samedi 1 novembre 2014

Projet Sabrina 4 – phrases 57-62

¿Se acuerda usted del paseo que dimos la semana pasada por el parque de Rosalía? Fue la última vez que le vi hasta hoy. Recuerdo el abrazo con el que me despidió aquel día. Aún puedo notar sus brazos rodeándome, la calidez de su cuerpo junto al mío. Aún puedo notar sus manos agarrando mis hombros, suplicando que parase, que no le clavase más veces este maldito cuchillo. Sé que he hecho lo que debía, pero me duele tanto.

Traduction temporaire :
Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle votre accolade lorsque vous avez pris congé, ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas à nouveau vous enfoncer ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela m'est si douloureux.

15 commentaires:

Sabrina a dit…

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle de mon étreinte au moment de partir ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas vous planter mille fois ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela me fait si mal.

Tradabordo a dit…

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle de [grammaire] mon étreinte [CS] au moment de partir ce jour-là.

Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas vous planter mille fois ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela me fait si mal.

Sabrina a dit…

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle mon accolade au moment de partir ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas vous planter mille fois ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela me fait si mal.

Tradabordo a dit…

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle mon [CS] accolade au moment de partir ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas vous planter mille fois ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela me fait si mal.

Sabrina a dit…

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle notre accolade au moment de partir ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas vous planter mille fois ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela me fait si mal.

Tradabordo a dit…

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle notre [non ; le verbe est bien à la troisième personne du singulier] accolade au moment de partir ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas vous planter mille fois ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela me fait si mal.

Sabrina a dit…

Mais oui!! Pourquoi je ne voyais rien ??!!

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle votre accolade au moment de partir ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas vous planter mille fois ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela me fait si mal.

Tradabordo a dit…

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle votre accolade au moment de partir [mais là, tu changes] ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas vous planter mille [?] fois ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela me fait [« fait » 2 fois ; il faut que tu trouves une solution] si mal.

Sabrina a dit…

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle votre accolade lorsque vous m'avez quitté ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas à nouveau vous planter ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela me cause tant de peine.

Tradabordo a dit…

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle votre accolade lorsque vous m'avez quitté [« vous avez pris congé » ? Comme tu veux] [virgule] ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas à nouveau vous planter ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela me cause tant de peine [pour « doler » ? J'hésite].

Sabrina a dit…

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle votre accolade lorsque vous avez pris congé, ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas à nouveau vous planter ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela m'est si douloureux.

Sabrina a dit…

On en était là ;).

Tradabordo a dit…

Hello !!!! Vous ici ????? ;-)

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle votre accolade lorsque vous avez pris congé, ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas à nouveau vous planter [« enfoncer » ?] ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela m'est si douloureux.

Sabrina a dit…

Eheh ;)

Les 2 me plaisent :).

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle votre accolade lorsque vous avez pris congé, ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas à nouveau vous enfoncer ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela m'est si douloureux.

Tradabordo a dit…

Vous vous souvenez de la promenade que nous avons faite la semaine dernière dans le parc de Rosalía ? C'est la dernière fois que je vous ai vu avant aujourd'hui. Je me rappelle votre accolade lorsque vous avez pris congé, ce jour-là. Je sens encore vos bras qui m'entourent, la chaleur de votre corps près du mien. Je sens encore vos mains qui attrapent mes épaules, me suppliant d'arrêter, de ne pas à nouveau vous enfoncer ce maudit couteau. Je sais que j'ai fait mon devoir, mais cela m'est si douloureux.

OK.