J'assume la lenteur et j'essaie de m'améliorer, c'est le but,non ? Et en outre, nos échanges m'amusent, alors allons-y: Parce qu'ils vont au paradis alors que les robots n'y vont pas.
Irène : il ne faut pas seulement assumer la lenteur… Il faut la cultiver ; c'est indispensable pour bien peser et penser la matière. Il n'y avait aucune "indirecta" dans mon propos.
Pour la traduction que tu proposes, que fais-tu des points de suspension. Là, tu les as allègrement supprimés. Pourquoi pas ? Mais avec quelle explication ?
Pour ce qui est de la coquille ; au départ j'ai effectivement lu la phrase, comme ce que tu suggères, Elena – c'est-à-dire avec une question. Mais je ne suis pas très sûre. Regardez un peu ce qu'il y a autour, surtout après, et cela vous permettra très certaine de trancher. Répondez à ça et on se remettra à la tard ensuite.
Avec les robots en général je ne sais pas mais avec le mien à coup sûr!!! Il me semble que le porque permet d'émettre une hypothèse de même qu'il le fait à la phrase suivante. Si on ajoute les pts de suspension + le no en relief = stratégie pour montrer la réflexion, le doute, l'hypothèse ???
Irène, désolée de te décevoir… mais en l'occurrence, il s'agit de voir sur la version originale du texte (et non sur cette mauvaise reproduction trouvée sur un site internet) ce que l'auteur a voulu dire/faire. Une question ! Allez, formule-moi une question et laisse tes états d'âme de côté ;-)
Justine : pas de virgule ici. J'hésite sur ton « alors que » dans la mesure où on voit bien que le robot est en train de réfléchir et qu'il arrive à ses conclusions au fur et à mesure… ; or là, tu sembles avoir déjà trancher pour lui. Trouvons quelque chose qui rende davantage l'hésitation – d'où les points de suspension d'ailleurs.
Ne devrait-on pas marquer plus la différence entre les hommes et les robots ? Proposition :
Pourquoi ils vont au ciel, eux… Pour la suite, voyons comment on peut la construire. Je suis encore hésitante sur le « alors que » de Justine. En dépit de mes arguments, je continue à trouver que c'est une bonne idée. Voyons ce qu'en pensent Elena et Irène.
Justine : « Pourquoi vont-ils au ciel si les robots...non? »` Ah non ; là c'est du charabia. Attention aux hispanismes ! Restons sur cette question du « alors que… » et prenez bien en compte toutes les « consignes » et remarques faites jusque-là sur cette phrase.
Oui, Elena, je suis d'accord… j'ai une légère réticence, mais je crois que c'est bien quand même. Ça aussi, on met une croix devant et on reviendra attentivement dessus au moment des relectures.
Irène : - Oui, tu es même une charrieuse professionnel ;-) - J'ai préféré le « lapidaire » non final… car précisément, ça claque mieux. Comme un couperet.
Pour cette phrase, c'est ok… Passez à la suivante. Je m'absente quelques heures, mais allez-y, vous, et je regarderai ça en rentrant. Nous avons largement dépassé la moitié et nous avançons bien. Je suis très contente.
33 commentaires:
J'assume la lenteur et j'essaie de m'améliorer, c'est le but,non ? Et en outre, nos échanges m'amusent, alors allons-y:
Parce qu'ils vont au paradis alors que les robots n'y vont pas.
Irène : il ne faut pas seulement assumer la lenteur… Il faut la cultiver ; c'est indispensable pour bien peser et penser la matière. Il n'y avait aucune "indirecta" dans mon propos.
Pour la traduction que tu proposes, que fais-tu des points de suspension. Là, tu les as allègrement supprimés. Pourquoi pas ? Mais avec quelle explication ?
C'est mieux comme ça?
Parce qu'ils vont au paradis alors que les robots... n'y vont pas.
C'est une question !
Nouvelle coquille :
¿Por qué ellos van
al cielo y los robots… no?
Irène, tu vas trop vite, attends-moi !!
Ma lenteur est plutôt intrinsèquement liée à ma relation à la machine... n'est-ce pas Elena ?
Irène :
Peut-être ce mignon petit texte t'aidera-t-il à régler ton problème avec les robots.
Pour ce qui est de la coquille ; au départ j'ai effectivement lu la phrase, comme ce que tu suggères, Elena – c'est-à-dire avec une question. Mais je ne suis pas très sûre. Regardez un peu ce qu'il y a autour, surtout après, et cela vous permettra très certaine de trancher. Répondez à ça et on se remettra à la tard ensuite.
Trop ou pas assez ??? that is the question...
Moi, j'adopte la définition de mon fils cadet :
"Un peu beaucoup, mais pas trop quand même !"
Ok, donc on part sur une question.
Allez-y proposez-moi vos trads maintenant.
Avec les robots en général je ne sais pas mais avec le mien à coup sûr!!!
Il me semble que le porque permet d'émettre une hypothèse de même qu'il le fait à la phrase suivante. Si on ajoute les pts de suspension + le no en relief = stratégie pour montrer la réflexion, le doute, l'hypothèse ???
Personnellement, je préfère la forme affirmative
Irène, désolée de te décevoir… mais en l'occurrence, il s'agit de voir sur la version originale du texte (et non sur cette mauvaise reproduction trouvée sur un site internet) ce que l'auteur a voulu dire/faire. Une question ! Allez, formule-moi une question et laisse tes états d'âme de côté ;-)
Pourquoi vont-ils au ciel, alors que les robots...non?
Pourquoi vont-ils au ciel et les robots... non ?
Ok j'avais pas compris!!!
Pourquoi vont-ils au paradis alors que les robots... n'y vont pas?
Justine : pas de virgule ici. J'hésite sur ton « alors que » dans la mesure où on voit bien que le robot est en train de réfléchir et qu'il arrive à ses conclusions au fur et à mesure… ; or là, tu sembles avoir déjà trancher pour lui. Trouvons quelque chose qui rende davantage l'hésitation – d'où les points de suspension d'ailleurs.
Ne devrait-on pas marquer plus la différence entre les hommes et les robots ?
Proposition :
Pourquoi ils vont au ciel, eux…
Pour la suite, voyons comment on peut la construire. Je suis encore hésitante sur le « alors que » de Justine. En dépit de mes arguments, je continue à trouver que c'est une bonne idée. Voyons ce qu'en pensent Elena et Irène.
Allons Irène, tu ne vas pas le priver du plaisir de te charrier un peu, quand même ?????!!!!!
Pourquoi vont-ils au ciel si les robots...non?
Je vois qu'Irène, elle aussi, à opté pour le « alors que »… Attendons la réaction d'Elena et peut-être le laissera-t-on.
Justine :
« Pourquoi vont-ils au ciel si les robots...non? »`
Ah non ; là c'est du charabia. Attention aux hispanismes !
Restons sur cette question du « alors que… » et prenez bien en compte toutes les « consignes » et remarques faites jusque-là sur cette phrase.
Pourquoi vont-ils au ciel, eux, alors que les robots... non ?
"alors que" est bien, mais je ne sais pas pourquoi, je ne suis pas tout à fait convaincue...
Comme si je me permettais de charrier qui que ce soit ...
Oui, Elena, je suis d'accord… j'ai une légère réticence, mais je crois que c'est bien quand même. Ça aussi, on met une croix devant et on reviendra attentivement dessus au moment des relectures.
J'aime bien alors que, de même que je préfère ta solution plutôt que le sujet inversé et j'avais également hésité à ajouter eux. Donc
Pourquoi ils vont au ciel, eux, alors que les robots... n'y vont pas ?
La proposition d'Elena me semble moins lourde, plus élégante mais je ne suis pas sûre qu'elle soit plus généreuse...
Irène :
- Oui, tu es même une charrieuse professionnel ;-)
- J'ai préféré le « lapidaire » non final… car précisément, ça claque mieux. Comme un couperet.
Pour cette phrase, c'est ok… Passez à la suivante. Je m'absente quelques heures, mais allez-y, vous, et je regarderai ça en rentrant. Nous avons largement dépassé la moitié et nous avançons bien. Je suis très contente.
J'ai encore une question : pourquoi ciel et pas paradis ?
Irène : on peut mettre « paradis »… mais je pense intéressante dimension un peu enfantine de ce « ciel » (qui justement, l'humanise, lui, le robot).
Enregistrer un commentaire