siècles.

Tradabordo a dit…

Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste ; l'Alcibiade romain fut dénoncé par un fasciste qui était las d'entendre parler des vertus humanitaires - chrétiennes avant Jésus Christ -, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates, son souffre-douleur précurseur ; la bibliothèque d'Alexandrie fut brûlée, non par un général Mendoza quelconque, pour réchauffer ses soldats qui ressentaient le froid au cours de ce matin de pillage, mais par un fasciste intelligent, par un militaire facho qui se rendait compte qu'un livre, deux livres, une collection de livre, une maison édifiée par les livres et pour les livres est plus dangereuse qu'une poudrière, parce qu'elle éclate à distance, au long [« fil » ?] des siècles.

Unknown a dit…

Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste ; l'Alcibiade romain fut dénoncé par un fasciste qui était las d'entendre parler des vertus humanitaires - chrétiennes avant Jésus Christ -, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates, son souffre-douleur précurseur ; la bibliothèque d'Alexandrie fut brûlée, non par un général Mendoza quelconque, pour réchauffer ses soldats qui ressentaient le froid au cours de ce matin de pillage, mais par un fasciste intelligent, par un militaire facho qui se rendait compte qu'un livre, deux livres, une collection de livre, une maison édifiée par les livres et pour les livres est plus dangereuse qu'une poudrière, parce qu'elle éclate à distance, au long [L'idée de distance apparaît mieux avec "long"] des siècles.

Tradabordo a dit…

Le temple d'Éphèse fut brûlé par un barbare, soit un fasciste ; l'Alcibiade romain fut dénoncé par un fasciste qui était las d'entendre parler des vertus humanitaires - chrétiennes avant Jésus Christ -, de ce tribun célèbre et vaniteux, ce même fasciste las des vertus intellectuelles de Socrates, son souffre-douleur précurseur ; la bibliothèque d'Alexandrie fut brûlée, non par un général Mendoza quelconque, pour réchauffer ses soldats qui ressentaient le froid au cours de ce matin de pillage, mais par un fasciste intelligent, par un militaire facho qui se rendait compte qu'un livre, deux livres, une collection de livre, une maison édifiée par les livres et pour les livres est plus dangereuse qu'une poudrière, parce qu'elle éclate à distance, au long des siècles.

OK.