samedi 2 août 2014

Projet Céline 2 – phrases 23-28

Se acordó del mentado caso de Feliciano Quesada, en el cuarenta y cuatro, el peor invierno que se recuerde. En cada invierno crudo la gente lo rememoraba temiendo que volviera a repetirse. El muchacho tenía miedo. Pero el viejo era viejo, tembleque por la bebida. No hubiera resistido el viaje. No tenía más remedio que ir él.

Traduction temporaire :
Il se rappelle le cas célèbre de Feliciano Quesada, en quarante-quatre, le pire hiver dont il se souvienne. Chaque hiver rigoureux, les gens se le remémoraient, craignant que cela se reproduise. Le garçon avait peur. Mais le vieillard était vieux, et tremblait à cause de la boisson. Il n'aurait pas supporté le voyage. Il n'avait pas d'autre choix que d'y aller, lui.

7 commentaires:

Unknown a dit…

Il se souvint du célèbre cas de Feliciano Quesada, en quarante-quatre, le pire hiver dont il se rappelle. Chaque hiver rigoureux, les gens se le remémoraient, craignant que cela se reproduise. Le garçon avait peur. Mais le vieillard était vieux, et tremblait à cause de la boisson. Il n’aurait pas supporté le voyage. Il n’avait pas d’autre choix que d’y aller, lui.

Tradabordo a dit…

Il se souvint du célèbre cas de Feliciano Quesada, en quarante-quatre, le pire hiver dont il se rappelle [mets « souvienne »]. Chaque hiver rigoureux, les gens se le remémoraient, craignant que cela se reproduise. Le garçon avait peur. Mais le vieillard était vieux, et tremblait à cause de la boisson. Il n’aurait pas supporté le voyage. Il n’avait pas d’autre choix que d’y aller, lui.

Unknown a dit…

Il se rappelle le célèbre cas de Feliciano Quesada, en quarante-quatre, le pire hiver dont il se souvienne. Chaque hiver rigoureux, les gens se le remémoraient, craignant que cela se reproduise. Le garçon avait peur. Mais le vieillard était vieux, et tremblait à cause de la boisson. Il n’aurait pas supporté le voyage. Il n’avait pas d’autre choix que d’y aller, lui.

Tradabordo a dit…

Il se rappelle le célèbre cas [ou l'inverse ? J'hésite] de Feliciano Quesada, en quarante-quatre, le pire hiver dont il se souvienne. Chaque hiver rigoureux, les gens se le remémoraient, craignant que cela se reproduise. Le garçon avait peur. Mais le vieillard était vieux, et tremblait à cause de la boisson. Il n’aurait pas supporté le voyage. Il n’avait pas d’autre choix que d’y aller, lui.

Tradabordo a dit…

Il se rappelle le célèbre cas [ou l'inverse ? J'hésite] de Feliciano Quesada, en quarante-quatre, le pire hiver dont il se souvienne. Chaque hiver rigoureux, les gens se le remémoraient, craignant que cela se reproduise. Le garçon avait peur. Mais le vieillard était vieux, et tremblait à cause de la boisson. Il n’aurait pas supporté le voyage. Il n’avait pas d’autre choix que d’y aller, lui.

Unknown a dit…

Il se rappelle le cas célèbre de Feliciano Quesada, en quarante-quatre, le pire hiver dont il se souvienne. Chaque hiver rigoureux, les gens se le remémoraient, craignant que cela se reproduise. Le garçon avait peur. Mais le vieillard était vieux, et tremblait à cause de la boisson. Il n'aurait pas supporté le voyage. Il n'avait pas d'autre choix que d'y aller, lui.

Tradabordo a dit…

Il se rappelle le cas célèbre de Feliciano Quesada, en quarante-quatre, le pire hiver dont il se souvienne. Chaque hiver rigoureux, les gens se le remémoraient, craignant que cela se reproduise. Le garçon avait peur. Mais le vieillard était vieux, et tremblait à cause de la boisson. Il n'aurait pas supporté le voyage. Il n'avait pas d'autre choix que d'y aller, lui.

OK.