Llevaba muchas horas caminando y ya no le quedaba mucha comida. La ciudad no debería estar muy lejos pero no estaba seguro porque la vegetación le había cambiado sus recuerdos. “¿Está muy lejos Pripyat?” “No. Unas cuantas horas en esa dirección”. La vieja se apoyó sobre su bastón de madera y continuó: “No hay nadie en esa ciudad, ¿sabe?. Las pocas personas que vivían por aquí se fueron al otro lado del río, lejos de la ciudad y de la planta.
Traduction temporaire :
Il marchait depuis des heures et il ne lui restait plus beaucoup de nourriture. La ville devait être toute proche, mais il n'en était pas certain, car la végétation avait brouillé ses repères. « Pripyat est encore loin ? » « Non, à quelques heures, dans cette direction ». La femme s’appuya sur sa canne en bois et poursuivit : « Vous savez, il n’y a personne là-bas. Le peu de gens qui y vivaient sont partis de l’autre côté du fleuve, loin de la ville et de la centrale.
Il marchait depuis des heures et il ne lui restait plus beaucoup de nourriture. La ville devait être toute proche, mais il n'en était pas certain, car la végétation avait brouillé ses repères. « Pripyat est encore loin ? » « Non, à quelques heures, dans cette direction ». La femme s’appuya sur sa canne en bois et poursuivit : « Vous savez, il n’y a personne là-bas. Le peu de gens qui y vivaient sont partis de l’autre côté du fleuve, loin de la ville et de la centrale.
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Il marchait depuis des heures et il ne lui restait plus beaucoup de nourriture. La ville ne devait pas être loin, mais il n’était pas certain, car la végétation avait brouillé ses repères. « Pripyat est encore loin ? » « Non, à quelques heures, dans cette direction ». La femme s’appuya sur sa canne en bois et poursuivit : « Vous savez, il n’y a personne là-bas. Le peu de gens qui y vivait est parti de l’autre côté du fleuve, loin de la ville et de la centrale.
Il marchait depuis des heures et il ne lui restait plus beaucoup de nourriture. La ville ne devait pas être loin, mais il n’[« en » ?]était pas certain, car la végétation avait brouillé ses repères. « Pripyat est encore loin ? » « Non, à quelques heures, dans cette direction ». La femme s’appuya sur sa canne en bois et poursuivit : « Vous savez, il n’y a personne là-bas. Le peu de gens qui y vivait est parti [on ne le dirait pas plus spontanément au pluriel… car là, c'est un dialogue ?] de l’autre côté du fleuve, loin de la ville et de la centrale.
Il marchait depuis des heures et il ne lui restait plus beaucoup de nourriture. La ville ne devait pas être loin, mais il n'en était pas certain, car la végétation avait brouillé ses repères. « Pripyat est encore loin ? » « Non, à quelques heures, dans cette direction ». La femme s’appuya sur sa canne en bois et poursuivit : « Vous savez, il n’y a personne là-bas. Le peu de gens qui y vivaient sont patis de l’autre côté du fleuve, loin de la ville et de la centrale.
Il marchait depuis des heures et il ne lui restait plus beaucoup de nourriture. La ville ne devait pas être loin [en inversant avec « proche » pour éviter les trois « loin » ?], mais il n'en était pas certain, car la végétation avait brouillé ses repères. « Pripyat est encore loin ? » « Non, à quelques heures, dans cette direction ». La femme s’appuya sur sa canne en bois et poursuivit : « Vous savez, il n’y a personne là-bas. Le peu de gens qui y vivaient sont patis [?] de l’autre côté du fleuve, loin de la ville et de la centrale.
Il marchait depuis des heures et il ne lui restait plus beaucoup de nourriture. La ville devait être toute proche, mais il n'en était pas certain, car la végétation avait brouillé ses repères. « Pripyat est encore loin ? » « Non, à quelques heures, dans cette direction ». La femme s’appuya sur sa canne en bois et poursuivit : « Vous savez, il n’y a personne là-bas. Le peu de gens qui y vivaient sont partis de l’autre côté du fleuve, loin de la ville et de la centrale.
Il marchait depuis des heures et il ne lui restait plus beaucoup de nourriture. La ville devait être toute proche, mais il n'en était pas certain, car la végétation avait brouillé ses repères. « Pripyat est encore loin ? » « Non, à quelques heures, dans cette direction ». La femme s’appuya sur sa canne en bois et poursuivit : « Vous savez, il n’y a personne là-bas. Le peu de gens qui y vivaient sont partis de l’autre côté du fleuve, loin de la ville et de la centrale.
OK.
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