Seguís caminando lentamente, con uniformes y miradas penetrantes que pasan a tu lado y que decidís omitir. Hasta que ves su sonrisa esperándote (eso te gusta pensar: que te espera. Sabe que vas a venir y cuenta los minutos para verte llegar). Recién entonces entendés por qué venís al infierno dos veces por semana.
Traduction temporaire :
Tu continues à marcher lentement, des uniformes et des regards défilant à tes côtés ; tu décides de les ignorer. Jusqu'à ce que tu aperçoives son sourire qui t'attend (tu aimes te dire ça : qu'on t'attend. Qu'on sait que tu vas venir et qu'on compte les minutes avant que tu arrives). Alors tu comprends pourquoi tu te rends en enfer deux fois par semaine.
Tu continues à marcher lentement, des uniformes et des regards défilant à tes côtés ; tu décides de les ignorer. Jusqu'à ce que tu aperçoives son sourire qui t'attend (tu aimes te dire ça : qu'on t'attend. Qu'on sait que tu vas venir et qu'on compte les minutes avant que tu arrives). Alors tu comprends pourquoi tu te rends en enfer deux fois par semaine.
4 commentaires:
Tu continues de marcher lentement, parmi les uniformes et les regards qui défilent à tes côtés et que tu décides d'ignorer. Jusqu'à ce que tu vois son sourire qui t'attend (tu aimes te dire ça : qu'on t'attend. Qu'on sait que tu vas venir et qu'on compte les minutes avant que tu arrives). C'est alors que tu comprends pourquoi tu te rends à l'enfer deux fois par semaine.
"recién entonces", restriction pas très bien rendue...
Tu continues à marcher lentement, des uniformes et des regards défilant à tes côtés ; tu décides de les ignorer. Jusqu'à ce que tu aperçoives son sourire qui t'attend (tu aimes te dire ça : qu'on [« qu'elle » / « qu'il » ?] t'attend. Qu'on [non] sait que tu vas venir et qu'on [non] compte les minutes avant que tu arrives). C'est [supprime] alors que tu comprends pourquoi tu te rends à [non] l'enfer deux fois par semaine.
Tu continues à marcher lentement, des uniformes et des regards défilant à tes côtés ; tu décides de les ignorer. Jusqu'à ce que tu aperçoives son sourire qui t'attend (tu aimes te dire ça : qu'on [« qu'elle » / « qu'il » ?] t'attend. Qu'on [non] sait que tu vas venir et qu'on [non] compte les minutes avant que tu arrives). Alors tu comprends pourquoi tu te rends en enfer deux fois par semaine.
Je préfère laisser le "on", sinon, ça m'oblige à trancher sur quelque chose que l'auteur n'a pas voulu décider...
Tu continues à marcher lentement, des uniformes et des regards défilant à tes côtés ; tu décides de les ignorer. Jusqu'à ce que tu aperçoives son sourire qui t'attend (tu aimes te dire ça : qu'on t'attend. Qu'on sait que tu vas venir et qu'on compte les minutes avant que tu arrives). Alors tu comprends pourquoi tu te rends en enfer deux fois par semaine.
OK…………
Je te mets le troisième texte
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