Rozo con mis dedos el glande, liberado por un prepucio mortal, del revólver 38 que sostiene el cinturón en la retaguardia de mi cuerpo, enfriándose.
Trato de no atormentarme pensando en lo ocurrido. Pero es difícil. Cuento obsesivamente los patrulleros que nos cruzamos. Van tres.
Traduction temporaire :
Du bout des doigts, je frôle le gland, libéré par un prépuce mortel, du 38 accroché à ma ceinture, au niveau de mon postérieur, et qui est en train de refroidir. J’essaie de ne pas me torturer en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. De façon obsessionnelle je compte les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
Du bout des doigts, je frôle le gland, libéré par un prépuce mortel, du 38 accroché à ma ceinture, au niveau de mon postérieur, et qui est en train de refroidir. J’essaie de ne pas me torturer en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. De façon obsessionnelle je compte les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
14 commentaires:
De mes doigts, je frôle le gland libéré par un prépuce mortel, du révolver 38 qui retient la ceinture à l’arrière-garde de mon corps en train de se refroidir.
J’essaie de ne pas m’angoisser en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. Je compte de façon obsessionnelle les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
De [« Avec » ? Vérifie…] mes doigts, je frôle le gland libéré par un prépuce mortel, du révolver 38 qui retient la ceinture à l’arrière-garde de mon corps en train de se refroidir [je n'y comprends rien].
J’essaie de ne pas m’angoisser en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. Je compte de façon obsessionnelle les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
Du bout des doigts, je frôle le gland libéré par un prépuce mortel, du révolver 38 qui retient la ceinture posée sur mon arrière qui se refroidit peu à peu.
J’essaie de ne pas m’angoisser en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. Je compte de façon obsessionnelle les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
Du bout des doigts, je frôle le gland libéré par un prépuce mortel, du révolver 38 qui retient la ceinture posée sur mon arrière qui se refroidit peu à peu.
Je n'y comprends rien… Essaie de mettre de la clarté dans tout ça.
J’essaie de ne pas m’angoisser en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. Je compte de façon obsessionnelle les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
Je frôle du bout des doigts, le gland libéré par le prépuce mortel, du révolver 38 accroché à mon ceinturon au niveau de mon postérieur et qui est en train de refroidir.
J’essaie de ne pas m’angoisser en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. Je compte de façon obsessionnelle les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois
Je frôle du bout des doigts [inverse], le gland libéré par le prépuce mortel, [supprime cette virgule ; sinon CS, non ?] du révolver 38 accroché à mon ceinturon [c'est pas un cow boy :-)] au niveau de mon postérieur et qui est en train de refroidir. J’essaie de ne pas m’angoisser [FS ?] en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. Je compte de façon obsessionnelle [placé devant ? Essaie et vois ce qui est mieux] les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois [point]
Du bout des doigts, je frôle le gland libéré par un prépuce mortel, du révolver 38 accroché à ma ceinture au niveau de mon postérieur et qui est en train de refroidir. J’essaie de ne pas me torturer en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. De façon obsessionnelle je compte les patrouilles que nous croisons [c'est mieux !]. Il y en a trois.
Du bout des doigts, je frôle le gland libéré par un prépuce mortel, [avec la virgule, on ne comprend pas qu'il parle du flingue] du révolver 38 accroché à ma ceinture au niveau de mon postérieur et qui est en train de refroidir. J’essaie de ne pas me torturer en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. De façon obsessionnelle je compte les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
Du bout des doigts, je frôle le gland libéré par un prépuce mortel du révolver 38 accroché à ma ceinture au niveau de mon postérieur et qui est en train de refroidir. J’essaie de ne pas me torturer en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. De façon obsessionnelle je compte les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
Du bout des doigts, je frôle le gland [virgule] libéré par un prépuce mortel [virgule] du révolver [nécessaire ?] 38 accroché à ma ceinture au niveau de mon postérieur et qui est en train de refroidir. J’essaie de ne pas me torturer en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. De façon obsessionnelle je compte les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
Du bout des doigts, je frôle le gland, libéré par un prépuce mortel, du 38 accroché à ma ceinture au niveau de mon postérieur et qui est en train de refroidir. J’essaie de ne pas me torturer en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. De façon obsessionnelle je compte les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
Du bout des doigts, je frôle le gland, libéré par un prépuce mortel, du 38 accroché à ma ceinture [virgule] au niveau de mon postérieur [virgule] et qui est en train de refroidir. J’essaie de ne pas me torturer en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. De façon obsessionnelle je compte les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
Du bout des doigts, je frôle le gland, libéré par un prépuce mortel, du 38 accroché à ma ceinture, au niveau de mon postérieur, et qui est en train de refroidir. J’essaie de ne pas me torturer en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. De façon obsessionnelle je compte les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
Du bout des doigts, je frôle le gland, libéré par un prépuce mortel, du 38 accroché à ma ceinture, au niveau de mon postérieur, et qui est en train de refroidir. J’essaie de ne pas me torturer en pensant à ce qui vient de se passer. Mais c’est difficile. De façon obsessionnelle je compte les patrouilles que nous croisons. Il y en a trois.
OK.
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