— ¡No escuchas robot estúpido!– Roservind se preguntaba: ¿Cómo puedo pensar independientemente sin obedecer las complejas líneas de programación? ¿Cómo haría para obtener un alma? Y sin darse cuenta el robot ya tenía una meta… un sueño. Ahora sólo faltaba darle el punto de inicio a su largo camino… una palabra:— ¡Renuncio!, y desde ese momento Roservind acababa de nacer.
— Tu m'entends, espèce de crétin de robot !
Roservind s'étonnait : comment est-il possible que je parvienne à penser librement, sans obéir aux complexes lignes de programmation ? Comment faut-il que je m'y prenne pour avoir une âme ? Et sans en être conscient, le robot avait désormais un objectif… un rêve. le coup d'envoi grâce auquel il serait à même d'entamer sa longue quête… ; deux mots : Je démissionne !
Et à ce moment-là, oui, Roservind était né.
13 commentaires:
On a oublié "il ne lui restait plus qu'à donner" avant le coup d'envoi.
et ici, on a: "Roservind s'étonnait:",or, juste avant on a finalement choisi"le superviseur s'étonna de la réaction..."
Rien à dire...
Roservind s'étonnait : comment est-il possible que je parvienne à penser librement, sans obéir aux complexes lignes de programmation ? Comment faut-il que je m'y prenne pour avoir une âme ? Et sans en être conscient, le robot avait désormais un objectif… un rêve. le coup d'envoi grâce auquel il serait à même d'entamer sa longue quête… ; deux mots : Je démissionne !
Oui, Justine… bien vu pour l'omission. Il faudra relire notre deuxième jet très attentivement de manière globale et plus particulièrement pour s'assurer de cela : que nous n'avons pas oublié du texte. Ce qui était le cas dans le premier jet. J'avais oublié de coller certains morceaux. Donc, là, regardez bien.
Je corrige :
Roservind s'étonnait : comment est-il possible que je parvienne à penser librement, sans obéir aux complexes lignes de programmation ? Comment faut-il que je m'y prenne pour avoir une âme ? Et sans en être conscient, le robot avait désormais un objectif… un rêve. Il ne lui restait plus qu'à donner le coup d'envoi grâce auquel il serait à même d'entamer sa longue quête… ; deux mots : Je démissionne !
Justine : encore bien vu pour la répétition de « s'étonner ». Pour le deuxième (c'est-à-dire celui de cette dernière partie), que pensez-vous de « était dubitatif » ?
comment est-il possible que je parvienne à penser librement, sans obéir aux complexes lignes de programmation ?
Je pense que le « aux » de « aux complexes lignes de programmation » n'est pas vraiment adéquat… car on attend un complément (exemple : aux lignes de programmation qui le gouvernaient, etc.) et que donc, il vaudrait mieux opter pour : « à des ».
Votre avis ?
Et sans en être conscient, le robot avait désormais un objectif… un rêve.
Nous en avons parlé, notamment avec Elena, mais là, vraiment, il me semble que le « et » du début de la phrase n'a pas de raison d'être.
Et à ce moment-là, oui, Roservind était né.
Cette dernière phrase est très importante, évidemment, pour la démonstration menée par le narrateur/auteur… Il faut donc particulièrement la soigner.
Or le temps « Roservind était né » me gêne… Je crois qu'il faut dire « venait de naître », pour qu'on associe les propos du robot à son immédiat acte de naissance.
Et pour qu'il y ait véritable chute, comme point d'orgue naturel de la nouvelle, enlevons tout l'attirail autour :
Cela donnerait :
Roservind venait de naître.
Qu'en pensez-vous ?
C-remarque 1 :
Oui, effectivement, j'avais oublié qu'au moment de faire le décompte des "y", j'avais précisé que l'avant dernier me semblait superflu, or le dernier était conclusif et de ce fait : important. On peut l'enlever :
Sans en être conscient, le robot avait désormais un objectif… un rêve.
C-remarque 2 :
comment est-il possible que je parvienne à penser librement, sans obéir à des complexes lignes de programmation ?
Encore une préposition ! Quelle serait la nuance ?
Aux : les lignes de programmation à lui...
à des : les lignes de programmation de quidam ?
C-Remarque 3: avec ce circonstanciel ?
Et à ce moment-là, Roservind venait de naître.
J'avais proposé (à l'époque) :
Et c'est à ce moment-là que Roservind est né.
C-Remarque Justine :
« était dubitatif »
Oui. Ou bien : réfléchissait / était méditatif
Elena :
Aux : les lignes de programmation à lui...
à des : les lignes de programmation de quidam ?
« aux » laisse entendre qu'il n'y a que celles-là.
« à des » : celles qui lui ont été attribuées à lui.
Et à ce moment-là, Roservind venait de naître.
Non… car globalement, avec « à ce moment-là », on attend un passé simple.
J'insiste sur mon idée de dernière phrase…, conclusive et un peu lapidaire.
Cela donnerait :
Roservind était dubitatif : comment est-il possible que je parvienne à penser librement, sans obéir à de complexes lignes de programmation ? Comment faut-il que je m'y prenne pour avoir une âme ? Sans en être conscient, le robot avait désormais un objectif… un rêve. Il ne lui restait plus qu'à donner le coup d'envoi grâce auquel il serait à même d'entamer sa longue quête… ; deux mots : Je démissionne !
Roservind venait de naître.
J'attends que vous validiez et nous pourrons sceller notre deuxième jet.
Oui, c'est bien...
Je valide,merci pour ces propsitions intéressantes et pertinentes.
Justine ?
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