El día del funeral el sacerdote leyó un salmo, su voz arrullando el cabello del pequeño Guilherme, recostado sobre el hombro de una tía anciana habituada a la comprensión y a los consuelos. Al terminar, Luizinho agradeció al sacerdote, le dio un beso a su hijo y condujo alrededor del pueblo hasta que agotó la gasolina del coche. Cuando le preguntan a Guilherme si recuerda a su madre, él responde que no.
Traduction temporaire :
Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, blotti tout contre l’épaule d’une vieille tante habituée à comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia l'homme d'église, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture, jusqu’à ce qu'elle tombe en panne d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.
Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, blotti tout contre l’épaule d’une vieille tante habituée à comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia l'homme d'église, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture, jusqu’à ce qu'elle tombe en panne d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.
6 commentaires:
Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, qui était appuyé sur l’épaule d’une vieille tante habituée à comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia le prêtre, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.
Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, qui était appuyé [« blotti » tout seul ?] sur [« contre » ? J'hésite] l’épaule d’une vieille tante habituée [je ne suis pas très convaincue, mais je n'ai pas l'idée, là, comme ça… Vois si tu as mieux et sinon, tant pis…] à comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia le prêtre [« l'homme d'église » ? Si artificielle, laisse tomber…], embrassa son fils et fit le tour du village en voiture [virgule] jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’essence [pas plus simple avec « panne » ?]. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.
Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, blotti tout contre l’épaule d’une vieille tante rompue à comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia l'homme d'église, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture, jusqu’à ce qu'elle tombe en panne d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.
Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, blotti tout contre l’épaule d’une vieille tante rompue à [mieux vaut encore « habituée » ;-)] comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia l'homme d'église, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture, jusqu’à ce qu'elle tombe en panne d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.
Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, blotti tout contre l’épaule d’une vieille tante habituée à [ok, on verra si à la relecture, quelque chose de mieux nous vient] comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia l'homme d'église, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture, jusqu’à ce qu'elle tombe en panne d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.
Le jour de l’enterrement, le prête lut un psaume, sa voix berçant la chevelure du petit Guilherme, blotti tout contre l’épaule d’une vieille tante habituée à comprendre et à consoler. À la fin, Luizinho remercia l'homme d'église, embrassa son fils et fit le tour du village en voiture, jusqu’à ce qu'elle tombe en panne d’essence. Quand on demande à Guilherme s’il se souvient de sa mère, il répond que non.
OK.
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