mardi 4 novembre 2014

Projet Hélène 2 – phrases 150-152

El día del funeral el sacerdote leyó un salmo, su voz arrullando el cabello del pequeño Guilherme, recostado sobre el hombro de una tía anciana habituada a la comprensión y a los consuelos. Al terminar, Luizinho agradeció al sacerdote, le dio un beso a su hijo y condujo alrededor del pueblo hasta que agotó la gasolina del coche. Cuando le preguntan a Guilherme si recuerda a su madre, él responde que no.

Traduction temporaire :
Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, blotti tout contre l’épaule d’une vieille tante habituée à comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia l'homme d'église, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture, jusqu’à ce qu'elle tombe en panne d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.

6 commentaires:

Hélène a dit…

Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, qui était appuyé sur l’épaule d’une vieille tante habituée à comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia le prêtre, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.

Tradabordo a dit…

Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, qui était appuyé [« blotti » tout seul ?] sur [« contre » ? J'hésite] l’épaule d’une vieille tante habituée [je ne suis pas très convaincue, mais je n'ai pas l'idée, là, comme ça… Vois si tu as mieux et sinon, tant pis…] à comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia le prêtre [« l'homme d'église » ? Si artificielle, laisse tomber…], embrassa son fils et fit le tour du village en voiture [virgule] jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’essence [pas plus simple avec « panne » ?]. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.

Hélène a dit…

Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, blotti tout contre l’épaule d’une vieille tante rompue à comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia l'homme d'église, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture, jusqu’à ce qu'elle tombe en panne d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.

Tradabordo a dit…

Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, blotti tout contre l’épaule d’une vieille tante rompue à [mieux vaut encore « habituée » ;-)] comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia l'homme d'église, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture, jusqu’à ce qu'elle tombe en panne d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.

Hélène a dit…

Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, blotti tout contre l’épaule d’une vieille tante habituée à [ok, on verra si à la relecture, quelque chose de mieux nous vient] comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia l'homme d'église, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture, jusqu’à ce qu'elle tombe en panne d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.

Tradabordo a dit…

Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, blotti tout contre l’épaule d’une vieille tante habituée à comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia l'homme d'église, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture, jusqu’à ce qu'elle tombe en panne d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.

OK.