dimanche 1 septembre 2013

Projet Elena 8 – phrases 9-14

Como si cada puerta que se cierra fuera una posibilidad menos de escapar. Acaso la sensación será similar a la que el Dante le dio a sus círculos del infierno. Acá no son círculos, son pasillos interminables, cuyas puertas se cierran después de que las atravesás. No hay vuelta atrás. No hay lugar para los débiles aquí. Quienes no tienen la fortaleza de seguir, pierden la chance de salir.

Traduction temporaire :
Comme si chaque porte se fermant était une possibilité en moins de s'échapper. Peut-être une sensation similaire à celle que Dante attribua à ses fameux cercles de l'enfer. Là, il ne s'agit pas de cercles, mais de couloirs interminables, dont les portes se ferment une fois qu'on les a franchies. Il n'y a pas de marche arrière. Ici, il n'y a pas de place pour les faibles. Ceux qui n'ont pas la force de continuer perdent leur chance de sortir.

8 commentaires:

Elena a dit…

Comme si chaque porte qui se ferme était une possibilité en moins d'y échapper. C'est peut-être une sensation similaire à celle que Dante attribua aux cercles de l'enfer. Là, il ne s'agit pas de cercles, mais de couloirs interminables, dont les portes se ferment une fois traversées. Pas de marche arrière. Ici, il n'y a pas de place pour les faibles. Ceux qui n'ont pas la force de continuer perdent leur chance de sortir.

Tradabordo a dit…

Comme si chaque porte qui se ferme [« se fermant »] était une possibilité en moins d'y [à mon avis, CS avec le « y »] échapper. C'est peut-être une [simplifie tout ça…] sensation similaire à celle que Dante attribua aux [« sus » / je t'ai dit : il faut vraiment que tu fasses attention à cette pente du changement… – récente chez toi] cercles de l'enfer. Là, il ne s'agit pas de cercles, mais de couloirs interminables, dont les portes se ferment une fois [cheville : « qu'on les a »] traversées [on « traverse » une porte ??????]. Pas de marche arrière. Ici, il n'y a [si tu le mets ici, il faut le mettre dans la précédente, puisque la construction est symétrique] pas de place pour les faibles. Ceux qui n'ont pas la force de continuer perdent leur chance de sortir.

Elena a dit…

Comme si chaque porte se fermant était une possibilité en moins de s'en échapper. Peut-être une sensation similaire à celle que Dante attribua à ses cercles de l'enfer. Là, il ne s'agit pas de cercles, mais de couloirs interminables, dont les portes se ferment une fois qu'on les a franchies. Il n'y a pas de marche arrière. Ici, il n'y a pas de place pour les faibles. Ceux qui n'ont pas la force de continuer perdent leur chance de sortir.

Tradabordo a dit…

Comme si chaque porte se fermant était une possibilité en moins de s'en [pourquoi « s'en » ?] échapper. Peut-être une sensation similaire à celle que Dante attribua à ses [cheville : « fameux »] cercles de l'enfer. Là, il ne s'agit pas de cercles, mais de couloirs interminables, dont les portes se ferment une fois qu'on les a franchies. Il n'y a pas de marche arrière. Ici, il n'y a pas de place pour les faibles. Ceux qui n'ont pas la force de continuer perdent leur chance de sortir.

Elena a dit…

Comme si chaque porte se fermant était une possibilité en moins d'échapper. Peut-être une sensation similaire à celle que Dante attribua à ses fameux cercles de l'enfer. Là, il ne s'agit pas de cercles, mais de couloirs interminables, dont les portes se ferment une fois qu'on les a franchies. Il n'y a pas de marche arrière. Ici, il n'y a pas de place pour les faibles. Ceux qui n'ont pas la force de continuer perdent leur chance de sortir.

Pour "échapper", je comprends: pouvoir s'échapper de cet endroit...

Tradabordo a dit…

Comme si chaque porte se fermant était une possibilité en moins d'échapper [« de s'échapper »]. Peut-être une sensation similaire à celle que Dante attribua à ses fameux cercles de l'enfer. Là, il ne s'agit pas de cercles, mais de couloirs interminables, dont les portes se ferment une fois qu'on les a franchies. Il n'y a pas de marche arrière. Ici, il n'y a pas de place pour les faibles. Ceux qui n'ont pas la force de continuer perdent leur chance de sortir.

Elena a dit…

Comme si chaque porte se fermant était une possibilité en moins de s'échapper. Peut-être une sensation similaire à celle que Dante attribua à ses fameux cercles de l'enfer. Là, il ne s'agit pas de cercles, mais de couloirs interminables, dont les portes se ferment une fois qu'on les a franchies. Il n'y a pas de marche arrière. Ici, il n'y a pas de place pour les faibles. Ceux qui n'ont pas la force de continuer perdent leur chance de sortir.

Tradabordo a dit…

Comme si chaque porte se fermant était une possibilité en moins de s'échapper. Peut-être une sensation similaire à celle que Dante attribua à ses fameux cercles de l'enfer. Là, il ne s'agit pas de cercles, mais de couloirs interminables, dont les portes se ferment une fois qu'on les a franchies. Il n'y a pas de marche arrière. Ici, il n'y a pas de place pour les faibles. Ceux qui n'ont pas la force de continuer perdent leur chance de sortir.

OK.