jeudi 5 septembre 2013

Projet Manon / Élise – phrases 47-48

Nuestros corazones comenzaron a palpitar muy rápido. Todo esto no podía ser real, debíamos estar en una especie de sueño comatoso. El agujero negro debía haber afectado nuestra mente, haciendo que armásemos esta “realidad” con los personajes de las viejas historias que oíamos de nuestros aitonak,1cuando éramos niñas, frente al fuego de las kebideak.2 

Traduction temporaire :
Nos cœurs se mirent à battre à tout rompre. Cela ne pouvait être réel, nous devions être dans une espèce de rêve comateux. Le trou noir avait dû affecter notre esprit, nous faisant construire cette « réalité » avec les protagonistes des vieilles histoires que nous entendions de nos aitonak1, quand nous étions petites, devant le feu des kebideak2.

1 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « grands-parents ».
2 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « cheminées ».

8 commentaires:

Unknown a dit…

Nos cœurs se mirent à palpiter à toute vitesse. Tout cela ne pouvait être réel, nous devions être dans une espèce de rêve comateux. Le trou noir avait dû affecter notre esprit, nous faisant construire cette « réalité » avec les personnages des vieilles histoires que nous entendions dans nos aitonak, quand nous étions petites, devant le feu des kebideak.

Tradabordo a dit…

Nos cœurs se mirent à palpiter à toute vitesse [« à tout rompre » ?]. Tout [encore un « tout » ; il faut trouver une solution] cela ne pouvait [on met le « pas » ?] être réel, nous devions être dans une espèce de rêve comateux. Le trou noir avait dû affecter notre esprit, nous faisant construire cette « réalité » avec les personnages [« protagonistes » ?] des vieilles histoires que nous entendions dans nos aitonak, quand nous étions petites, devant le feu des kebideak.

Les notes ?

Unknown a dit…

Nos cœurs se mirent à palpiter à tout rompre. Cela ne pouvait [on met le « pas » ? / Je préfère sans, voyons ce que dit Elise ?] être réel, nous devions être dans une espèce de rêve comateux. Le trou noir avait dû affecter notre esprit, nous faisant construire cette « réalité » avec les protagonistes des vieilles histoires que nous entendions de nos aitonak1, quand nous étions petites, devant le feu des kebideak2.

1 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « grands-parents ».

2 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « cheminées ».

Tradabordo a dit…

Nos cœurs se mirent à palpiter [avec « battre », du coup] à tout rompre. Cela ne pouvait [on met le « pas » ? / Je préfère sans, voyons ce que dit Elise ?] être réel, nous devions être dans une espèce de rêve comateux. Le trou noir avait dû affecter notre esprit, nous faisant construire cette « réalité » avec les protagonistes des vieilles histoires que nous entendions de nos aitonak1, quand nous étions petites, devant le feu des kebideak2.

1 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « grands-parents ».

2 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « cheminées ».

Unknown a dit…

Nos cœurs se mirent à battre à tout rompre. Cela ne pouvait [on met le « pas » ? / Je préfère sans, voyons ce que dit Elise ?] être réel, nous devions être dans une espèce de rêve comateux. Le trou noir avait dû affecter notre esprit, nous faisant construire cette « réalité » avec les protagonistes des vieilles histoires que nous entendions de nos aitonak1, quand nous étions petites, devant le feu des kebideak2.

1 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « grands-parents ».

2 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « cheminées ».

Tradabordo a dit…

Nos cœurs se mirent à battre à tout rompre. Cela ne pouvait [on met le « pas » ? / Je préfère sans, voyons ce que dit Elise ?] être réel, nous devions être dans une espèce de rêve comateux. Le trou noir avait dû affecter notre esprit, nous faisant construire cette « réalité » avec les protagonistes des vieilles histoires que nous entendions de nos aitonak1, quand nous étions petites, devant le feu des kebideak2.

1 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « grands-parents ».

2 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « cheminées ».

Élise, on attend ton avis sur cette phrase… Profitons de ce que Manon est encore là pour avancer, svp.

Unknown a dit…

Désolée pour mon absence ces derniers jours, un imprévu...
Je préfère sans le "pas" également !

Nos cœurs se mirent à battre à tout rompre. Cela ne pouvait être réel, nous devions être dans une espèce de rêve comateux. Le trou noir avait dû affecter notre esprit, nous faisant construire cette « réalité » avec les protagonistes des vieilles histoires que nous entendions de nos aitonak1, quand nous étions petites, devant le feu des kebideak2.

1 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « grands-parents ».

2 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « cheminées ».

Tradabordo a dit…

Nos cœurs se mirent à battre à tout rompre. Cela ne pouvait être réel, nous devions être dans une espèce de rêve comateux. Le trou noir avait dû affecter notre esprit, nous faisant construire cette « réalité » avec les protagonistes des vieilles histoires que nous entendions de nos aitonak1, quand nous étions petites, devant le feu des kebideak2.

1 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « grands-parents ».

2 : Mot au pluriel en basque, qui signifie « cheminées ».

OK.