La red
Sólo una niña se encuentra en el amplio salón. Calza zapatillas de baile y su mano derecha descansa en la barra.
—Más ensayo —fue la orden.
La mano se crispa y aprieta.
Una corriente de aire circula por el viejo teatro, la niña se estremece y pasea la vista como si el frío fuese una presencia a quien pudiera rogarle piedad.
Ve una mosca, pende de un hilo más delicado que un cabello. Ve como el aire impulsa al insecto que gira, según parece, incansablemente.
Toma un taxi.
Traduction temporaire :
Il n'y a qu'une fillette dans l'immense salon. Elle porte des ballerines et sa main droite repose sur la barre. — Davantage d'entraînement ! lui avait-on ordonné. Ses doigts se crispent et serrent. Un courant d'air circule dans le vieux théâtre, elle frémit et promène son regard, comme si le froid était une présence dont on pouvait implorer la pitié. Elle voit une mouche, elle pend à un fil plus fin qu'un cheveu. Elle voit l'air pousser l'insecte qui tourne, semble-t-il infatigable. Elle prend un taxi.
La toile
Il n'y a qu'une fillette dans l'immense salon. Elle porte des ballerines et sa main droite repose sur la barre. — Davantage d'entraînement ! lui avait-on ordonné. Ses doigts se crispent et serrent. Un courant d'air circule dans le vieux théâtre, elle frémit et promène son regard, comme si le froid était une présence dont on pouvait implorer la pitié. Elle voit une mouche, elle pend à un fil plus fin qu'un cheveu. Elle voit l'air pousser l'insecte qui tourne, semble-t-il infatigable. Elle prend un taxi.
7 commentaires:
La toile
Il n'y a qu'une fillette dans l'immense salon. Elle porte des ballerines et sa main droite repose sur la barre. — Plus d'entraînement, ce fut l'ordre. La main se crispe et serre. Un courant d'air circule dans le vieux théâtre, la petite fille frémit et promène son regard comme si le froid ait été une présence à qui pouvoir supplier de la pitié. Elle voit une mouche, elle pend d'un fil plus délicat qu'un cheveu. Elle voit comment l'air pousse l'insecte qui tourne, semble-t-il, infatigable.
Elle prend un taxi.
La toile
Il n'y a qu'une fillette dans l'immense salon. Elle porte des ballerines et sa main droite repose sur la barre. — Plus [« davantage » ?] d'entraînement, ce fut l'ordre [mal dit]. La main [« doigts », pour ne pas répéter ? Comme vous voulez] se crispe et serre. Un courant d'air circule dans le vieux théâtre, la petite fille [nécessaire ?] frémit et promène son regard [virgule] comme si le froid ait été [grammaire] une présence à qui pouvoir supplier de la pitié [incorrect]. Elle voit une mouche, elle pend d'[incorrect]un fil plus délicat qu'un cheveu. Elle voit comment [on a « comme » avant ; donc pas génial] l'air pousse l'insecte qui tourne, semble-t-il, [sans la virgule ?] infatigable.
Elle prend un taxi.
La toile
Il n'y a qu'une fillette dans l'immense salon. Elle porte des ballerines et sa main droite repose sur la barre. — Davantage d'entraînement ! lui ordonna-t-on. Ses doigts se crispent et serrent. Un courant d'air circule dans le vieux théâtre, elle frémit et promène son regard, comme si le froid était une présence dont on pouvait implorer la pitié. Elle voit une mouche, elle pend à un fil plus fin qu'un cheveu. Elle voit l'air pousser l'insecte qui tourne, semble-t-il infatigable.
Elle prend un taxi.
La toile
Il n'y a qu'une fillette dans l'immense salon. Elle porte des ballerines et sa main droite repose sur la barre. — Davantage d'entraînement ! lui ordonna-t-on [ou PQP ?]. Ses doigts se crispent et serrent. Un courant d'air circule dans le vieux théâtre, elle frémit et promène son regard, comme si le froid était une présence dont on pouvait implorer la pitié. Elle voit une mouche, elle pend à un fil plus fin qu'un cheveu. Elle voit l'air pousser l'insecte qui tourne, semble-t-il infatigable.
Elle prend un taxi.
La toile
Il n'y a qu'une fillette dans l'immense salon. Elle porte des ballerines et sa main droite repose sur la barre. — Davantage d'entraînement ! lui avait-on ordonné. Ses doigts se crispent et serrent. Un courant d'air circule dans le vieux théâtre, elle frémit et promène son regard, comme si le froid était une présence dont on pouvait implorer la pitié. Elle voit une mouche, elle pend à un fil plus fin qu'un cheveu. Elle voit l'air pousser l'insecte qui tourne, semble-t-il infatigable.
Elle prend un taxi.
La toile
Il n'y a qu'une fillette dans l'immense salon. Elle porte des ballerines et sa main droite repose sur la barre. — Davantage d'entraînement ! lui avait-on ordonné. Ses doigts se crispent et serrent. Un courant d'air circule dans le vieux théâtre, elle frémit et promène son regard, comme si le froid était une présence dont on pouvait implorer la pitié. Elle voit une mouche, elle pend à un fil plus fin qu'un cheveu. Elle voit l'air pousser l'insecte qui tourne, semble-t-il infatigable.
Elle prend un taxi.
OK.
Elena ?
OK.
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