Mario César Lamique (Uruguay)
LOS ROBADORES
La primera vez que entraron en casa nos asustamos mucho. Mi papá no se movió de su lugar en ningún momento, parecía que no respiraba,mi mamá gritaba cosas que nadie de los presentes se tomó el trabajo de entender mientras nos abrazaba —muy fuerte— a mi hermana y a mí, como si nos fuera a asfixiar.
Traduction temporaire :
La première fois qu'ils entrèrent dans la maison, nous eûmes très peur. Papa ne bougea pas de là où il était, il semblait ne plus respirer. Maman criait des choses qu'aucun des présents ne prit la peine de comprendre, tandis qu'elle nous serrait dans ses bras - très fort -, ma soeur et moi, comme si elle allait nous asphyxier.
Mario César Lamique (Uruguay)
Les voleurs
La première fois qu'ils entrèrent dans la maison, nous eûmes très peur. Papa ne bougea pas de là où il était, il semblait ne plus respirer. Maman criait des choses qu'aucun des présents ne prit la peine de comprendre, tandis qu'elle nous serrait dans ses bras - très fort -, ma soeur et moi, comme si elle allait nous asphyxier.
6 commentaires:
Mario César Lamique (Uruguay)
LES VOLEURS
La première fois qu'ils entrèrent dans la maison, nous eûmes très peur. Mon papa ne bougea à aucun moment de sa place, il avait l'air de ne plus respirer. Ma maman criait des choses que personne de ceux qui étaient présents ne prit la peine de comprendre, tandis qu'elle nous serrait dans ses bras —très fortement— ma soeur et moi, comme si elle allait nous asphyxier.
Mario César Lamique (Uruguay)
LES VOLEURS [mettez-le en minuscules]
La première fois qu'ils entrèrent dans la maison, nous eûmes très peur. Mon [nécessaire ? J'hésite…] papa ne bougea à aucun moment de sa place [manque de naturel ; vous oubliez de le faire parler, ce personne… vous vous contentez de traduire les mots], il avait l'air de [idem… c'est correct, mais il doit y avoir bien plus naturel…] ne plus respirer. Ma maman criait des choses que personne de ceux [mal dit] qui étaient présents ne prit la peine de comprendre, tandis qu'elle nous serrait dans ses bras —[tiret moyen + espace]très fortement[mal dit]— ma soeur et moi, comme si elle allait nous asphyxier.
Mario César Lamique (Uruguay)
Les voleurs
La première fois qu'ils entrèrent dans la maison, nous eûmes très peur. Papa ne bougea plus de sa place, il semblait ne plus respirer. Maman criait des choses qu'aucun de ceux qui étaient présents ne prit la peine de comprendre, tandis qu'elle nous serrait dans ses bras - très fort - ma soeur et moi, comme si elle allait nous asphyxier.
Mario César Lamique (Uruguay)
Les voleurs
La première fois qu'ils entrèrent dans la maison, nous eûmes très peur. Papa ne bougea plus [?] de sa place [« de là où il était » ?], il semblait ne plus respirer. Maman criait des choses qu'aucun de ceux qui étaient [nécessaire ? J'hésite…] présents ne prit la peine de comprendre, tandis qu'elle nous serrait dans ses bras - très fort - [virgule ?] ma soeur et moi, comme si elle allait nous asphyxier.
Mario César Lamique (Uruguay)
Les voleurs
La première fois qu'ils entrèrent dans la maison, nous eûmes très peur. Papa ne bougea pas de là où il était, il semblait ne plus respirer. Maman criait des choses qu'aucun des présents ne prit la peine de comprendre, tandis qu'elle nous serrait dans ses bras - très fort -, ma soeur et moi, comme si elle allait nous asphyxier.
Mario César Lamique (Uruguay)
Les voleurs
La première fois qu'ils entrèrent dans la maison, nous eûmes très peur. Papa ne bougea pas de là où il était, il semblait ne plus respirer. Maman criait des choses qu'aucun des présents ne prit la peine de comprendre, tandis qu'elle nous serrait dans ses bras - très fort -, ma soeur et moi, comme si elle allait nous asphyxier.
OK.
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