A cada paso sentíamos la presencia de los guerrilleros, imaginábamos que otra vez nos diezmarían, que caeríamos sin ningún remedio, que éramos una especie de fantasmas que habían perdido sus cuerpos durante la balacera y que andábamos, muertos ya, con un balazo metido entre los ojos.
Traduction temporaire :
À chaque pas, nous sentions la présence des guérilleros, nous imaginions qu’une fois encore, ils nous causeraient de terribles pertes, qu’immanquablement, nous nous écroulerions, que nous n'étions plus que des espèces de fantômes ayant perdu leurs corps au cours de la fusillade et que nous marchions, déjà morts, une balle entre les deux yeux.
À chaque pas, nous sentions la présence des guérilleros, nous imaginions qu’une fois encore, ils nous causeraient de terribles pertes, qu’immanquablement, nous nous écroulerions, que nous n'étions plus que des espèces de fantômes ayant perdu leurs corps au cours de la fusillade et que nous marchions, déjà morts, une balle entre les deux yeux.
9 commentaires:
À chaque pas, nous sentions la présence des guérilléros, nous imaginions qu’une fois encore, ils nous décimeraient, qu’inévitablement, nous tomberions, que nous étions des espèces de fantômes ayant perdu leurs corps au cours de la fusillade et que nous marchions, bel et bien morts, une balle entre les deux yeux.
À chaque pas, nous sentions la présence des guérilléros [orthographe ? Cf les occurrences précédentes], nous imaginions qu’une fois encore, ils nous décimeraient [naturel ?], qu’inévitablement [ou « immanquablement » ?], nous tomberions [bof], que nous étions des espèces de fantômes ayant perdu leurs corps au cours de la fusillade et que nous marchions, bel et bien morts [petit CS], une balle entre les deux yeux.
À chaque pas, nous sentions la présence des guérilleros, nous imaginions qu’une fois encore, ils nous tueraient, qu’immanquablement, nous nous écroulerions, que nous étions des espèces de fantômes ayant perdu leurs corps au cours de la fusillade et que nous marchions, déjà morts, une balle entre les deux yeux.
À chaque pas, nous sentions la présence des guérilleros, nous imaginions qu'ils nous décimeraient à nouveau, que nous tomberions sans que rien ne puisse y faire. Nous imaginions [ je me demande si ici cette répétition n'est pas nécessaire, vu la longueur de la phrase. ] que nous étions des fantômes qui avaient perdu leurs corps pendant la fusillade, et que nous marchions, morts déjà, avec une balle entre les yeux.
Sonita, je reprends à partir de la version de Céline… car nous avons déjà régler certains points :
À chaque pas, nous sentions la présence des guérilleros, nous imaginions qu’une fois encore, ils nous tueraient [un truc genre « causer de terribles pertes » ?], qu’immanquablement, nous nous écroulerions, que nous étions [avec la restriction ?] des espèces de fantômes ayant perdu leurs corps au cours de la fusillade et que nous marchions, déjà morts, une balle entre les deux yeux.
À chaque pas, nous sentions la présence des guérilleros, nous imaginions qu’une fois encore, ils nous causeraient de terribles pertes, qu’immanquablement, nous nous écroulerions, que nous n'étions que des espèces de fantômes ayant perdu leurs corps au cours de la fusillade et que nous marchions, déjà morts, une balle entre les deux yeux.
À chaque pas, nous sentions la présence des guérilleros, nous imaginions qu’une fois encore, ils nous causeraient de terribles pertes, qu’immanquablement, nous nous écroulerions, que nous n'étions plus que des espèces de fantômes ayant perdu leurs corps au cours de la fusillade et que nous marchions, déjà morts, une balle entre les deux yeux.
J'ai fait un petit ajout… et OK.
Céline ?
À chaque pas, nous sentions la présence des guérilleros, nous imaginions qu’une fois encore, ils nous causeraient de terribles pertes, qu’immanquablement, nous nous écroulerions, que nous n'étions plus que des espèces de fantômes ayant perdu leurs corps au cours de la fusillade et que nous marchions, déjà morts, une balle entre les deux yeux.
OK.
À chaque pas, nous sentions la présence des guérilleros, nous imaginions qu’une fois encore, ils nous causeraient de terribles pertes, qu’immanquablement, nous nous écroulerions, que nous n'étions plus que des espèces de fantômes ayant perdu leurs corps au cours de la fusillade et que nous marchions, déjà morts, une balle entre les deux yeux.
OK.
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