samedi 7 septembre 2013

Projet Céline / Sonita – phrases 31-32

¿Cómo saber en esos momentos dónde estaba la realidad, y dónde empezaba la pesadilla de aquella caminata absurda hacia ninguna parte? ¿Cómo saber si los pueblos que quemábamos, si los viejos que dejábamos tirados por el camino eran reales; si el temblor de nuestras rodillas se justificaba con el frío de la noche, si nuestro sobresalto ante el ruido de un pájaro nocturno o ante un fantasma tenía sentido?

Traduction temporaire :
Comment savoir, à ce moment-là, où était la réalité et où commençait le cauchemar de cette marche absurde vers nulle part ? Comment savoir si les villages que nous brûlions, si les vieux que nous laissions par terre derrière nous, étaient réels ; si le tremblement de nos genoux se justifiait par le froid de la nuit, si notre sursaut en écoutant le bruit d'un oiseau nocturne ou un fantôme avait du sens ?

7 commentaires:

Sonita a dit…

Comment savoir, à ce moment-là, où était la réalité, et où commençait le cauchemar de cette marche absurde vers nulle part ? Comment savoir si les villages que nous brûlions, si les vieux que nous laissions tombés sur notre pas, étaient réels ; si le tremblement de nos genoux se justififiait avec le froid de la nuit, si notre sursaut en écoutant le bruit d'un oiseau nocturne ou un fantôme, avait du sens ?

Tradabordo a dit…

Comment savoir, à ce moment-là, où était la réalité, et où commençait le cauchemar de cette marche absurde vers nulle part ? Comment savoir si les villages que nous brûlions, si les vieux que nous laissions tombés sur notre pas [non-sens à partir de « tombés… »], étaient réels ; si le tremblement de nos genoux se justififiait [??????] avec [mal dit] le froid de la nuit, si notre sursaut en écoutant le bruit d'un oiseau nocturne ou un fantôme, avait du sens ?

Sonita a dit…

Comment savoir, à ce moment-là, où était la réalité, et où commençait le cauchemar de cette marche absurde vers nulle part ? Comment savoir si les villages que nous brûlions, si les vieux que nous laissions au sol derrière nous, étaient réels ; si le tremblement de nos genoux se justifiait par le froid de la nuit, si notre sursaut en écoutant le bruit d'un oiseau nocturne ou un fantôme, avait du sens ?

Tradabordo a dit…

Comment savoir, à ce moment-là, où était la réalité et où commençait le cauchemar de cette marche absurde vers nulle part ? Comment savoir si les villages que nous brûlions, si les vieux que nous laissions au sol [mal dit] derrière nous, étaient réels ; si le tremblement de nos genoux se justifiait par le froid de la nuit, si notre sursaut en écoutant le bruit d'un oiseau nocturne ou un fantôme avait du sens ?

Sonita a dit…

Comment savoir, à ce moment-là, où était la réalité et où commençait le cauchemar de cette marche absurde vers nulle part ? Comment savoir si les villages que nous brûlions, si les vieux que nous laissions par terre derrière nous, étaient réels ; si le tremblement de nos genoux se justifiait par le froid de la nuit, si notre sursaut en écoutant le bruit d'un oiseau nocturne ou un fantôme avait du sens ?

Tradabordo a dit…

Comment savoir, à ce moment-là, où était la réalité et où commençait le cauchemar de cette marche absurde vers nulle part ? Comment savoir si les villages que nous brûlions, si les vieux que nous laissions par terre derrière nous, étaient réels ; si le tremblement de nos genoux se justifiait par le froid de la nuit, si notre sursaut en écoutant le bruit d'un oiseau nocturne ou un fantôme avait du sens ?

OK.

Céline ?

Unknown a dit…

Comment savoir, à ce moment-là, où était la réalité et où commençait le cauchemar de cette marche absurde vers nulle part ? Comment savoir si les villages que nous brûlions, si les vieux que nous laissions par terre derrière nous, étaient réels ; si le tremblement de nos genoux se justifiait par le froid de la nuit, si notre sursaut en écoutant le bruit d'un oiseau nocturne ou un fantôme avait du sens ?

OK.