Ella siente que desde su nuca y hasta la parte más alta de su cabeza aletea un animal cautivo, tenso y caliente, que ese calor vence el tamiz de sus cabellos y penetra hasta más adentro, hasta el cráneo y más allá aún, forzando su vergüenza al máximo, hasta el límite de lo que podría permitirse sentir en su primera noche de libertad.
Traduction temporaire :
Depuis sa nuque jusqu'à la partie la plus haute de sa tête, elle entend un animal prisonnier battre des ailes, raide et chaud ; cette chaleur vainc le tamis de ses cheveux et pénètre davantage à l'intérieur, jusqu'à son crâne et plus loin encore, poussant la honte à son paroxysme, à la limite de ce qu'elle pourrait se permettre de sentir pour sa première nuit de liberté.
Depuis sa nuque jusqu'à la partie la plus haute de sa tête, elle entend un animal prisonnier battre des ailes, raide et chaud ; cette chaleur vainc le tamis de ses cheveux et pénètre davantage à l'intérieur, jusqu'à son crâne et plus loin encore, poussant la honte à son paroxysme, à la limite de ce qu'elle pourrait se permettre de sentir pour sa première nuit de liberté.
10 commentaires:
Elle sent que de sa nuque jusqu’à la partie la plus haute de sa tête un animal captif bat des ailes, tendu et chaud, que cette chaleur vain le tamis de ses cheveux et pénètre un peu plus à l’intérieur, jusqu’à son crâne et encore plus loin, violant sa honte au maximum, jusqu’à la limite de ce qu’il pouvait se permettre de sentir dans cette première nuit de liberté.
Elle sent que de sa nuque jusqu’à la partie la plus haute de sa tête
Reprenez la syntaxe du début ; il y a mieux que le littéral.
un animal captif bat des ailes, tendu et chaud, que cette chaleur vain le tamis de ses cheveux et pénètre un peu plus à l’intérieur, jusqu’à son crâne et encore plus loin, violant sa honte au maximum, jusqu’à la limite de ce qu’il pouvait se permettre de sentir dans cette première nuit de liberté.
Elle sent que, de sa nuque à la partie la plus haute de sa tête, un animal captif bat des ailes, tendu et chaud, que cette chaleur vain le tamis de ses cheveux et pénètre un peu plus à l’intérieur, jusqu’à son crâne et encore plus loin, violant sa honte à son plus au point, jusqu’à la limite de ce qu’il pourrait se permettre de sentir dans cette première nuit de liberté.
Elle sent que, [pas un pb de ponctuation, mais de syntaxe… Commencez par « Depuis… »] de sa nuque à la partie la plus haute de sa tête, un animal captif bat des ailes, tendu et chaud, que cette chaleur vain le tamis de ses cheveux et pénètre un peu plus à l’intérieur, jusqu’à son crâne et encore plus loin, violant sa honte à son plus au point, jusqu’à la limite de ce qu’il pourrait se permettre de sentir dans cette première nuit de liberté.
Depuis sa nuque jusqu'à la partie la plus haute de sa tête, elle sent qu'un animal prisonnier bat des ailes, raide et chaud, que cette chaleur vainc le tamis de ses cheveux et pénètre même davantage à l'intérieur, jusqu'à son crâne et plus loin encore, poussant la honte à son paroxysme, à la limite de ce qu'il pourrait se permettre de sentir pour sa première nuit de liberté.
Depuis sa nuque jusqu'à la partie la plus haute de sa tête, elle sent qu'[nécessaire ?]un animal prisonnier bat [à adapter, le cas échéant] des ailes, raide et chaud, que cette chaleur vainc le tamis de ses cheveux et pénètre même [?] davantage à l'intérieur, jusqu'à son crâne et plus loin encore, poussant la honte à son paroxysme, à la limite de ce qu'il [?] pourrait se permettre de sentir [un moyen de ne pas répéter] pour sa première nuit de liberté.
Depuis sa nuque jusqu'à la partie la plus haute de sa tête, elle entend un animal prisonnier battre des ailes, raide et chaud, que cette chaleur vainc le tamis de ses cheveux et pénètre davantage à l'intérieur, jusqu'à son crâne et plus loin encore, poussant la honte à son paroxysme, à la limite de ce qu'elle pourrait se permettre de sentir pour sa première nuit de liberté.
Depuis sa nuque jusqu'à la partie la plus haute de sa tête, elle entend un animal prisonnier battre des ailes, raide et chaud, que [?] cette chaleur vainc le tamis de ses cheveux et pénètre davantage à l'intérieur, jusqu'à son crâne et plus loin encore, poussant la honte à son paroxysme, à la limite de ce qu'elle pourrait se permettre de sentir pour sa première nuit de liberté.
Depuis sa nuque jusqu'à la partie la plus haute de sa tête, elle entend un animal prisonnier battre des ailes, raide et chaud ; cette chaleur vainc le tamis de ses cheveux et pénètre davantage à l'intérieur, jusqu'à son crâne et plus loin encore, poussant la honte à son paroxysme, à la limite de ce qu'elle pourrait se permettre de sentir pour sa première nuit de liberté.
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OK.
Marie ?
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